Aventures déroutantes entre Afghanistan et Belgique pour le premier roman de John HenryA cause de la folie des hommes, Jack de Kaboul épouse une vie paradoxale, tissée sur le fil. Résister jusqu’à embrasser une double vie, forcer le destin et s’enfuir, tel est le prix de la liberté pour certains enfants d’Afghanistan.Dans une langue tendre et poétique, l’auteur nous livre une aventure hors du commun, inspirée de faits réels, et signe un premier roman vibrant, percutant. A PROPOS DE L'AUTEURAvant de publier son premier roman, John Henry a été salué par de nombreuses récompenses littéraires. Il a obtenu le prix d'été et d'hiver 2012 du concours shortédition, celui du concours de nouvelles 2013 de la Fédération Wallonie-Bruxelles et est également lauréat de la matinale 2013 de la littérature courte.EXTRAIT Je m’appelle Jack. Mes parents habitent une petite maison blanche, sur les hauteurs de Kaboul, à Deh Afghanan, sous l’antenne de télévision, une de ces maisons auxquelles on peut seulement avoir accès à pied. On ne se souvient honnêtement de rien avant trois ans et ce que je sais, c’est qu’aussi loin que ma mémoire puisse remonter, on m’appelait Jack. J’avais les cheveux courts et un bonnet noir par-dessus. Je descendais à la réserve d’eau avec mon père, nous remplissions nos bidons, on les posait sur le dos de notre âne Fakir et puis je n’avais même pas à tirer sur sa crinière, il me suivait partout Fakir et nous remontions la colline.
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<b>Zoom sur 170 ans de course à la présidence !</b> <br> <br>Entre 1848 et 2017, la France a connu vingt-quatre présidents de la République et vingt-neuf élections présidentielles. <br>L’élection de 1848 se déroule au suffrage universel masculin, mais l’heureux élu, Louis-Napoléon Bonaparte, tire parti de cette légitimité pour justifier le coup d’État du 2 décembre 1851. <br>Dès lors, le modèle républicain classique consiste sous les Troisième et Quatrième Républiques à faire élire le chef d’État par les parlementaires et à faire de la présidence une simple fonction arbitrale. <br>En 1958 et 1962, de Gaulle fait du président la clé de voûte des institutions. Sa désignation au suffrage universel direct renforce l’autorité du chef de l’État. <br>Les élections se succèdent et le système change peu à peu de nature. Aujourd’hui, il semble évident que le système des primaires qui se généralise modifie une nouvelle fois la physionomie de l’élection présidentielle, en confortant la démocratie d’opinion et l’emprise des sondages. <br> <br> <b>L’ouvrage de Jean-Louis Rizzo nous invite à réfléchir sur l’évolution de la culture politique en France. Il nous permet aussi de redécouvrir les candidats, les enjeux et les moments forts d’un scrutin présidentiel devenu un rite républicain.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Les 23 avril et 7 mai 2017, les Français éliront leur président de la République. Alors que sous les IIIe et IVe Républiques, le chef de l’État était choisi par les parlementaires réunis à Versailles, Charles de Gaulle a souhaité que la magistrature suprême résulte du vote populaire. Suite à la réforme constitutionnelle de 1962 adoptée par référendum, neuf élections présidentielles au suffrage universel ont déjà eu lieu entre 1965 et 2012. Il conviendrait d’ajouter l’élection de 1848, au suffrage universel masculin dans le cadre de la IIe République, pour donner un tableau complet de ces scrutins populaires. En comparaison, 16 élections présidentielles avec comme seul corps électoral un millier de parlementaires ont eu lieu entre 1879 (première élection de Jules Grévy) et 1953 (René Coty élu à la suite d’un scrutin complexe et indécis). Trois cas échappent aux deux modes de scrutin précédents, les élections de Thiers (1871) et Mac Mahon (1873) se déroulant hors du cadre constitutionnel et l’élection de Charles de Gaulle en 1958 résultant d’un mode de scrutin particulier expérimenté une seule fois. Au total, cela nous fait 28 élections présidentielles qui vont être rappelées dans le présent ouvrage. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Professeur agrégé d’histoire, <b>Jean Louis Rizzo</b> a enseigné au lycée de Montargis et à l’Institut d’études politiques de Paris. Il a publié sous son nom deux ouvrages sur Pierre Mendès France, ainsi qu’une biographie d’Alexandre Millerand.
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<b>Et si vous (re)découvriez Louis Scutenaire, auteur emblématique de la littérature belge, au travers d'un roman ?</b> <br> <br>Louis Scutenaire est un de nos grands écrivains surréalistes belges. Ses amis, René Magritte, d’origine picarde comme lui, Paul Nougé, Marcel Mariën et beaucoup d’autres, étaient des familiers de la « Luzerne ». Bien plus qu’une nouvelle biographie du poète, le roman ouvre un dialogue à travers le temps entre les occupants successifs de la maison schaerbeekoise. <br>On y découvre tour à tour la tendresse abrupte, l’impertinence débonnaire d’un personnage hors du commun et la complicité discrète dont l’auteure entoure l’évocation alternée de deux quotidiens entremêlés. <br> <br> <b>Dans ce récit biographique, Pascale Toussaint présente le quotidien de l'écrivain surréaliste de manière originale.</b> <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE  <br> <br>- "Par ce livre vivant et vrai, écrit avec tendresse et alacrité, Pascale Toussaint a voulu ouvrir "un dialogue à travers le temps entre les occupants successifs de la Luzerne"." ( <b>Francis Matthys)</b> <b><br></b> <br>A PROPOS DE L'AUTEUR  <br> <br>Diplômée de littérature française et romane, <b>Pascale Toussaint</b> enseigne cette matière depuis plus de vingt ans à Bruxelles. Portant une attention particulière à la littérature belge, elle a choisi de rédiger une anthologie regroupant ses auteurs les plus marquants. Comme le décrit son premier roman <i>J'habite la maison de Louis Scutenaire</i>, elle a posé ses valises dans l'ancienne maison de l'écrivain surréaliste. <br> <br>EXTRAIT  <br> <br>- Tu es sûr que c'est le numéro vingt ? <br>- Il y a une affiche !  <br>- Alors je vais sonner... Tiens !... C'est curieux !  <br>- Quoi ? <br>- Lis ! <br>- ... <br>- Tu crois que c'est lui ?  <br>- Non... Je ne crois pas qu'il habitait Bruxelles... <br>- Ah si ! il habitait Schaerbeek, comme Magritte. Ça j'en suis certaine ! <br>- En tout cas, l'inscription ne date pas d'hier. <br>- C'est joliment écrit.  <br>- À l'époque, tu vois, on écrivait encore à la main les noms sur les sonnettes. <br>- N'empêche, ce serait marrant si c'était lui ! 
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<b>Une chaise roulante peut-elle tomber amoureuse de son occupant ?</b> <br> <br>En vérité, ce serait même sa vocation. Mieux qu’une épouse, un enfant ou une mère, elle tient son patient dans ses bras, le réconforte en silence et le protège des atteintes de la vie. Et quand l’auteur pousse la chaise hors de l’hôpital, c’est pour découvrir dans Charleroi des SDF ou des « jeunes issus de l’immigration. »  <br> <br>De cette quête symbolique à la fois drôle et terriblement cruelle, Thierry Robberecht fait une fable sur la dignité, seule réponse possible face à la précarité de la condition humaine. <br> <br> <b>Un roman qui offre un nouveau regard sur le handicap, formidable ode à la tolérance.<br></b> <br>A PROPOS DE L'AUTEUR  <br> <br>Si  <b>Thierry Robberecht</b> est surtout connu pour écrire les textes de la série de bande-dessinée "La Smala", il est également l'auteur de plusieurs romans pour la littérature jeunesse. Il fut d'ailleurs lauréat du Prix de la Fureur de lire en 1993. <br> <br>EXTRAIT  <br> <br> <i>Ne prends aucune initiative… je suis là pour t’aider… Je suis la seule sur qui tu peux compter, en qui tu peux avoir confiance. La seule, tu m’entends ? Les infirmières, les médecins sont tous incompétents, ta famille et tes amis t’abandonneront dès qu’ils auront compris que tu ne seras plus jamais l’homme que tu étais. Cet homme-là n’existe plus. Il est l’heure de suivre son cercueil jusqu’à la fosse récemment creusée et, quand le cercueil aura disparu sous les pelletées de terre, détourne-toi de cet homme et efface-le de ta mémoire pour toujours. Moi, contrairement à ta femme, tes gosses, ta sœur et tes amis, je t’aime depuis le premier jour de ton infirmité. C’est ce jour-là qu’a commencé notre histoire. Ta femme aimerait être à ma place, mais elle n’en est pas capable. Elle ne peut pas te porter, seulement te supporter. L’homme que tu as été, j’en ai rien à foutre, je ne l’ai pas connu et je ne veux même pas le connaître, il ne m’intéresse pas. C’est toi que j’aime, avec la moitié de ton corps qui ne répond plus, n’oublie jamais que ce que je te dis là, c’est pour ton bien. Tout ce que tu tenteras sans moi sera voué à l’échec.</i> <b><br></b>
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<b>Des contes qui proposent une palette de thèmes variés !</b> <br> <br>C’est dans un monde aux mille couleurs qu’apparaissent un roi plein de sagesse, un cupide cordonnier ou une charmeuse magicienne hors du temps. À travers ces personnages et bien d’autres, Boubaker Ayadi dresse un portrait à la fois caustique et plein de douceur de la société arabe, au confluent de la modernité et de la tradition. <br>Passant du rire aux larmes, ces contes du monde arabe proposent une palette de thèmes variés, livrés sans concession mais toujours avec humanité. <br> <br> <b>Plongez dans ce recueil de contes arabes illustrés par Saïna Cissé.</b> <br> <br>EXTRAIT DE <i>La leçon</i> <br> <br>On raconte qu’un homme, vivant dans une contrée fertile, avait un enfant unique. Il l’éduqua bien, lui apprit les bonnes manières et lui inculqua les vraies valeurs de la vie. <br>Lorsque le garçon atteignit l’âge de voyager seul, son père lui dit : <br>— Maintenant que tu es grand, mon fils, va ton chemin. Je voudrais que tu parcoures les pays pour t’affermir, apprendre davantage et faire fortune. Quand tu auras accompli ton périple et pris le chemin du retour, alors, tu seras un homme. <br>Le jeune homme se munit de provisions de route, fit ses adieux à son père, baisa le front de sa mère et s’en alla faire son chemin. <br>Son parcours ne fut pas sans embûches. Contraint de dévaler des pentes, de suivre des sentiers sinueux, de traverser des rivières, il sentit l’épuisement le gagner. Lorsqu’il s’arrêta au troisième jour de marche pour se reposer dans une vaste prairie à l’orée du bois, il était à bout de forces. <br> <br>À PROPOS DES AUTEURS <br> <br> <b>Boubaker Ayadi</b>, né en 1949 à Jendouba en Tunisie, vit en région parisienne depuis 1988. Écrivain bilingue, il s'est essayé au roman, à la nouvelle, à la traduction, au feuilleton radiophonique et à la littérature de jeunesse. Il a publié, en arabe, cinq recueils de nouvelles, cinq romans et dix contes pour enfants, et en français, six recueils de contes et un roman de jeunesse. Sa littérature, saluée par les critiques, est en cours de traduction, elle fait également l'objet de travaux universitaires. <br> <b>Saïna Cissé</b> est illustratrice. <br>
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<b>En Savoie, le corps d'une mystérieuse jeune fille est découvert dans la neige.</b> <br> <br>Après Crime à Saint-Inn, sélectionné au festival du Premier Roman de Chambéry, <i>Le Revard pour linceul</i> nous plonge dans une nouvelle enquête, menée par le désormais célèbre commissaire Féra secondé par son adjoint, Renaud Durieux. <br>Cette fois-ci, nous quittons les rives du lac du Bourget pour le massif du Revard qui, de ses 1500 m, domine fièrement Aix-les-Bains et Chambéry. <br>Et c’est dans la brume et le froid que tout va commencer. <br>Qui est cette mystérieuse jeune fille ensevelie sous la neige ? <br>Qui l’a tuée et pourquoi ? <br>C’est le début d’une longue enquête au cours de laquelle des secrets vont peu à peu se dévoiler et éclairer d’une étrange lumière une affaire hors du commun. <br> <br> <b>Plongez-vous sans plus attendre dans un polar haletant et suivez le commissaire Féra et son adjoint Durieux en pleine Savoie, sur les traces d'une jeune filles découverte ensevelie sous la neige.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Pour aller au Revard, il opta pour une tenue classique seulement complétée d’un lourd pardessus à la Maigret et de chaussures à semelle épaisse pour pouvoir marcher dans la neige. D’habitude, c’était cette période de repérage sur les lieux qu’il préférait au cours d’une enquête. C’était à ce moment-là que les choses commençaient à se mettre en place, que lui venaient les premières intuitions, qu’il entrait progressivement dans l’affaire. Il n’était pas, comme Renaud, féru d’informatique. Il lui fallait rencontrer les gens, arpenter les lieux, s’imprégner de l’environnement du crime. <br>Mais cette fois se disait-il, en montant au Revard par une route bien dégagée, il avait le sentiment que la clé de l’énigme n’était pas sur les lieux du crime. Il n’était pas un adepte des contes de fées ni des œuvres de science-fiction mais il avait l’absurde impression que le corps de la jeune femme avait été transporté comme magiquement à cet endroit. Pourquoi pas, tant qu’on y était, par de petits hommes verts à bord d’une soucoupe volante. Il se voyait déjà interrogeant les habitants pour leur demander s’ils avaient noté les heures d’arrivée et de départ de la soucoupe. <br>Décidément, pour Féra, les choses ne s’arrangeaient pas. Ce n’était plus la retraite anticipée qui le guettait mais carrément l’asile. Heureusement personne n’était en mesure de décrypter ses pensées farfelues. « Quoique… » comme aurait dit Raymond Devos <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>D’abord professeur de philosophie, puis Directeur de la Qualité dans une compagnie d’assurance à Paris, <b>Roger Moiroud</b>, savoyard d’origine, est revenu s’installer, dès sa retraite, sur sa terre natale. Il s’adonne aujourd’hui à sa passion : l’écriture de romans policiers dont le personnage principal, Philibert Féra, est commissaire de police à Aix-les-Bains. <br>Son souci : l’exactitude des lieux décrits, le respect des procédures polic...
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<b>La disparition mystérieuse d'un professeur d'histoire sur le point de faire une découverte fracassante...</b> <br> <br>Où est passé Paul Galaire ? Peu de temps avant sa disparition, ce professeur d’histoire retraité avait envoyé à Jean-Jacques Bordier un courrier disant qu’il se sentait menacé, vraisemblablement en raison de l’avancée de ses travaux. Il précisait qu’il devait dissimuler certains résultats de ses recherches. Jean-Jacques, aidé par son ami Bernie Andrew, met facilement à jour plusieurs indices cachés par Galaire qui conduisent les deux acolytes sur la piste d’une célèbre et énigmatique toile de Nicolas Poussin, les Bergers d’Arcadie. Partant de cette ancienne région de la péninsule grecque et passant par différents châteaux d’Angleterre, les deux détectives amateurs vont se trouver, bien malgré eux, confrontés à un mystérieux code jamais décrypté jusque-là. <br> <br> <b>Deux détectives amateurs vous entrainent dans une enquête passionnante, entre la péninsule grecque et l'Angleterre. Découvrez le 10e volet des enquêtes mouvementées de Bernie Andrew !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Une pensée amère traversa Jean-Jacques. Il n’est jamais agréable de susciter l’indifférence et c’était bien là ce qu’il venait de subir. Un sentiment de rébellion s’empara de lui. Il décida de ne pas en rester là. <br>Quelques minutes plus tard, il garait sa voiture devant chez Paul Galaire. <br>Aucun véhicule n’était garé devant la maison. Comme la veille il parcourut l’allée gravillonnée et s’arrêta devant l’entrée. <br>Des pensées contradictoires lui traversaient l’esprit et il s’interrogeait vraiment sur les motivations qui l’animaient en ce moment. <br>S’agissait-il d’une véritable inquiétude pour un individu qu’il connaissait à peine, une sorte de curiosité pour connaître la fin de l’histoire ou tout bonnement la démarche de celui qui s’incruste alors qu’il a été fermement mis à la porte ? <br>La porte ? <br>Serait-elle fermée à clé aujourd’hui ou tout simplement poussée ? <br>Il toqua au panneau et se pencha en avant, l’oreille tendue. Aucune réponse ! <br>Les recommandations de Paul Galaire qui l’avait autorisé à entrer en son absence étaient toujours d’actualité. Il réitéra son geste et, sans plus attendre, actionna doucement la poignée. La porte s’ouvrit sans un bruit, il fit un pas en avant. <br>Une forme d’angoisse s’empara de lui. Il se demanda soudain s’il ne commettait pas une intrusion en pénétrant à nouveau dans cette maison manifestement vide de tout occupant. <br>Habité par un pressentiment funeste, il prit, à pas de loups, la direction du salon. <br>Le spectacle qui s’offrit à lui fit le même effet qu’un coup de poing en pleine poitrine. Tout était sens dessus dessous, la grande table encombrée la veille avait été balayée par une tornade déchaînée, le meuble où trônaient une multitude d’ouvrages avait été vidé de son contenu, jeté sans ménagement sur le sol. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>...
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<p><b>Quel est ce mystérieux saboteur de bateaux qui sévit dans un petit port de Bretagne ?</b><br><br>Dans un petit port du nord Finistère, depuis plus de quinze ans, un mystérieux malfaiteur sabote les bateaux mouillés sur l'estran. Amarres coupées, trous percés dans les coques, orins engagés dans les hélices, tous les coups sont utilisés pour détruire les bateaux. La rumeur a désigné le coupable de ces exactions : Fanch Brendaouez dit "le Renard".<br>Ce vieil original a tout pour faire un bouc émissaire parfait : dernier descendant d'une ethnie redoutée de la population paysanne, les goémoniers, il se plaît à provoquer, par sa vêture, par son non-conformisme aussi. Mary Lester est priée de mener une enquête discrète et de mettre hors d'état de nuire ce fameux "Renard". Cependant, ses investigations ne la mènent pas au coupable désigné. Elle retrouve sur son chemin une vieille connaissance, le sinistre Charraz.<br><br><b>Découvrez ou redécouvrez un morceau de Bretagne à travers ce thriller haut en couleur !</b><br><br>EXTRAIT<br><br>— Alors capitaine Lester, quid de cette expédition à Nantes?<br>Le commissaire divisionnaire Fabien, tiré à quatre épingles comme à son habitude, les mains jointes sur le ventre, carré dans son confortable fauteuil de bureau, un sinueux sourire de chanoine aux lèvres, contemplait Mary Lester les yeux mi-clos.<br>C’était un siège de similicuir, certes, — mais vraiment bien imité, ciré comme du vrai — avec accoudoirs et repose-tête, un vrai fauteuil de patron, mieux conçu pour les somnolences d’après déjeuner d’affaires que pour un travail efficace. D’ailleurs, hors le sous-main de buvard vert posé devant le commissaire, il n’y avait rien sur le plateau de bois verni. Pas une feuille, pas un document, pas une trace de poussière non plus. Le faux acajou luisait comme un étang sous la lune.<br>Mary Lester, assise sur une chaise face au commissaire, lui rendit son sourire et demanda de cet air candide qu’elle savait si bien prendre :<br>— Vous latinisez à présent?<br><br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE<br><br>Le décor est très bien décrit par Jean Failler, chaque rocher de Guissény à Brignogan semble être passé sous sa loupe. C’est très étonnant de retrouver son terrain de jeu d’enfant comme décor d’un polar assez noir ! - <b>Dadoo, <i>Ma Bibliothèque</i></b><br><br>Habile, têtue, fine mouche, irrévérencieuse, animée d'un profond sens de la justice, d'un égal mépris des intrigues politiciennes, ce personnage attachant permet aussi une belle immersion, enquête après enquête, dans divers recoins de notre chère Bretagne. - <b>Charbyde2, <i>Babelio</i></b><br><br>À PROPOS DE L'AUTEUR<br><br>Cet ancien mareyeur breton devenu auteur de romans policiers a connu un parcours atypique !<br><br>Passionné de littérature, c’est à 20 ans qu'il donne naissance à ses premiers écrits, alors qu’il occupe un poste de poissonnier à Quimper. En 30 ans d’exercice des métiers de la Mer, il va nous livrer pièces de théâtre, romans histo...
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