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  1. Le roman d'Héliopolis

    <b>L’auteur nous plonge dans les coulisses de la Grande Exposition universelle de 1900 à Paris !</b> <br> <br>Amélie d'Arschot fait revivre, sous sa plume animée, les personnages clés de cet extraordinaire projet : le roi Léopold II sans qui les intérêts belges en Égypte n’auraient pu se développer, les hommes d’affaires de même que les architectes de talent. Ceux-ci ont réalisé une ville sublime sur le plan architectural. Héliopolis fut cependant bien plus qu’une superbe ville, elle a représenté tout un art de vivre et un esprit de tolérance permettant aux différents cultes de se côtoyer. <br>Un tableau vivant d’une époque révolue et une parfaite maîtrise du sujet rendent le récit captivant. <br> <br> <b>Au travers des lignes se dessine, comme des hiéroglyphes, la passion qu’éprouve l’auteur pour l’Égypte.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Le sujet d’Héliopolis fait partie de ma vie puisque mon arrière-grand-mère Eva d’Arschot Schoonhoven était la fille de Boghos Nubar Pacha, associé d’Édouard Empain dans la Cairo Electric Railways Heliopolis Oases Company. Édouard Empain en était le président et son ami Boghos Nubar le vice-président. Ils ont acquis ensemble les premiers deux mille cinq cents hectares dans le désert en vue d’y ériger une nouvelle ville. <br>J’avais douze ans lorsque mon arrière-grand-mère est morte et je garde d’elle un souvenir très précis car lui rendre visite était pour moi pénétrer dans ce monde envoûtant et étrange que représente l’Orient. Les persiennes de ses fenêtres étaient toujours un peu tirées pour filtrer la lumière crue du dehors et se voiler en quelque sorte de l’intérieur. C’était l’Orient des parfums et des songes avec des statues silencieuses qui l’entouraient telle une garde rapprochée. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Le parfum de cette douce nostalgie d’un temps où il faisait bon vivre loin de toutes les menaces, les tumultes et les insécurités, est très palpable tout au long de ce livre roman. L’auteure très bien documentée, a versé dans le roman que pour rendre ses personnages plus vivants et plus attachants mais la ligne historique est quant à elle très rigoureuse. - <b>Régine Salens, <i>Noblesse et Royautés</i></b> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Descendante de Boghos Nubar Pacha, <b>Amélie d’Arschot</b>, historienne et conférencière, nous fait revivre cette fabuleuse aventure de la construction de la ville d’Héliopolis en plein désert à quelques kilomètres du Caire en 1905. <br>Le capitaine d’industrie Édouard Empain s’était alors associé à Boghos Nubar, fils du Premier ministre égyptien, pour acheter les premiers milliers d’hectares de terrain nécessaires. <br>Mais quelles étaient leurs motivations ? Où et comment Empain eut-il cette idée ingénieuse ?

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  2. La dame noire

    Un simple graffiti apposé sur le mur d'une façade va mettre toute une population en émoi. Mais au fait, qui est la Dame Noire ? Est-ce une femme, un homme ou un esprit ? Elle dérange bien du monde par ses écrits, surtout Monsieur le Maire Pasdevague. <br> <br>Un groupe d'amis qui a l'habitude de se promener et de refaire le monde se donnera comme mission de mener une enquête, soupçonnant ainsi bien des gens... Ils vont croiser des antagonistes et protagonistes qui auront tous leurs idées préconçues concernant cette affaire. <br> <br>Les textes sont remplis d'anecdotes qui vous feront sourire et vous détendront, malgré cette histoire qui va vous emmener dans des situations et des lieux vraiment intrigants. <br> <br>Et vous, allez-vous élucider cette embrouille ? Alors bonne chance ! <br> <br> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <b><br></b> <br> <b>Claude Rey</b> étudie constamment les comportements de l’être humain. Il trouve cela fort intéressant parce que cela lui permet de comprendre et non de juger. Dans cette histoire, il a vécu le dernier chapitre lorsqu’il était en service. Les personnages de son livre sont à l'image de personnes rencontrées au Québec, ainsi il en a fait une intrigue surprenante. <br>

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  3. Contes de Grèce

    <b>Embarquez dans ces sept contes grecs adaptés par Gilles Decorvet et illustrés par Emilia Stepien.</b> <br> <br>EXTRAIT DE <i>La reine des sirènes</i> <br> <br>Il était une fois un roi et une reine qui avaient un fils. Or, autant le père et la mère étaient bons, autant le prince était méchant. Dans le château, vivait encore le premier ministre du roi – son vizir, comme on dit – qui avait un fils, lui aussi. Mais, si le fils du roi était mauvais et teigneux, le fils du vizir, lui, était brave et gentil. Si bien que le premier cherchait par tous les moyens à faire du mal au second. <br>Un jour, le fils du vizir partit à la chasse avec son maître d’école. Tandis qu’ils chevauchaient tous les deux, le garçon aperçut tout à coup, au bord du chemin, une plume éclatante, qui brillait au soleil. <br>« Maître, demanda-t-il, est-ce que je peux ramasser cette plume qui est si jolie ? <br>— Ma foi, mon garçon ! lui dit le maître, qui était un savant. Si tu la ramasses, tu en auras du remords, mais si tu ne la ramasses pas, tu en auras des regrets. <br>— Eh bien ! dit le garçon, je vais la ramasser, puisqu’elle me fait envie ! » <br>Il mit pied à terre, prit la plume et la planta dans ses cheveux. <br>Pendant ce temps, le prince, qui était monté tout en haut du donjon pour observer le paysage avec une paire de jumelles, vit un éclair de lumière, brillant comme un diamant. « Tiens ! se dit-il. Qu’est-ce que ça peut bien être ? » Il ajusta ses jumelles et se rendit compte que la lumière provenait d’une espèce de panache que le fils du vizir portait sur la tête. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Conteur, comédien et traducteur littéraire du grec au français, <b>Gilles Decorvet</b> est né en 1962 à Genève, en Suisse. En tant que traducteur littéraire, il a contribué à faire connaître en France l'oeuvre de grands écrivains grecs, tels que Georges Vizyinos, Nicos Panayotopoulos ou Takis Théodoropoulos. Il a également publié un recueil de <i>Contes de Grèce</i> et de Chypre, aux éditions Esprit Ouvert. Comme conteur, il se produit régulièrement en Suisse et en France, dans les bibliothèques, les écoles et les théâtres. <br>Par ailleurs, il est comédien. Il a participé à de nombreux spectacles, tels que : <i>Zorba</i> d'après Nikos Kazantzaki, <i>Ezéchiel</i> d'Albert Cohen, <i>100 dessus dessous</i> de Miguel Fernandez-V., <i>Le dîner de Babette</i> d'après Karen Blixen et <i>La confession d'Abraham</i> de Mohamed Kacimi.

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  4. Le cercle et l'ombre - Tome 2

    <b>Tout le monde ne semble pas être ce qu'il prétend et Thibault rique d'en subir les conséquences...</b> <br> <br>Le château Fronsac détruit, Marc et Anthony tués, et Adrien, son meilleur ami, envoyé en Angleterre... Thibault se sent bien seul dans les nouveaux locaux du Cercle. <br>Les derniers événements tragiques tournent encore dans son esprit, et il ne sent pas au mieux de sa forme. Ses pouvoirs de Visionnaire semblent se montrer capricieux, et les membres du Conseil doutent de plus en plus de lui. Alors quand il vient annoncer que ses visions lui ont montré la prochaine attaque du quartier du Cercle Espagnol par des créatures de l'Ombre, il se précipite pour en parler à Ben, son nouveau tuteur. Hélas les faits qu'il rapporte sont contraires à ce qui s'est passé deux jours auparavant. Thibault est mis au ban du Cercle, rabaissé, et il perd peu à peu confiance en lui. Il semble même que certains complotent autour de lui. Heureusement ses amis sont capables de tout, et vont se lancer dans une enquête dangereuse pour le sauver. <br>Mais Thibault peut-il encore avoir confiance en quelqu'un au sein de l'organisation ? <br>Deuxième tome de la série <i>Le Cercle et l'Ombre</i>, <i>Diversion</i> vous emmène une nouvelle fois au combat, contre les forces maléfiques qui cherchent à dominer le monde des humains... <br> <br> <b>Vous dévorerez ce second tome d'une série de quatre volumes pleins de rebondissements !</b> <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Je suis bien rentré dans l'histoire, avec les petits nouveaux [...] ou ses amis qui vont l'aider à comprendre ses visions, celles qui décrivent les attaques par des créatures liguées et dirigées par une mystérieuse ombre... Mais un danger court aussi au sein même de l'organisation. - <b>dariodo, <i>Babelio</i></b> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Ancien libraire, <b>Tim Corey</b> a commencé par écrire des romans pour enfants avant de se tourner vers la science-fiction et le fantastique. <br>Il a travaillé en tant que chroniqueur de séries télé pendant plusieurs années. <br>Il habite depuis quelques années en France, près de Paris.

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  5. Comme des mohicans

    <b>Tiraillé par la colère, la culpabilité et l'envie d'être ailleurs, le jeune Séraphin décide de fuir ses obligations de moine. De son côté, Guérin, fatigué des coups de ceinturon de son oncle, quitte son domicile. </b> <br> <br>Été 1874. L’orage menace sur le col du Simplon. Par une nuit sans lune, Séraphin, quinze ans, s’enfuit de l’hospice pour atteindre la vallée. En route, il fait la rencontre de Guérin, un adolescent décidé à rejoindre sa mère de l’autre côté de la montagne. Des Alpes valaisannes aux eaux boueuses du Mississippi, en passant par les faubourgs de Genève, <i>Comme des Mohicans</i> fait le récit d’une fuite placée sous le sceau d’une amitié indéfectible. Roman initiatique, il est aussi un face-à-face souvent tragique, parfois jubilatoire, avec le destin. <br> <br> <b>Voici le récit de deux âmes en fuite qui vont se lier pour partager leurs aventures. </b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br> Les cloches annonçaient les vêpres et offi cialisaient la clôture de la journée d’étude. – Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, initia le prêtre. – Ainsi soit-il, murmura l’assemblée, composée d’une vingtaine de moines. Un jeune homme de quinze ans, à la chevelure châtain, cachait sa corpulence fi ne et élancée dans le confort apparent de sa soutane noire. Il écoutait distraitement le sermon du prieur. Une colère froide et enténébrée l’avait terrassé depuis quelques semaines. Le sermon commentait certains aspects peu connus des sept péchés capitaux. Le jeune homme se reconnut surtout dans l’ira* des anciens. Il dut admettre que ses propres vertus théologales, telles que la foi, l’espérance ou la charité, étaient insuffi samment développées. Ses vertus cardinales étaient, en revanche, nettement plus aff ûtées : en particulier la force et la justice. La prière et la méditation durant la liturgie du soir avaient paradoxalement renforcé sa volonté et sa détermination à agir, à mettre en œuvre son plan cette nuit. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Philip Taramarcaz</b> est né en 1964 et exerce comme médecin à Genève. <i>Comme des Mohicans</i> est son premier roman.

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  6. Bonhomme Ecriture

    <b>L’apprentissage de la langue, de la littérature, du monde enfin, conduit l’auteur de l’école à son destin d’écrivain.</b> <br> <br>D ’un trait léger et profond, Philippe de Boissy écrit son enfance, sauvée par l’écriture. Ce Bonhomme Écriture traverse la vie avec une force qu’il doit au pouvoir des mots entendus puis mis en pages, calligraphiés ou dessinés, ces mots qui permettent d’apprivoiser les peurs, de séduire, d’exprimer ses sentiments, de survivre en toutes circonstances. Une naissance à l’écriture, grâce à deux maîtres extraordinaires. L’apprentissage de la langue, de la littérature, du monde enfin, conduit l’auteur de l’école à son destin d’écrivain. <br> <br> <b>Découvrez un ouvrage dans lequel Philippe de Boissy écrit son enfance, sauvée par l'écriture.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>La semaine suivante, M. Nicolas me fait dessiner la vraie vedette de la marine, traversant la rade de Toulon. Mais avant, il me demande de donner un titre à mon dessin écrit la semaine précédente. Il me demandait toujours des choses impossibles. Je lâche : Le bateau. Mieux que ça ! J’ajoute : Le bateau au salon. Bateau au NON ! Mieux que ça ! Bateau dans un salon. Oui ! Mieux que ça ! Bateau dans un salon en été. Bateau de Noël au salon. Bateau en mer au salon. Tapis de vagues et barque. Salon fenêtre et barque blanche. Je passe de l’angoisse à la trouvaille, et de la trouvaille au délire. J’écris en colonne des phrases où je mélange tout exprès. Salon à tribord de la mer. Barque à la cloche d’accostage. Coup de roulis dans un fauteuil. Fenêtre ouverte sur un tapis. Tapis de mer pour vedette. <br>Alors je vais dans le n’importe quoi. Bateau à quai sans maman. Le Pacha entre au salon. Georges Leygues sort de la maison. Je nage plus vite que ma mère. Alors il part vers le fond de la classe, les bras levés, sans que je sache s’il m’approuve encore. Il revient vers moi et conclut en souriant : On s’arrête. Tu dis n’importe quoi maintenant, mais c’est pas mal. C’est pour tout le monde pareil. <br>II prend ma liste et mon dessin, relit quelques titres, et me lance : Je l’aime bien, ta chaise-bateau. Allez, au travail. Je m’y mettais volontiers. Mais toujours dans l’espoir qu’une fois passé l’orthographe, l’accord des verbes, le foutu accent grave sur le a, et parvenu à rédiger des phrases cohérentes que je savais relire avec bonheur, nous déboucherions sur ces plages d’invention où tout était permis, sauf le délire. Mais c’était quoi, le délire, et ça commençait où ? <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Écrivain, peintre et poète, <b>Philippe de Boissy</b> habite une ferme en Isère. Il a publié une trentaine d'ouvrages : poésies, nouvelles et romans, aux éditions Flammarion et dans des revues (NRF, Esprit, Sud…). Il a obtenu la bourse Guy Levis Mano de poésie en 1985, avec la publication de <i>La Lampe sous le boisseau</i>. Il a été instituteur, professeur d'anglais et animateur chargé de la littérature à la Maison de la Cultur...

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  7. Lavandières rouges à Daoulas

    <b>Le commissaire Enor Berigman fonce tout droit vers les dangers tandis qu'il enquête sur les mystérieuses Lavandières rouges et sur les meurtres qui se succèdent...</b> <br> <br>Un homme est retrouvé noyé, enfermé dans un tonneau, au fond du port de commerce de Brest. Une lettre de revendication du meurtre, signée de mystérieuses « Lavandières de la nuit », est rapidement adressée à une revue féministe, Azenor. Trois jours plus tard, un pharmacien de la ville est assassiné dans son officine. Sur place, la police écarte très vite la thèse d’un crime crapuleux. Le modus operandi du meurtre et la suite immédiate des évènements sont la marque d’un professionnel. Au fil des découvertes, alors que les morts se succèdent, de Daoulas à Dirinon en passant par Logonna-Daoulas, les deux enquêtes enchevêtrent légendes bretonnes et scandale international, et se fondent soudainement en un crescendo d’horreurs. Il n’en faut pas plus pour que le commissaire Enor Berigman se retrouve sur la sellette alors que la tension monte de plus en plus dans un Brest en ébullition et que le danger se referme sur son équipe… <br> <br> <b>Retrouvez le commissaire et son équipe dans ce polar breton à glacer le sang.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br> 22 novembre 1988 – Cimetière de Landerneau <br>La vague de froid qui sévit dans le sud et l’est de la France n’atteint pas la Bretagne. Elle n’en a pas besoin, la froidure intérieure qui a envahi mon esprit va bien au-delà, elle est de l’ordre de celle du vide dans l’espace intersidéral. Ma fille a été tuée. Elle avait 36 ans. Une issue prévisible, contre laquelle toutes les actions se sont heurtées à un mur, celui de l’inertie et de l’impuissance. Pourtant, cinq ans après, elle commençait à surmonter le drame du “poste Drakkar” à Beyrouth, quand son frère, sergent au 1er régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers, a succombé après une agonie de plusieurs jours, comme des dizaines de ses camarades. Sa présence a sans doute cruellement manqué pour qu’elle puisse s’échapper de son enfer. Il n’y a pas de remède à ces deux disparitions, aucune douleur n’est comparable. Celui qui l’a martyrisée est en détention préventive, en attente de son procès. Je ne veux même plus prononcer son nom, il m’a volé la chair de ma chair. Son jugement est ma dernière attente dans cette vie, attente de justice, pas de compréhension. Il ne me reste que les centaines de souvenirs qui resurgissent à la vue d’une photo, d’un objet, d’un lieu ou d’une odeur. Certains restent flous ou fugaces, ils réapparaissent parfois sans prévenir, d’autres sont bien vivaces et je sais que je n’oublierai jamais les moments les plus heureux, pas plus que les périodes les plus douloureuses. Ses premières coupes de tennis, la mort de son père et tant d’autres images encore. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Professeur des écoles pendant plus de trente ans au Faou, maire honoraire de la ville, <b>Pierre Engélibert</b> a profité de son départ à ...

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  8. Lettres de Lame

    Rézo est un être solitaire, paradoxalement. Une âme fragmentée. Sa destinée débute avec une découverte macabre : Ofeli, jeune fille de 13 ans, pendue et mutilée. Il fait alors la promesse de retrouver le meurtrier, et de la venger. Nous suivons son chemin, à travers les villes, les rues, la forêt ; à travers son esprit, aussi. Différentes personnes croiseront sa route, certaines perdront leur souffle après son passage. Car dans son sillage rôde une cohorte de personnages étranges, qui lui offrent une singulière compagnie dans l'obscurité de son existence. Écrit lorsque l'auteur avait entre 17 et 18 ans, ce récit noir et poétique nous plonge dans les profondeurs de l'âme humaine, explorant les thèmes de la solitude, de l'identité, et de la quête de soi.

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