<b>Un Marines meurt soudainement d'une overdose à Manhattan, il est équipé d'une prothèse hors de prix pour un soldat revenu d'Irak...</b> <br> <br>Thelonious Avogaddro, « Thel » pour les intimes, s’apprête à quitter la police de New York pour ouvrir son officine de détective privé, quand un Marines contrarie ses plans en venant mourir d’une overdose dans un club gay de Manhattan. Mais Thel flaire autre chose : le défunt est équipé d’une prothèse dernier cri, hors de prix pour un soldat tout juste rentré du front irakien. <br>Aidé de sa jeune coéquipière Carol, il se lance dans une incroyable enquête qui les mènera de New York à Djibouti, en passant par Copenhague… <br>Un trafic insoupçonnable, des Marines manipulés de façon indigne, la fille d’un leader politique danois assassinée,… constituent sur fond de jazz les ingrédients d’ <i>À pas comptés</i>, largement salué par la critique, finaliste de La Plume de Cristal, et en cours d’adaptation cinématographique. <br> <br> <b>Suivez Thelonious Avogaddro, inspecteur à la police de New-York et grand amateur de jazz, dans une enquête palpitante entre New York et Djibouti, en passant par Copenhague. Un polar salué par la critique et bientôt adapté sur grand écran !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Sa tension se relâcha à la vue du camp, patchwork de tentes jaunes et oranges que balisaient des drapeaux de la République de Djibouti et du HCR – le Haut-commissariat aux réfugiés. Le contrôle franchi, il pénétra à vitesse réduite au milieu des abris de fortune, cherchant à éviter la population hagarde, et se gara devant le bâtiment sommaire qui abritait le département de chirurgie orthopédique. <br>Le docteur Christophe Bures détourna son regard de la petite fille encore endormie. Quel âge lui donner ? Sept ans, huit tout au plus. Excisée comme nombre de Somaliennes, les traits fins, la peau cuivrée, elle était typique de ces femmes des hauts plateaux. Il venait de lui infliger une nouvelle mutilation, nécessaire celle-là : une balle perdue avait provoqué des dégâts irréversibles sur cette innocente, dont le seul tort avait été de se trouver au mauvais endroit. L’amputation de sa jambe s’était déroulée sans anicroche. Il n’avait pas eu d’autre choix que cet acte radical pour la sauver. Dans cette crasse ambiante, il fallait aller au plus pressé, trancher des membres grouillants d’asticots. De la chirurgie de guerre. Sans états d’âme, ou plutôt si. Mais c’était trop tard : le souvenir nauséabond de son passage éclair au Kosovo lui collait l’âme et le corps, sans rédemption possible. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Chris Costantini… Le Bashung du polar. - <b>Julie Malaure, <i>Le Point</i></b> <br> <br>Les personnages sont très attachants, les flics qui mènent l'enquête, tant au Danemark qu'à New York ne sont pas des super héros, mais des hommes et des femmes blessés qui font avec leurs maux existentiels, on peut se reconnaître en eux. Le livre est aussi un magnifique homm...
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<p><b>Que signifie le mystérieux sigle, GLAS, trouvé à proximité d'un cadavre impossible à identifier ?</b><br><br>Le cadavre d'un homme, impossible à identifier, est découvert par deux enfants dans la vallée du Costour, près de Brest. Que signifie le mystérieux sigle, GLAS, trouvé à proximité du corps ? Le meurtre ne fait aucun doute mais seule l'autopsie élucidera les circonstances extraordinaires du décès. Une intuition amène le commissaire Enor Berigman, du SRPJ de Brest, à soupçonner un lien avec la mystérieuse disparition, un mois auparavant, d'un vétérinaire d'Audierne. Avant que la traque d'un tueur particulièrement retors ne donne des résultats, le commissaire Berigman devra puiser dans toutes ses ressources et celles de son équipe pour résoudre cette affaire hors normes. <br><br><b> Le commissaire Enor Berigman devra à nouveau faire l'impossible afin d'élucider des meurtres étranges... Un polar régional captivant en plein cœur de Brest !</b><br><br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE</p> <p>"Très bon livre , j’adore cet auteur" <b>Philippe BOSCHET, Amazon</b><br></p> <p>À PROPOS DE L'AUTEUR<br><br>Professeur des écoles pendant plus de trente ans au Faou, maire honoraire de la ville, <b>Pierre Engélibert</b> a profité de son départ à la retraite pour se remettre à l'écriture. Il est membre du collectif d'auteurs “L'Assassin Habite Dans Le 29”.</p>
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<b>D'étranges phénomènes viennent perturber l'adolescence d'Alexandra : comment expliquer cette audition hors du commun ?</b> <br> <br> Alexandra et sa mère emménagent dans une nouvelle ville de l'Idaho pour fuir un beau-père abusif. Alors qu'elles tentent de se reconstruire, Alexandra découvre que son audition est bien plus développée que celle des autres. Inquiète et perplexe, elle garde ce secret pour elle, jusqu’à ce qu’un voyage chez ses grands-parents lui révèle la vérité : elle est une Sentinelle, un être doté de dons surnaturels et de sens hyper-développés. Dans ce monde caché, Alexandra doit apprendre à maîtriser ses capacités tout en naviguant entre amitiés naissantes et premiers amours, notamment avec un jeune homme dont la famille est aussi Sentinelle. Mais son passé refait surface de la pire des manières : elle doit affronter la violence de son père pour sauver sa mère, au péril de sa propre sécurité. <br> <br> <b>Plongez dans le premier tome de cette saga fantastique captivante, et suivez Alexandra dans une aventure où les dons extraordinaires, l’amour et les dangers du passé se mêlent.</b> <br> <br> <b>EXTRAIT</b> <br> <br> <i>Je peux sentir tous les regards sur moi, je suis un peu gênée de tout ça, en passant devant l’escalier, j’entends quelqu’un en descendre, je suppose que cela doit être Matt, mais ne regarde pas pour confirmer mes dires.<br> Je sors rapidement de la maison et pars à pied car ma voiture se trouve chez moi, cela me fait du bien de marcher, je sens à plusieurs reprises mon téléphone sonner, mais je ne réponds pas, sachant que cela devait être mes amis qui m’appellent ne comprenant pas ma décision.<br> J’arrive chez moi, il est tard et ma mère dort, je lui dirais donc demain matin au réveil, je monte dans ma chambre, allumant mon pc je me débarrasse de mes chaussures, puis m’assois sur mon lit, au bout d’un moment, je pars dans la salle de bain me changer, je mets un short pour changer, car il fait lourd ainsi qu’un débardeur noir, en retournant dans ma chambre j’ai un choc en voyant quelqu’un assis sur mon lit.<br> — Matt que fais-tu ici ? Tu m’as fait peur là.<br> — Désolé ce n’était pas le but, j’ai parlé avec mon frère.<br> — Ah ! Et ?<br> — Tu ne peux pas renoncer à ton rêve à cause de moi.<br> — Je préfère y renoncer plutôt que de te perdre, lui dis-je en baissant la tête.<br> — Ce n’est pas prêt d’arriver, j’ai été bête, je n’ai pensé qu’à moi, tu as la chance de pouvoir vivre l’un de tes rêves alors vis le sans te soucier de ce que je pense.<br> — Non ça je ne peux pas, ton avis compte énormément pour moi, quand je t’ai dit que c’était l’un de mes rêves, ce n’est pas le plus important.<br> — Et quel est ce rêve qui est plus important alors ?<br> — Vivre avec toi, être avec toi et surtout devenir ta femme, si cela veut dire renoncer à ce rêve alors je le ferais.</i> <br> <br> <b>À PROPOS DE L'AUTEURE</b> <br> <br> <b>Natacha Marchand</b>, âgée de 37 ans et originaire de Seine-e...
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De courtes histoires composent ce roman de la ville si particulier, le premier texte d’Amandine Dhée, où l’on découvrait alors avec jubilation ce ton décalé et cet humour parfois corrosif qui lui sont propres. <br> <br> <br>Dans <i>Du bulgom et des hommes</i>, l’autrice-narratrice, dans un monologue adressé directement au lecteur ou à la lectrice, décortique avec humour des situations absurdes auxquelles sont confronté.e.s la plupart des citadin.e.s d’une grande ville. Vieilles dames armées, super-héros souterrains, conseillers municipaux inspirés… sont autant de personnages inventés pour mieux saisir l’absurdité de ce monde. À la façon d’un documentaire animalier, Amandine Dhée passe au crible les comportements humains en milieu urbain. <br> <br>Au risque de se répéter, c’est jubilatoire, que l’on soit citadin ou non ! <br> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEURE <br> <br> <br> <b>Amandine Dhée</b> est écrivaine et comédienne. L’émancipation, notre rapport à autrui et à notre environnement de vie sont les thèmes récurrents qui marquent son travail, distingué par le prix Hors Concours pour <i>La femme brouillon</i> en 2017. <br> <br> <br>Son besoin d’exploration des formes l’amène régulièrement sur scène pour partager ses textes lors de lectures musicales ou encore pour y interpréter un rôle dans l’adaptation de ceux destinés au théâtre. <br> <br> <br> <br> <br> <br>
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Un crime sanglant dans une résidence paisible, une joyeuse bande de retraités à la gouaille ravageuse, des jeux sexuels dangereux, les prémices d’une épidémie mondiale sur fond de rites satanistes et de délires amnésiques. Et des mouches. Beaucoup de mouches. Partout. Tout le temps. <br>Bienvenue à la Résidence des Ormes d’Oullins, théâtre morbide du meurtre d’Hervé Chaliez. Crime crapuleux ou crime passionnel ? Qui pouvait en vouloir au riche pharmacien de 71 ans ? Embarquez pour un jeu de piste déroutant et foisonnant, au gré du vrombissement des mouches. <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Une heure plus tard, fatigués par cette étouffante journée d’été, qui, de plus ne se terminait pas beaucoup d’agitation Alain et Christian, voisins de palier au troisième étage de la Résidence des Ormes, échangeaient d’un balcon à l’autre leurs commentaires sur les événements en cours. Tout d’abord, à propos de cette chaleur torride depuis vingt jours, ce qui n’avait jamais été observé à Lyon depuis leur arrivée sur terre, c’est-à-dire pendant soixante-dix ans. Ils étaient conscrits, et, depuis l’école communale ne s’étaient jamais vraiment perdus de vue. À présent, à la retraite, ils avaient acheté deux appartements mitoyens dans cette résidence haut-de-gamme. Le quartier était réputé tranquille, bien fréquenté, proche des commerces du centre-ville et à cinq minutes à pied de leur Bar-tabac-PMU-Loto préféré, à mi-chemin du stade-boulodrome fief de la « Joyeuse Boule Oullinoise » dont ils étaient Vice-Président (Christian) et Trésorier (Alain). Attention, on parle ici du « Vrai jeu de boules », celui des Gones, pas le jeu petit bras des « kékés » du Midi ou des campings Les Flots Bleus ! Non, le vrai sport des hommes natifs de Lyon et de la Croix-Rousse ! <br>Accoudés à leurs balcons respectifs, ces deux vaillants sportifs contemplaient à leurs pieds un spectacle tout à fait insolite : rangés le long du trottoir, devant l’entrée principale de l’immeuble, dans l’ordre d’arrivée, on voyait un camion de pompier gyrophares allumés, une ambulance de secours d’urgence et deux voitures de police. Deux pompiers et policiers étaient en faction, un responsable parlait dans sa radio et dans l’ambulance, le personnel s’affairait. Toute une bande de voisins et de gamins à trottinette ou vélo était rassemblée. On échangeait et commentait, les smartphones étaient sortis, on diffusait la nouvelle en l’illustrant de selfies montrant l’ambulance en arrière-plan, tout en se bousculant pour mieux voir qu’il n’y avait rien à voir ! <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Tout d’abord destiné à exercer le métier de professeur des collèges, mais devenu enseignant-chercheur ; formé en chimie organique, en biologie et en pharmacologie, <b>Guy Adrian</b> a poursuivi une carrière dans l’industrie pharmaceutique en tant que directeur de recherche, puis consultant en parcourant notre vaste monde. Après une retraite précoce, il s’est lancé dans la peinture fi gurative puis d...
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Début 2015, s'ouvre le procès du meurtre d'Anne-Sophie Sérisé, une assistante de direction tuée un an auparavant par son patron. Jean, l'un de ses ex-collègues, suit les audiences et se souvient des années passées. Il a longtemps fréquenté un monde de jeunes artistes, intellectuels, normaliens, YouTubers, chefs d'entreprise et créatifs du web et des nouvelles technologies – des beautiful people qui se retrouvaient dans quelques salons très privés. <br>En 2013, il avait entrainé deux de ses collègues, Aurore et Arnaud, dans une enquête concernant une fusion d'entreprises ayant fait la fortune de M…, devenu depuis secrétaire général adjoint à l'Elysée, et de son étrange conseiller spécial Pierre-Alexandre Ben Bella. Auraient-ils dérangé de puissants intérêts ? <br>Au bout de quelques jours de procès, un détail innocente le principal suspect. L'accusation s'écroule. Ne faut-il pas creuser la piste M… ? <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Lévan Sardjevéladzé</b> est auteur de jeux vidéo à succès qui touchent plusieurs millions de joueurs dans le monde, comme <i>Les Royaumes Renaissants</i> qui est devenu un grand classique du genre. Entrepreneur, fondateur et dirigeant de Celsius Online, président du Syndicat National du Jeu Vidéo, il porte un regard précis et informé, tendre mais sans illusions, sur la génération qu'il décrit. C'est moins une enquête policière qui est au centre de son roman, que les contours de la grandeur et de la décadence de la « start-up nation ».
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Entre 794 et 1185, période Heian, au Japon naquit le clan Hatakira, exclusivement féminin, contraint de se réfugier sur l’île aux papillons pour échapper à la violence des hommes. Leur rencontre avec le forgeron des âmes engendra la société secrète la plus monstrueuse de l’histoire. En dépit des siècles, leur haine envers la gent masculine demeura insatiable. En 1967, le 23e maître des âmes vit le jour, pour la première fois, hors du Japon. S’agissait-il d’un bon présage ou de la manifestation d’un monde en mutation aux destins incontrôlables ? <br> <br> <br> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Passionné par le japon, les arts martiaux et plus particulièrement la voie du sabre, <b>Hugo Reit</b> s’en est inspiré pour l’écriture de "La prison des âmes". Retraité, il partage son temps entre l’écriture et ses anciennes passions qui le captivent toujours.
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Dans <i>À mains nues</i>, Amandine Dhée explore la question du désir à la lumière du parcours d’une femme et de ses expériences sexuelles et affectives. Comment devenir soi-même dans une société où les discours tout faits et les modèles prêts à penser foisonnent ? La narratrice revisite toute sa vie, de l’enfance à l’âge adulte et se projette à l'âge de la vieillesse. <br>La réflexion féministe apparaît à chacun de ces âges de la vie. <br>Amandine Dhée poursuit ainsi la réflexion entamée en 2017 avec <i>La femme brouillon</i> sur la représentation des femmes dans l’imaginaire collectif et leur émancipation. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEURE <br> <br> <b>Amandine Dhée</b> est écrivaine et comédienne. L’émancipation, notre rapport à autrui et à notre environnement de vie sont les thèmes récurrents qui marquent son travail, distingué par le prix Hors Concours pour <i>La femme brouillon</i> en 2017. <br>Son besoin d’exploration des formes l’amène régulièrement sur scène pour partager ses textes lors de lectures musicales ou encore pour y interpréter un rôle dans l’adaptation de ceux destinés <br>au théâtre.
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