<p>Salvador Esponto est un homme du Sud, à la barbe impeccable et à l’allure virile. Loin du misérable quartier de son enfance, le robuste gaillard se passionne pour le domaine de l’immobilier et entame une carrière pleine de succès. Cependant, il tombe amoureux d’une silhouette sur la plage de San Juan, qu’il rencontrera à nouveau dans une galerie d’art. Cette mystérieuse inconnue saura animer son esprit sensible au point de changer le cours de sa vie.</p> <p>À PROPOS DE L'AUTEURE</p> <p>La vie de <b>Rita</b> a été jalonnée d'épreuves. Certaines sorties de routes ont été revigorantes, d'autres exténuantes. Pourtant, loin de la mener vers la déroute, ce chemin sinueux l'a amenée à écrire cet ouvrage, car pour elle les mots savent soigner les maux.</p>
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Élément principal de tout art du costume, la silhouette évolue au gré des variations économiques et des changements qui affectent notre vie. Il revient aux modes vestimentaires de s'accommoder tant bien que mal de cet impératif.
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<b>La descente aux enfers d’une âme fragile et solitaire</b> <br> <br>Jacques aurait pu se sauver lui-même en sauvant Maud de la prostitution. Mais la main qu’il lui tendait était gantée de cruauté. Que lui reste-t-il désormais ? Quelques tirades alcoolisées de Gabin et Belmondo dans <i>Un singe en hiver</i>, le film culte de son père… Des souvenirs d’enfance et des chevauchées imaginaires à moto… Et puis, surtout, la nostalgie de tous ces corps enlacés, de tous ces soupirs échappés, singulière collection passionnément recueillie en des lieux qu’on appelle « de plaisir ». <br> <br> <b>L’univers poétique de la nostalgie poussée à l’extrême</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Des œuvres d’art en mouvement. C’est ainsi que je les percevais. La patronne prononçait un prénom et, dans l’instant, une gracieuse silhouette franchissait la porte du salon aveugle où m’avait accueilli un divan cossu. Les filles captaient mon regard, l’une après l’autre, puis s’évaporaient. Faiblement éclairée, la pièce était peuplée de tableaux érotiques et de statuettes suggestives posées sur des guéridons. La plus proche était en bronze, m’avait-il semblé, mais le manque de lumière tuait toute certitude. Dans cet endroit, les métaux eux-mêmes gardaient une part de mystère. <br> <br>CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>« Professeur de psychologie sociale à l’université, le narrateur enseigne tout le contraire de ce qu’il vit. Âme mélancolique, il se cloître dans l’univers suranné de ses parents. "La vie, finalement, n’était qu’une vaste entreprise de dépossession." Sa descente aux enfers semble sans rémission possible, jusqu’à un inattendu revirement final. » <b>Michel Torrekens, <i>Revue des Lettres belges</i></b> <br> <br>A PROPOS DE L’AUTEUR <br> <br>Philippe Lambert vit à Liège. Journaliste scientifique, il collabore à des magazines et sites Internet belges, français et suisses. Il est l’auteur d’un essai intitulé <i>Pilotes de Formule 1 - L’épreuve des hommes</i> (Calmann-Lévy, 1993) et le coauteur d’ouvrages dans le domaine des sciences humaines. <i>Le Collectionneur de soupirs</i> est son premier roman.
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Emma richtete ihren Blick während des Liebesspiels zum Fenster und sagte zum Poolboy Jason: "Schau in die Wohnung im Gebäude gegenüber auf der gleichen Ebene wie wir." Er schaute dorthin, wo sie hinwies, und erkannte eine Frau. Obwohl sie von der Zimmerbeleuchtung kaum angestrahlt wurde, konnte er erkennen, dass sie völlig nackt war. Jason wurde immer erregter. Sie beobachtete heimlich andere Leute. War das eine Voyeurin? Emma meinte: "Sie ist ziemlich heiß, was?" Ihre Silhouette im Fenster verriet ihre Figur. Jason nickte und schaute wieder aus dem Fenster. Die Spannerin befand sich offensichtlich im Zustand der Ekstase. Selbst im Gegenlicht konnte er sehen, wie sich ihre Hüften zum Fenster und zurück bewegten. Sie drehte sich zur Seite und lehnte sich mit dem Rücken gegen einen Pfeiler, und jetzt wurde es im Gegenlicht noch deutlicher. Er konnte sehen, wie sich ihr Brustkorb nach vorne beugte, während ihr Kopf nach hinten kippte. Dann warf sich ihr Oberkörper nach hinten, und ihre Hüften schossen nach vorne. Sie hatte wohl einen Höhepunkt! Beim nächsten Blick war die Frau aber plötzlich weg. Einige Minuten später klopfte es an der Tür. Wer konnte das sein um diese Uhrzeit? War das etwa die fremde Frau von gegenüber?
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<b>Instants de vie de Maxime, Tania, Clémence et Gabriel.</b> <br> <br>Le temps d’un automne, quatre personnages - Maxime, Tania, Clémence, Gabriel - évoluent avec leurs doutes, leurs questionnements, leurs espoirs. Ils se rencontrent, se croisent, se cherchent, explorent leur passé pour construire leur avenir. Par petites touches, ils reviennent sur des blessures, des erreurs, des souvenirs, pour mettre au jour ce qui les unit et leur permettre de tisser les fils de leur vie future. Chacun d’eux suit sa trajectoire et cherche à donner un sens à sa vie, à se réconcilier avec son passé ou à éclaircir des secrets oubliés. Pour trouver le chemin vers l’autre et vers la paix. <br> <br> <b>Découvrez, le temps d'un automne, les destins croisés de quatre personnages, et partagez leurs doutes, leurs questionnements et leurs espoirs.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>La vieille maison était froide, silencieuse. Joseph avait quitté Rodez après le déjeuner pour rendre visite à ses parents âgés qui vivaient à une heure de là, dans une petite commune de l’Aubrac. Il y resterait un jour ou deux. D’ordinaire, Clémence s’accommodait fort bien de ces moments de solitude. Sa vie avec Joseph était faite de complicité et de partage, mais aussi d’indépendance et de liberté. C’était sans doute la clé de la longévité et de l’équilibre de leur couple. Pourtant, ce soir, elle aurait eu besoin de sa rassurante présence. Très droite, la main glissant sur la rampe de bois, elle gravit lentement l’escalier qui menait à l’étage. Ses épais cheveux noirs ramenés en chignon sur la nuque, sa haute silhouette un peu raide, son pas solennel lui donnaient une apparence sévère qui intimidait facilement les étrangers et forçaient le respect de ses proches. <br>Clémence Séverac était née de père inconnu et sa mère, Louise, l’avait abandonnée à l’âge de quelques mois. Durant la majeure partie de son existence, elle avait refusé d’entendre parler de cette femme qui, pour vivre sa vie d’exploratrice, de photographe et de journaliste, avait renoncé à être mère. <br>Parvenue à l’étage, Clémence pénétra dans la bibliothèque. La pièce était restée très semblable à ce qu’elle avait été au début du siècle précédent. Son grand-père maternel, Émile Séverac, en avait fait un refuge à son image, sombre et austère. Elle se souvenait très peu de lui mais savait combien il s’était montré sévère pour son entourage. Marthe, sa grand-mère, fille cultivée d’un intendant de lycée, ne fut sans doute pas très heureuse à ses côtés. Comme bien des femmes de sa génération, elle ne trouva jamais la force de braver les interdits de l’époque et se consacra pleinement à son rôle d’épouse soumise et de mère dévouée. Clémence ne voulait pas chercher là une explication au comportement de Louise qui, à l’opposé de Marthe, avait refusé de rester engoncée dans la respectabilité, allant jusqu’à sacrifier son enfant à sa liberté. <br> <br>A PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Après une carrière d’enseignant...
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<b>Séparés contre leur gré, Jalia et Ulcide seront tout deux au cœur des dangers qui menacent Inaré...</b> <br> <br>Jalia et Ulcide sont désormais séparés, victimes une fois encore de leur sombre destinée. Et si le garçon survit comme il le peut grâce au fruit de ses larcins, il n’a pourtant de cesse de s’extirper de la gangue tenace qui le maintient dans la rue. La jeune femme, quant à elle, n’est pas logée à meilleure enseigne. Captive du dangereux Énapale Bellargred Deniog, elle tait le secret de sa grossesse et redoute chaque jour que la rondeur de sa silhouette la trahisse et la condamne à des tourments sans fin. Mais leur destin, toutefois, semble bien loin d’être scellé et, non content de rebondir, leur prépare une voie qu’ils n’imaginent pas emprunter tandis que des alliances de rois, de princes et d’empereurs déterminent l’avenir d’Inaré tout entière. Ainsi Men-Écrys l’Ophisien, à la fois Guide, Pacifiste et Père des Saintes Nations est conduit malgré lui sur le douloureux sentier de la guerre alors que sur Dipra, le continent voisin, s’ourdissent de sinistres complots sous la férule de l’impératrice des Ocasses, la Rizarque Ibini Nuv Tal. Des conflits se déclarent et des batailles s’engagent quand d’autres se préparent et se trament en silence. Rien de nouveau, semble-t-il, pour les peuples d’Inaré. Du moins, rien qui ne laisse présager l’ampleur des cataclysmes à venir ni l’amorce des fléaux qui promettent de bouleverser leur monde. <br> <br> <b>Entre batailles et complots, suivez la destinée toujours plus imprévisible de Jalia et Ulcide dans le second tome de cette saga de fantasy palpitante !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>De quelle façon verrait-il le jour ? Le sentirait-elle arriver ? Souffrirait-elle ? Elle n’en savait rien. Elle le supposait, bien entendu, mais n’avait aucune idée de ce qu’elle s’apprêtait à vivre et bien que se raisonnant le plus possible, ses angoisses la dépassaient lentement… Jusqu’au jour de trop… ce jour où, n’y tenant plus, elle interrogea sans détour son geôlier qui, d’abord dérouté, esquiva, affirmant que le manoir abritait toutes les personnes nécessaires pour que sa délivrance se déroule à merveille. De plus, Maître Babiane, son Drogueur, s’occuperait bien d’elle, avait-il rajouté en sortant précipitamment de la chambre, visiblement pris de cours et gêné. Voilà bien une réponse qui avait un goût de trop peu, songeait-elle amèrement. Pire, une réponse qui n’en était pas une et qui, loin de la rassurer, renforçait plus encore sa frayeur désormais proche de la panique. Un ultime rempart, alors, résistait en elle et lui interdisait de complètement céder : revoir son Ulcide, la moitié de son âme… son amant qui remuait sans doute ciel et terre pour la retrouver… Si seulement il était là… tout près… simplement à ses côtés, se lamentait-elle incessamment. Lui, saurait l’apaiser et lui redonner foi en l’avenir.  <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE - À propos du tome 1 <br> <br>Un o...
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<b>La nouvelle enquête du commandant Capelli au 36 quai des Orfèvres</b> <br> <br>Qui a abattu d'une balle dans la tête Romuald Valmorel, un banquier septuagénaire à la retraite ? Et pourquoi retrouve-t-on à ses côtés une statuette du dieu hindou Ganesh ? <br> <br>Le commandant Jean Capelli, chef de groupe à la Brigade Criminelle, et son équipe tentent de répondre à ces questions. <br> <br>Les policiers sont loin de se douter que cette enquête pas ordinaire les conduira de surprises en surprises. De vieilles angoisses planent sur le sommeil de Capelli, vieux flic désabusé. <br> <br>Après <i>Pour le repos des morts</i>, <i>Les Sanglots des Danaïdes</i> est le second roman du Commandant Copetti. On y retrouve le personnage de Capelli et le quotidien des flics de la Crim’ qui oscille souvent entre la comédie et la tragédie la plus sombre. <br> <br> <b>Un roman policier dans la grande tradition du genre</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Avec une profonde satisfaction, Romuald Valmorel contempla son image dans l’immense miroir vénitien fin XVIIIe siècle fixé dans l’entrée de son vaste appartement. À presque soixante-dix ans, l’ancien banquier conservait toujours une heureuse silhouette de jeune homme. Sa chevelure blanche, soigneusement coiffée en vagues à reflets gris-bleu, avait été miraculeusement épargnée par les ravages de la calvitie. Son sourire avenant, dont il n’était d’ailleurs pas avare, montrait une dentition éclatante en parfait état. La fortune qu’il avait dépensée en soins dentaires, ces dernières années, n’avait pas été vaine. Lorsqu’il regardait ses interlocuteurs, en fronçant les sourcils et en adoptant un air vaguement ironique très étudié, la tête légèrement penchée sur le côté, il estimait qu’avec ses yeux clairs il ressemblait à Paul Newman ou bien encore à Stewart Granger, selon son humeur du jour. <br> <br>A PROPOS DE L’AUTEUR <br> <br>Jean-Paul Copetti est commandant de Police au 36 quai des Orfèvres à Paris. <br>Il est chef d’un groupe d’enquête à la Brigade Criminelle et depuis presque trente ans essaie de résoudre des affaires de meurtre.
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<b>Alors qu'ils sont en séminaire d'équipe, des cadres de direction vont vivre un événement impensable.</b> <br> <br>Une DRH au bord du burn out emmène ses cadres de direction à un séminaire à la campagne : la plupart se détestent, les autres s’ignorent. Isolés du reste du monde, ils vont multiplier les activités afin de resserrer les liens de leur équipe. Jusqu’à ce que l’impensable se produise. Placés devant une situation extrême, nos protagonistes vont tous prendre une décision qui scellera leur destin. <br> <br> <b>Alliant finement humour, psychologie et scénario apocalyptique, Raphaël Somal nous livre un récit riche en rebondissements qui interroge notre propre humanité face au cauchemar.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>De la fenêtre de sa cuisine, elle aperçut un voisin qui traversait la cour intérieure de l’immeuble, escorté de son Yorkshire. En le voyant bâiller en jogging et chaussons, elle doutait que le monde pût appartenir à ceux qui se lèvent tôt, qu’ils soient tirés du lit par leur chien ou, comme elle, par leur stress. <br>Elle s’était réveillée en pleine nuit, comme à chaque fois qu’elle était tenue par un horaire particulier ou un déplacement professionnel. Après avoir caressé un temps l’espoir de se rendormir, elle s’était levée de guerre lasse à 5 heures. <br>Autant optimiser sa matinée. <br>Debout devant le comptoir de la cuisine, elle inséra une capsule dans la machine à café et, tandis que le liquide chaud coulait dans une tasse minuscule, elle alluma son téléphone mobile. À la lecture des mails signalés comme urgents qui étaient arrivés dans la nuit, elle ressentit une vive brûlure à l’estomac. <br>Elle mélangea aussitôt un sachet de poudre blanche à un peu d’eau, but la mixture en grimaçant, vida le fond du verre dans l’évier. La fenêtre étant située au-dessus de l‘évier, on ne pouvait échapper à la vue plongeante sur la salle de bain d’en face. Elle discerna, en ombre chinoise, la silhouette imposante de sa voisine assise sur les toilettes. <br>Détournant la tête, elle passa machinalement une main sur le fin duvet châtain qui lui recouvrait le crâne comme si sa chevelure pouvait avoir repoussé pendant la nuit. <br>La cuisine de sa mère étant trop petite pour y installer une table, il fallait traverser l’entrée pour se rendre dans le séjour si on voulait prendre son petit déjeuner assis, aussi il n’était pas rare qu’elle restât à boire son café debout, dans sa liquette en coton et ses grosses chaussettes. Ce faisant, elle consultait la messagerie professionnelle de son smartphone de manière compulsive, consciente que son stress s’en trouverait accru. Aucune réaction n’étant attendue de sa part à une heure aussi matinale, elle s’abstint de répondre afin de s’épargner une cascade de messages plus anxiogènes encore. Lorsqu’il s’agissait de manifester leur réactivité, ses collègues pouvaient se montrer particulièrement zélés. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Raphaël Somal</b> a grandi e...
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