Extrait : "On se fait généralement une idée fausse du spiritisme. Les personnes d'un esprit ouvert qui veulent bien ne pas considérer les spirites comme des hallucinés et le spiritisme comme un reste de superstition barbare, classent volontiers dans la même catégorie, le spiritisme et l'occultisme."
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<p><b>Après avoir vu la mort en face, parviendra-t-elle à semer ses démons ?</b><br><br> Reporter passionnée, Elina arpente depuis des années champs de bataille et terrains minés. Mais Nicolas, son premier amour, souffre trop de ses absences à répétition et se fiance à une autre. Elina refuse de s’apitoyer sur son sort et se réfugie dans son travail. Sa douleur la pousse néanmoins à commettre des imprudences sur le terrain, au péril de sa vie. Contrainte par sa supérieure à des congés forcés, elle plie bagages et entreprend un long voyage en Mongolie. Dans les steppes, elle rencontre Federico, bel Espagnol à la tête d’une association visant à réintroduire une espèce de chevaux en voie d’extinction dans leur milieu naturel...<br><br><b>Avec en toile de fond un panorama à couper le souffle, Coralie Duperrin retrace le parcours d’une femme guidée par ses idéaux, à la recherche de sa destinée. Elle livre ainsi un très beau récit initiatique, empreint de poésie et de philosophie.</b></p> <p></p> <p><span>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE</span></p> <p>"L'auteure met beaucoup de douceur et de poésie au fil des pages."</p> <p><b>Just The Way You Read</b></p> <p>sur</p> <p><i>Instagram</i></p> <p>"Si vous aimez les belles histoires dans des décors atypiques, ce roman est pour vous."</p> <p><b>Rose Livres</b></p> <p>sur son blog</p> <p><i>roselivres.fr</i></p> <p>EXTRAIT</p> <p>Elina laisse son esprit divaguer jusqu'à ce qu'une question s'impose, écrasant toutes les autres. Depuis quand n'a-t-elle pas immortalisé de paysages, de scènes en pleine nature ? Elle est incapable de s'en souvenir, ce qui n'est pas bon signe. En réalité, elle peine même à se rappeler de la dernière fois qu'elle a considéré la photographie comme un plaisir. Mais dans ce bus chancelant, secouée par les bosses autant que par un compagnon de voyage qui semble plongé en pleine crise d'épilepsie, elle se promet de ne plus jamais s'éloigner de ses passions de petite fille. Et se demande jusqu'où l'emmènera cette résolution.</p> <p>À PROPOS DE L'AUTEURE</p> <p><b>Coralie Duperrin</b></p> <p>s'inspire de ses voyages pour emmener ses lecteurs au bout du monde. Découvrant la Mongolie lors d'un périple en transsibérien, elle est tombée sous le charme de ce pays splendide. En attendant de fouler à nouveau les steppes arides, elle en recrée l'atmosphère au fil des mots. Coralie a déjà publié plusieurs carnets de voyage et travaille actuellement au deuxième tome de la série</p> <p><i>Les lumières du bout du monde</i></p> <p>.</p> <p></p>
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De retour pour ses vacances à St-Même-les-Carrières, Lucille découvre son petit ami Alexandru trop secret. Quand, en le suivant à de mystérieux rendez-vous, elle comprend qu’il est embarqué dans un trafic de stupéfiants à cause de son père toxicomane, elle décide de sauver le jeune homme des trafiquants et le drogué de ses démons. Ne cessant de croiser un renard dans la lande, sous le vieux dolmen et sur le toit des carrières, Lucille, qui se découvre d’étranges dons, se demande s’il s’agit d’un animal ou d’un esprit. Tandis qu’Alexandru recherche un légendaire casque d’or caché dans les carrières, censé pouvoir guérir son père, Lucille, plus pragmatique, veut s’opposer aux dealers. <br>Chacun dans leur quête, les adolescents s’engageront dans une lutte dont ils ignorent les enjeux, à la découverte de leur personnalité dans l’adversité. <br>Lectorat : <br>Ados, à partir de 13 ans <br> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <br> <b>Rémy Lasource</b> a grandi au milieu des vignes et des ruisseaux où il jouait dans des moulins en ruines. Aujourd’hui commandant de police, il vit en Limousin. Son univers littéraire se partage entre le fantastique et le thriller ; son roman <i>Du crépitement sous les néons </i>est adapté au cinéma. Membre du jury du prix Zadig de la nouvelle policière, il signe ici son vingtième livre publié aux éditions Ex Aequo. <br> <br>
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<b>Un nouveau départ, deux hommes, un cœur indécis. Victoire saura-t-elle choisir entre amour retrouvé et liberté conquise ?</b> <br> <br> Après des années de vie commune, Victoire décide de mettre son couple entre parenthèses. Lassée par une existence qui ne lui ressemble plus, elle quitte Paris pour s’installer en Bretagne, où elle ouvre des chambres d’hôte avec le soutien de ses filles. C’est là qu’elle rencontre Antoine, un homme libre et séduisant, qui ravive en elle des émotions oubliées. <br> <br> Mais alors qu’elle commence à se reconstruire, Lucas, son mari, revient dans sa vie, prêt à tout pour la reconquérir. <br> <br> <ul> <li><b>Un triangle amoureux</b> entre passé et avenir, où le choix de Victoire fera tout basculer.</li> <li><b>Une femme forte</b> qui reprend les rênes de sa vie pour se réinventer selon ses propres désirs.</li> <li><b>Une romance ancrée dans la réalité</b>, avec ses doutes, ses passions, ses silences et ses résolutions.</li> </ul><b>Qui de Lucas ou d’Antoine parviendra à (re)conquérir le cœur de Victoire ? Laissez-vous emporter par cette histoire sensible, pleine de rebondissements et portée par une plume fluide et émotive.</b> <br> <br> EXTRAIT <br> <br> Victoire s’arrêta un peu avant Rennes, il lui restait environ deux heures de route. Elle but un chocolat chaud, fuma une cigarette, s’étira comme un chat et reprit la route. Son esprit vagabonda et revint sur cette soirée où elle avait tout dit, y compris le plus intime, à ses filles. <br> Ce soir-là, elle et ses filles étaient allées dans une nouvelle brasserie qui venait d’ouvrir en bas des Champs-Élysées. Victoire adorait vivre au centre de cette grande ville, malgré la foule et la pollution. Elle appréciait les facilités que lui offrait la capitale en matière d’évasion. Elle passait un temps fou à se balader au Louvre, dans les bibliothèques, au bord du canal Saint-Martin, aux Tuileries ; le jardin des plantes et le Luxembourg avaient sa préférence. Le repas s’était déroulé normalement, jusqu’au moment du dessert, où Sacha fit allusion à son anniversaire de mariage et demanda à sa mère : <br> — Maman, pourras-tu me garder les petits ce soir-là ? Roméo me concocte une super soirée et je sais qu’il nous a réservé une chambre dans un hôtel très chic ! <br> Avant même de pouvoir répondre, Victoire fut en larmes. Un flot intarissable semblait sortir de ses yeux, ses filles la regardèrent, déconcertées. Leur maman était une femme forte qui ne craquait jamais, surtout pas en public et en plein milieu d’un restaurant. <br> Sarah parla la première : <br> — Maman, que t’arrive-t-il ? C’est le fait de garder les petits de Sacha ? <br> — Si tu ne peux pas, Maman, ce n’est pas grave, une de mes charmantes sœurs se dévouera, dit Sacha, inquiète. <br> Salomé était très gênée de voir sa mère en pleurs, et ne dit rien, elle la prit juste dans ses bras, ce qui eut pour effet de faire redoubler les larmes de Victoire. <br> <br> CE QU'EN PENSE LA CRIT...
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<b>Découvrez un monde où les nouvelles technologies permettent l'immortalité...</b> <br> <br> Comment vivre quand la mort n’existe plus ? <br> Développé dans la Silicon Valley par les grandes entreprises technologiques, le processus de Conversion permet désormais de conserver les consciences individuelles dans le cloud, altérant les fondements de la société humaine. Dans Londres, transformée en profondeur par le changement climatique, Oscar succombe peu à peu à l’ennui qui a déjà gagné une humanité sans but. Une rencontre fortuite l’amène à découvrir ce que vivre signifie dans un monde dominé par une dictature numérique. <br> <br><b>Suivez Oscar dans sa quête de sens, avec ce roman dystopique qui, à l'heure du numérique et des changements climatiques, n'est pas si éloigné de notre réalité...</b> <br> <br> EXTRAIT <br> <br> – Qu’en est-il de cette « condition » ? relance Oscar après une courte réflexion. <br> Adam reprend la parole d’une voix faiblarde. <br> – Nous savions que l’adaptation serait difficile. Comme vous pouvez l’imaginer, la Conversion est un processus traumatique. Au moins, la nature du réceptacle rend le sujet très rationnel, ce qui limite les dégâts. Ce n’est pas vrai dans mon cas, toutes ces émotions et ces hormones sont incroyablement difficiles à contrôler. D’autant plus que ma précédente… enveloppe a disparu il y a trente ans et elle… j’étais âgé de plus de cent ans à l’époque. Il faut donc que mon cerveau « oublie » ses réflexes de grabataire et en même temps se réhabitue à manipuler des muscles faits de chair et de sang. <br> Adam s’interrompt pour se masser les tempes. <br> – Le deuxième problème est la perception de l’écoulement du temps. Dans un ordinateur, les fichiers sont datés mais ils existent tous de manière simultanée dans sa mémoire. Contrairement à l’esprit humain, un ordinateur garde une perception aussi claire d’événements vieux d’un jour ou de cent ans. C’est pareil pour les Convertis, s’ils peuvent trier chronologiquement les évènements, leurs souvenirs coïncident dans leur esprit et se mélangent en une espèce de bouillie synchrone. Ce n’est pas un problème qu’on peut résoudre, c’est axiomatique. Apprendre à trier la réalité des vestiges de mes vies passées, voilà ce qui explique ma fatigue et ma désorientation. <br> Sa tirade achevée, il pose la tête en arrière sur le dossier du canapé et ferme les yeux. Le mouvement paraît inéluctable, comme un de ces antiques jouets dont les piles sont à plat. Faustine fait signe à Oscar d’approcher puis pose son index sur ses lèvres. En deux enjambées, il la rejoint. Elle se lève, lui attrape le bras. <br> – Il vaut mieux partir, chuchote-t-elle. Je te fais signe très bientôt. <br> <br> CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br> J'ai beaucoup apprécié cette lecture qui me faisait fréquemment m'interroger sur ce futur hypothétique. Une lecture singulière donc mais profondément humaniste dans un monde qui perd peu à peu son humanité. Une jolie curiosité à décou...
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<p><b>Deux meurtres dans un étrange manoir, ça bouscule. Ancienne malédiction ou vrais secrets de famille ?</b><br><br> Il y a, au cœur de l'Argoat, la Bretagne des bois par opposition à l'Armor, celle de la mer, un étrange château de briques rouges qui semble avoir été construit au prix d'un pacte avec la Diable.<br> C'est dans ces montagnes Noires qui savent au gré du temps, être enchanteresses ou lugubres comme l'enfer, que Mary Lester vient enquêter sur la mort violente d'un conférencier au château. Crime rituel ? La mise en scène du cadavre pourrait le laisser croire, si une seconde mort ne venait endeuiller l'illustre assemblée des écrivains qui y font salon. Quel est donc ce meurtrier qui va et vient dans le domaine sans que la centaine de C.R.S. appelés en renfort par un élu pris de panique, paraisse le gêner le moins du monde ?<br> Serait-ce un esprit, un insaisissable fantôme qui, au nom d'une mystérieuse malédiction venue du fond des âges, tue impitoyablement au « Manoir écarlate » ?<br><br><b>Découvrez le tome 5 des aventures de Mary Lester, une enquêtrice originale et attachante !</b><br><br> EXTRAIT<br><br> Dans le grand château de briques rouges en cours de rénovation, avaient lieu deux fois la semaine durant la saison estivale, des causeries sur tel ou tel sujet. Hier, les chevaliers de la Table Ronde, aujourd’hui, l’histoire singulière de ce singulier manoir. Au travers du double vitrage des hautes fenêtres de la salle gothique, on apercevait le soleil qui se couchait derrière les Montagnes Noires, illuminant de ses derniers feux une campagne verdoyante où des corps de ferme étaient posés çà et là, aussi minuscules que lorsqu’on les voit d’avion.<br><br> « Ar maner ru », le manoir rouge, comme on l’appelait dans la région parce qu’il était bâti de milliers de petites briques pourpres soigneusement appareillées, était perché sur le haut d’une colline d’où l’on découvrait l’horizon de tous côtés. Par voie de conséquence, on le voyait aussi de partout, sorte de phare que le soleil couchant faisait flamboyer, planté au milieu des bruyères, dominant de ses tours orgueilleuses et austères les plus hautes futaies de ses fiefs.<br><br> CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE<br><br> Habile, têtue, fine mouche, irrévérencieuse, animée d'un profond sens de la justice, d'un égal mépris des intrigues politiciennes, ce personnage attachant permet aussi une belle immersion, enquête après enquête, dans divers recoins de notre chère Bretagne. - <b>Charbyde2, <i>Babelio</i></b><br><br> Rapidement embarqué dans l'histoire, on navigue entre tourisme, polar, comédie dans ce nouvel opus de Jean Failler dont on retrouve avec plaisir la plume. - <b><i>Au détour d'un livre</i></b><br><br> À PROPOS DE L'AUTEUR<br><br> Cet ancien mareyeur breton devenu auteur de romans policiers a connu un parcours atypique !<br><br> Passionné de littérature, c’est à 20 ans qu'il donne naissance à ses premiers écrits, a...
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En 1920, Joseph Kessel (1898-1979) a tout juste 22 ans. Bien qu’il se destine au métier d’acteur, ce Juif d’origine russe né en Argentine réalise son premier grand reportage en Irlande alors en lutte pour son indépendance. Le début d’une aventure, entre journalisme et littérature, qui va lui faire découvrir le monde. Sa vie durant, «Jef» va ainsi courir les horizons et les histoires d’hommes. Il y baladera sa plume curieuse pour en ramener des récits délicats qui ont marqué leur temps et l’histoire de la littérature. Kessel, ce monstre au grand cœur, voyage sur la légendaire ligne de l’Aéropostale qui fit la notoriété de Saint-Exupéry et de Mermoz. Il explore les bas-fonds de l’Allemagne nazie des années 30 et de l’Amérique en crise après le krach de 1929. Il couvre la guerre d’Espagne puis la drôle de guerre avant de devenir résistant à Londres, aux côtés du général de Gaulle. En 1948, il obtient le premier visa du tout nouvel Etat d’Israël avant de suivre la piste des esclaves dans la Corne de l’Afrique et de se rendre dans la célèbre mine de rubis de Mogok en Birmanie. Plus tard, Kessel se prend d’amour pour l’Afghanistan. Il en revient, comme toujours, avec plusieurs chefs-d’œuvres dans son baluchon. Dans le plus pur esprit du slow journalisme qui nous anime. <br> <br>À PROPOS DE L'ÉDITEUR <br> <br>En 2014, <b>Sept.ch SA</b>, la société éditrice du site sept.info et du magazine-livre Sept mook, se lançait dans cette aventure pionnière du slow journalisme en Suisse, cette forme de journalisme qui s’offre le luxe du temps et de l’espace, et qui ose se déconnecter de l’actualité. Il faut en effet plusieurs mois à la rédaction pour réaliser un récit, notamment parce qu’il y a un gros travail de relecture, de correction, de vérification et de réécriture. La qualité de l’écriture et la rigueur de l’information sont centrales pour Sept.ch SA qui a reçu de nombreux prix de journalisme. Sept.ch SA est également un laboratoire de l’information qui s’est lancé il y a trois ans dans la réalité augmentée et dans le journalisme sur scène avec son concept Reporters Unplugged.
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<b>Un homme à la recherche du meurtrier de sa fille.<br></b> <br>Un soir de pluie glaciale à Biarritz, un homme recherche le meurtrier de sa petite fille. Cloîtré dans sa voiture, avec une bouteille de vodka pour seule compagnie, ce père se demande s'il sera capable d'ôter la vie à celui qui a détruit sa famille. Une chasse à l'homme désespérée, un face à face gluant, où chaque round plonge Paul toujours plus profond dans la folie. La sienne et celle des autres… <br> <br> <b>Découvrez un thriller haletant et suivez le parcours de Paul, un homme désespéré qui sera plongé toujours plus profond dans la folie, la sienne et celle des autres.<br></b> <br>EXTRAIT <br> <br>Me suis éveillé, enfin, échoué dans cette maudite bagnole. Pas la peine de checker : mal de crâne, ébloui, assoiffé. <br>La même gueule de bois depuis des mois. Peut-être même une année. Je coule toujours plus profond, ancré à un énorme rocher. Pas moyen de savoir quand sera la fin. Que je la rejoigne enfin. <br>Ciel d’hiver, vent incessant et pluie glaciale, pas de doute le mois de février tient ses promesses. Et ici, à Biarritz, dans le magnifique quartier de l’hôtel du Palais, à minuit c’est le no man’s land. Les restaurants saisonniers sont bouclés comme des tombeaux, leurs terrasses pleines l’été ressemblent ce soir à un cimetière de chaises. Pas même une vieille dame pour promener son cabot. À croire que les petits chiens, ici plus qu’ailleurs, ont une plus grosse vessie, de quoi tenir jusqu’au matin. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Alexandre Geoffroy</b> est issu d'une famille de restaurateurs, diplômé de l'École Hôtelière de Bordeaux, il a marché dans les pas de ses parents en ouvrant son propre restaurant à Agen. Une première vie courte, mais passionnante, qui sera le décor de son premier roman. <br>Aujourd'hui, à 37 ans, il vit au Pays Basque. En grand fondu de Polars, l'idée originale a mûri dans son esprit pendant des années ; avant qu’il ne libère et prenne le temps de figer sur le papier cette histoire brute, éprouvante et viscérale.
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