<b>Un recueil fascinant de textes étranges, originaux et envoûtants !</b> <br> <br> Trois auteurs passionnés par l’étrange, le fantastique et l’écriture noire se réunissent pour vous offrir une série de récits captivants. Plongez dans un univers où chaque texte dévoile une atmosphère unique : un codex mystérieux, une offre d’emploi déroutante, un spectre hantant une enquête et bien d’autres histoires originales qui sauront captiver votre imagination. Entrez sans crainte dans le monde de Nelly Topscher, Emmanuel Starck et Christian Guillerme, trois plumes talentueuses de Art En Mots Editions. <b>Découvrez l’univers sombre et fascinant de ces trois auteurs, où l’étrange et le fantastique se mêlent pour créer des récits inoubliables.</b> <br> <br> <b>EXTRAIT de <i>Comprendre</i> de Nelly Topscher</b> <br> <br> Le brouillard enveloppait le cimetière, rendant la visite encore plus glauque que d’habitude. Florent connaissait le chemin par cœur. Depuis trois mois, il venait presque tous les jours. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Il n’était pas seul ce matin-là ; il devinait à peine la silhouette, mais il savait que François serait là, devant la tombe de Frédéric. Les trois F ne se retrouvaient plus que devant cette sépulture. — Tu as réfléchi à ce que je t’ai dit ? demanda Florent après quelques instants. François ne répondit pas immédiatement, les yeux fixés sur la pierre tombale fleurie. — Je pense toujours que ça ne mènera à rien d’autre qu’à plus de souffrance. Mais je viens avec toi. — J’ai besoin de comprendre. François soupira. — Tu devrais admettre que c’est un putain d’accident. Juste un accident ! — Frédéric était le meilleur de nous trois. Le roi des virages. Et là, il se plante à une vitesse normale ? Je n’y crois pas. Je dois aller voir… <br> <br> <b>À PROPOS DES AUTEURS</b> <br> <br> <b>Nelly Topscher</b>, <b>Emmanuel Starck</b>, et <b>Christian Guillerme</b> se sont rencontrés lors d’un concours de nouvelles en 2017. Bien que n’ayant pas remporté le concours, leur passion commune pour l’écriture et l’étrange les a rapprochés, les menant à devenir amis. Ensemble, ils partagent leur amour pour les récits sombres et originaux à travers ce recueil unique.
Legimi.pl
Al Conroy peilte zur vorderen Gegner-Schaluppe, visierte, kippte den Lauf der Drehbasse an und führte die Lunte ans Zündloch der Pulverkammer. Bumm! Man konnte mit bloßem Auge die gekrümmte Flugbahn der Kugel verfolgen. Sie stieg leicht an bis zu ihrem Scheitelpunkt und senkte sich wieder, einen feinen Rauchschweif hinter sich herziehend. Die Mijnheers stierten. Dem Rudergänger auf der vorderen Schaluppe was das heransausende Ding nicht geheuer. Er fiel aber nicht nach Steuerbord ab, um die schmale Silhouette zu bieten, sondern luvte nach Backbord an und präsentierte damit die Steuerbordseite. Der Kapitän, ein Kerl wie ein Hackklotz, brüllte ihm etwas zu, was man durchaus mit "Idiot!" übersetzen konnte...
Legimi.pl
<b>Avec <i>L'œil du totem</i>, John-Erich Nielsen nous surprend une nouvelle fois !</b> <br> <br>Après la découverte du corps d'une jeune Australienne, sauvagement égorgée en plein centre d'Edimbourg, l'enquête de l'inspecteur Sweeney va prendre une tournure inattendue. <br>En effet, la victime n'est autre que la fille du magnat de la presse internationale, Robert Culloch. Et les investigations de Sweeney lui désignent clairement la piste australienne... <br>Alors préparez-vous, et partez pour une aventure palpitante au cœur du bush ! <br> <br>"Sauvagement égorgée dans St Andrew Square, Margaret Culloch ne sourit plus. Les yeux grands ouverts, la jeune étudiante a le regard pétrifié par l’horreur… <br>Son père, l’Australien Robert Culloch, ami du Premier ministre, est à la tête d’un véritable empire financier. <br>En apprenant la nouvelle, Culloch s’est précipité à Edimbourg. Si nous n’arrêtons pas l’assassin au plus vite, il menace de déclencher une tempête médiatique qui nous balaiera tous, policiers et politiques. <br>Malheureusement, nous n’avons toujours pas la moindre piste. <br>À part… À part ces incroyables traces d’ADN…" <br>Inspecteur Sweeney - Police criminelle d’Edimbourg <br> <br> <b>Laissez-vous embarquer dans les pas de l'inspecteur Sweeney pour cette cinquième aventure !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>– La fille égorgée, c’est vous ? <br>La question fit sursauter Sweeney. Concentré sur son ordinateur, et ce maudit rapport qu’il lui fallait encore taper, l’inspecteur n’avait pas remarqué l’arrivée du visiteur. Et même s’il avait déjà reconnu la voix dans son dos, le jeune homme ne put s’empêcher de se retourner, comme par réflexe. <br> <i>Mais oui, c’est bien lui !</i> identifia Sweeney la silhouette dans l’embrasure de la porte. <i>Le commissaire Wilkinson ! Que vient-il faire au bureau un dimanche ? Et à trois heures du matin par-dessus le marché ?</i> <br>Puisque son supérieur, le regard noir mais toujours muet, lui laissait le temps de la réflexion, l’inspecteur songea : <i>Est-ce que sa femme l’a mis à la porte ? Ou est-ce que le patron a tellement arrosé sa soirée qu’il préfère venir cuver au bureau, avant de partir affronter la colère de madame ? Tu parles d’un alibi !</i> s’amusa-t-il encore. <br>Toutefois, l’à-peu-près vestimentaire du commissaire révélait plus sûrement la maladresse dont il avait fait preuve pour s’habiller en pleine nuit, que la dégaine fatiguée d’un ivrogne. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Des polars à l'anglaise... J'adore ! Le genre « Agatha Christie », mais sophistiqué, troisième millénaire, avec une intrigue, une ambiance... Ça repose, ça change des serial killers sanguinolents américains. - <b>Gérard Collard (chroniqueur et libraire)</b> <br> <br>Le nœud de l'intrigue est un grand classique du genre. Servi par une narration naturelle, le récit est entraînant. Voilà un petit suspense bien agréable. - <b>Claude Le Nocher, <i>Rayon Polar</i></b...
Legimi.pl
<b>Il n'est pas facile d'être une femme peintre en évoluant dans un monde d'hommes !</b> <br> <br> <i>La Peintre</i> retrace l'histoire d'une femme peintre au XIXe siècle. <br>Comment s'imposer sur la scène artistique, quand on est une femme, alors que tous les leviers sont tenus par des hommes soucieux de maintenir leur hégémonie, et lorsque même votre propre destinée semble s'opposer à la réalisation de cette ambition ? Du Havre à Paris, c'est le défi que relèvera Virginie Fleury, découvrant un milieu culturel foisonnant, où se côtoient, sur arrière-plan de crise économique, écrivains (Goncourt, Flaubert...) et peintres (Manet, Renoir, Degas...), affrontant de multiples épreuves, dont la moindre n'est pas sa vie sentimentale. <br> <br> <b>Un amoureux de la peinture livre un roman historique exquis.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Elle étendit son fichu sur l’herbe, pour s’asseoir. Elle sortit un carnet, un crayon et une petite boîte d’aquarelles. Ernest s’assit près d’elle, mais à distance respectueuse. Elle traça sur le papier la longue courbe de la baie, puis la silhouette des collines de Honfleur. Ernest la regardait dessiner. Elle demanda : <br> — À quoi penses-tu ? <br> Oserait-il lui dire qu’il la trouvait belle et qu’il aimait ce petit plissement des yeux, lorsqu’elle examinait son motif ? Il bredouilla : <br> — À rien de particulier. <br> Elle ressentit un léger pincement de déception. Elle aurait aimé qu’il lui dise : « Je te trouve jolie ». Quand elle se regardait dans un miroir, elle ne se trouvait pas particulièrement laide. Pourtant, jamais personne ne lui avait dit qu’elle était jolie. À la vérité, elle n’était pas jolie, elle était belle. Mais sa beauté aristocratique et légèrement distante impressionnait la plupart des hommes. Surtout quand, tel Ernest, ils étaient timides. Il avait attendu et espéré cet instant depuis des jours. Tandis qu’il recopiait des lettres, à la manufacture, ou la nuit, quand il s’éveillait, il s’était répété des centaines de fois ce qu’il dirait à Virginie. Et voilà qu’il avait perdu tous ses moyens. <br> Elle termina son aquarelle. <br> — Je peux la regarder ? <br> — Attention ! elle n’est pas complètement sèche… <br> — Elle est très réussie. <br> Pouvait-elle deviner que c’était sa façon de lui dire : « Je t’aime » ? Il lui rendit le carnet et en profita pour se rapprocher légèrement. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Laurent Manœuvre </b> a écrit de nombreux ouvrages sur la peinture, et notamment sur l'impressionnisme et sur les femmes artistes, dont <i>Les pionnières, femmes et impressionnistes</i>, aux Editions des Falaises.
Legimi.pl
Extrait : "Gérard de Nerval. "Les morts vont vite par le frais !" dit Bürger dans sa ballade de Lenore, si bien traduite par Gérard de Nerval ; mais ils ne vont pas tellement vite, les morts aimés, qu'on ne se souvienne longtemps de leur passage à l'horizon, où, sur la lune large et ronde, se dessinait fantastiquement leut fugitive silhouette noire." <br> <br>À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : <br> <br>Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : <br> <br>• Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. <br>• Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.
Legimi.pl
<b>La rencontre entre M. et Andrée, alter-égos de Marcel Proust et Lucienne/Albertine.</b> <br> <br>Le lecteur est invité à entrer dans une schizophrénie faisant basculer le personnage principal, M., dans une assimilation partielle mais déterminante avec Marcel Proust. <br>Ce phénomène le conditionne dans sa relation avec deux femmes, du coup attirées dans la nébuleuse proustienne. Venue en droite ligne de cette fiction, Andrée finira par prendre au côté de M., se retirant dans la consomption physique, la place de l’aimée, Lucienne/Albertine. <br>Osmose corruptrice entre rêve et réalité, dans un chevauchement des temps, des personnalités, voire des modes de narration. À la verticale des amours, heure où chantera le rossignol. Heure où s’inscriront les mots-flammes : Mane, Thecel, Phares… <br>À des lustres de distance, ce livre n’est pas sans donner un écho crépusculaire au Peintre et son Modèle (Nouvelles Éditions Oswald, 1981) dont le préfacier Pierre Boudot écrivait : “Tel est ce roman, immense par son sujet, écrit par Richardot dans un style halluciné d’où surgit, subtile et conquérante, évanescente et séductrice, l’androgyne silhouette botticellienne.” <br>“Déroutante habileté… adresse stylistique confondante… un texte important qui m’a fasciné.” René REOUVEN. <br> <br> <b>Entre assimilation à l'univers proustien et récit d'un amour aux multiples facettes, un roman au style si caractéristique de George Richardot.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Pour le choix du lieu il s’en remit au hasard, lequel, par une coïncidence qu’il ne se soucia pas de démêler, désigna la ville de ses études. <br>Depuis plusieurs années, sa vie professionnelle s’était stabilisée à un rythme de croisière satisfaisant, lui procurant plus que le nécessaire en moyens matériels et satisfactions d’amour-propre. Ce qui l’incita à quitter Paris, davantage que des déboires d’ordre privé ou quelques alertes de santé auxquelles il ne concéda qu’une inquiétude passagère, ce fut le sentiment de devoir remédier au désintérêt qui le gagnait, de trancher des attaches en voie de dessèchement, d’acquérir une nouvelle liberté à réinvestir dans le projet à la fois indécis et exigeant venant de prendre pied en lui. <br>L’immersion dans l’anonymat de la province lui permettrait ce qu’il entrevoyait comme une seconde naissance. À l’inverse de la capitale, une agglomération moyenne ne se ferait pas étouffante, lui offrant ce qu’encore il pensait attendre d’une ville : des flâneries, des ombres, des flashes, l’instance d’une violence jour à jour conjurée. Sirènes, fracas de freins, d’accidents, squares sclérosés par la vacuité de leurs nuits, attroupements peu conscients même d’être enfants orphelins de la multitude ; une vitrine d’art, l’instantanéité dérangeante d’une quelconque tentation. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>“Un texte, je le reprendrai, dans quelques mois, quelques années, quand il aura cessé d’être à vif, dès lors engourdi d’une anesthésie ...
Legimi.pl
<b>Triangle amoureux sur fond d'intrigues et de complots politiques</b> ! <br> <br>L’avocat montois Romain Balagne est emprisonné pour recel de malfaiteur. Le fait divers rappelle à Maxime Cordier qu’il a connu ce jeune homme épatant lors de ses années de collège. Surtout, Cordier se souvient de l’épouse de l’avocat, la belle Italienne Tina Costantini, dont il était secrètement amoureux. La tentation de retrouver celle qui hantait ses nuits d’adolescent va le conduire à rencontrer des personnages singuliers et le placer au cœur d’un étrange et tragique complot.  <br> <br>Plongée sans concession dans les coulisses du monde judiciaire, <i>Le Passager des Cinq Visages</i> est sans conteste le roman le plus sensible et le plus brillant de son auteur. <br> <br> <b>Un thriller haletant qui décrit avec minutie les rouages du monde judiciaire</b> <br> <br> <i>Le Passager des Cinq Visages</i> a obtenu le Prix George Garnir 2014. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>- "Mené de main de maître, ce récit a des résonances qui nous ont fait penser à Jean Ray et à Maurice Leblanc. Un bonheur de lecture et une invitation à aller à Mons..." <b>(Edmond Morrel, <i>Espace livres</i>)</b> <br> <br>A PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Ghislain Cotton </b>a suivi des études de grec et de latin, puis s'est ensuite tourné vers le journalisme, écrivant des chroniques judiciaires et littéraires. En 1981, il lance la revue <i>Le journal des livres</i>, dédiés au monde de la littérature et de l'édition en Belgique. Il reçoit en 1997 le Prix Ex Libris. <br> <br>EXTRAIT  <br> <br>J'avais connu Balagne vers la fin des années quatre-vingt. Au cours de mes études au collège catholique de S. Plus de vingt après, je revois avec une grande netteté une silhouette d'échalas et un visage juvénile troué par un regard bleu lavande. Nous n'étions pas dans la même classe et n'avions jamais eu de relations suivies. Pourtant, un incident à la fois curieux et assez banal avait fixé dans ma mémoire un élève d'une culture peu commune pour cet âge et qu'une attitude un rien méprisante écartait des footballeurs. La chose était arrivée précisément pendant la mi-temps d'un de ces matchs interscolaires où le collège semblait engager sa réputation plus que dans la qualité, d'ailleurs réelle, de son enseignement. Présence obligatoire pour tous. D'où celle de Balagne et la mienne. Alors que la plaine croulait sous les flonflons d'une marche militaire - je crois que c'était celle de la marine américaine - le son s'était soudain interrompu et c'était <i>L'Internationale </i>qui avait tonitrué par-dessus l'assistance des parents, invités, professeurs et dignitaires diocésains de tout poil, médusés par cet ouragan de sédition. Le responsable de ce crime : Balagne qui s'était porté volontaire pour la partie musicale et que "Don Camillo", une grande bête d'abbé musclé comme un catcheur et responsable des sports, rué dans le cagibi de la sono, avait t...
Legimi.pl
<b>Deux époques, deux intrigues, une vérité scellée</b> <br> <br>Porteur d'une puissance qui échappe au contrôle des Dieux fondateurs eux-mêmes, Noliän est contraint de s'exiler du village qui l'a vu grandir. Une rencontre à laquelle il ne s'était préparé vient bouleverser sa vie... irrémédiablement. À travers son Kirin, l'être qui vit désormais à l'intérieur de lui, Noliän découvre un monde tel que seuls ses rêves lui permettaient d'imaginer. Aux côtés de Thalem, sa quête le conduira à révéler les mystères d'un lointain passé : celui de son alter-ego dont les souvenirs se répondent étrangement... Pour reconstituer le passé et lever le voile sur la tragédie d'Ashvan survenue deux millénaires plus tôt et dont personne ne semble se rappeler, Noliän et Thalem entreprennent une véritable chasse aux souvenirs. Quels secrets la mémoire perdue de Thalem recèle-t-elle ? Pour quelle raison l'a-t-on arraché aux portes de l'Après-vie ? Tout semble étrangement relié à une dimension parallèle, « Abyss », et à l'être emprisonné dans le noyau de cet entre-mondes des plus surprenants... <br> <br> <b>Ce roman fantasy fascinant dévoile un univers complexe et minutieusement construit.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>La vie avait parfois de bien curieuses façons de réunir deux êtres... <br>Lorsqu'il battit des paupières, Thalem se trouvait sur la route du palais d'Enléagor, en haut de la colline qui surplombait l'auberge. Il se demanda pourquoi Noliän avait choisi un tel endroit pour se perdre dans ses pensées, puis se souvint que c'était ici qu'était né le lien de confiance qui s'était instauré entre eux, et l'espoir, incarné par la silhouette de Thorren se découpant dans le contre-jour, tendant une choppe de bière à Noliän. <br>« <i>Alors il n'a pas oublié...</i> » <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Née en 1996 à Dijon, <b>Alexane Guth</b> passera son enfance en Asie, notamment au Cambodge, en Malaisie, et à Dubaï. Revenue en France, elle y termine sa scolarité. Titulaire d'un baccalauréat littéraire, elle s'est d'abord orientée vers l'infographie 3D, qu'elle a étudiée pendant 3 ans. Aujourd'hui étudiante en formation Réalisation/Montage sur Montpellier, elle s'est plongée très tôt dans l'écriture, avec l'envie innée de créer des univers, des mondes et des intrigues. C'est à quatorze ans qu'elle commence l'écriture du premier tome d'une trilogie, saga intitulée <i>L'Odyssée des deux Mondes</i>. À 21 ans, elle achève l'écriture de son quatrième livre, <i>Noliän – La Complainte de l'Exilé</i>. <br> <br>Son inspiration peut aussi bien venir d'un livre, d'un film ou d'un jeu vidéo, que d'une musique ou d'un rêve. Alexane se passionne également pour la lecture, le montage vidéo, la photographie, les voyages, les animaux, la musique, la culture japonaise. Elle aspire à ce que ses écrits soient adaptés au cinéma.
Legimi.pl