<b>Une disparition au goût amer...</b> <br> <br>La rédaction du <i>Gastronome français</i> est en ébullition. Le corps d'un des critiques de cette bible de la gastronomie a été retrouvé flottant dans la Vilaine. Si l'enquête de la gendarmerie conclut à un suicide, la famille du défunt ne croit pas à cette hypothèse. Pour eux, Thierry Martin a été assassiné. <br>Le directeur du <i>Gastronome français</i> n'est pas loin de partager cette conviction. D'autant plus que la victime était censée être en inspection en Dordogne et non en Bretagne. Il charge Arsène Barbaluc, son célèbre collègue, enquêteur privé à ses heures, de faire la lumière sur cette mort. Une enquête étrange qui conduira Arsène Barbaluc jusqu'à Brest. De Recouvrance au quartier Saint-Marc, de la Cavale Blanche jusqu'à Porspoder, il se retrouvera confronté à une jolie brochette de crabes… <br> <br> <b>Christophe Chaplais nous embarque dans une nouvelle aventure fascinante au pays de la gastronomie, avec le 7e tome des enquêtes gourmandes d’Arsène Barbaluc !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>André Gibon attendit que tous soient sortis avant de se laisser choir dans un des fauteuils. <br>— C’est une sale affaire, avoua-t-il à Barbaluc. <br>— C’est-à-dire ? <br>— Samedi matin, quand j’ai appris le décès de Thierry Martin, tout était clair. Le malheureux s’était bel et bien suicidé. <br>— Comment cela s’est-il passé ? <br>— Vendredi soir vers 23 heures, il a téléphoné à son fils Guillaume pour lui dire qu’il comptait mettre fin à ses jours. Ce dernier a tout de suite prévenu sa mère qui n’a jamais réussi à joindre à nouveau son mari. Le lendemain matin, on a retrouvé son corps flottant dans le port de La Roche-Bernard et sa voiture abandonnée à proximité des ruines de l’ancien pont qui enjambe la Vilaine. <br>— Pourquoi était-il en Bretagne ? <br>— Je n’en sais fichtre rien. Normalement, il devait passer toute la semaine en Dordogne. Mercredi, il nous a d’ailleurs envoyé par mail ses premiers comptes rendus d’inspection sur des restaurants de la région de Sarlat. <br>— Et que dit la gendarmerie ? <br>— Elle confirme la thèse du suicide. Martin aurait sauté dans la Vilaine… Il ne savait pas nager. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Éditions Bargain, le succès du polar breton <i>. -</i> <i><b>Ouest France</b><br></i> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Christophe Chaplais</b> s’y connaît en recettes. Moitié breton, moitié dauphinois, pleinement bon vivant. Il sait comme personne, toutes papilles en action, faire d’un plat une poésie goûteuse. Mais tout cela serait vain si la gastronomie n’était prétexte à affaire criminelle. Intrigue aux petits oignons, personnages à la sauce aigre-douce, rebondissements entre la poire et le fromage, voilà le secret du "chef" Chaplais pour vous concocter un suspense qui ne manque pas de piment. Cette fois, l’auteur expédie Arsène Barbaluc vers la ville de Brest en Finistère. À l’inspecteur gastronomique de...
Legimi.pl
<b>Un psychopathe tétanise la ville de Saint-Bredan en Bretagne.</b> <br> <br>Tapi derrière son apparence d’homme ordinaire, le Crabe regarde la peur se répandre sur Saint-Bredan, port de la côte bretonne et paradis des sports nautiques. Et il exulte. N’est-il pas le maître du jeu, libre désormais d’assouvir ses penchants pervers et dévastateurs ?… <br>Mais le Crabe se trompe. <br>Julie Cotten, la bouquiniste, a décidé de démasquer l’assassin de son amie d’enfance dont le corps vient d’être retrouvé sur la grève de Keravel. Et la traque commence. Très vite, la libraire comprend qu’un tueur en série entremêle inextricablement le présent et le passé, la cruauté et le plaisir, la terre et la mer… <br>Julie Cotten payera-t-elle de sa vie son affrontement avec le psychopathe ? Sera-t-elle la dernière victime du Crabe ? <br> <br> <b>Ce thriller psychologique prend la forme d'une chasse à l'homme et vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière ligne !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>— Oh ! Seigneur… gémit Julie. <br>Elle sentit alors qu’on la prenait par l’épaule. <br>— Viens… Viens ça suffit comme ça. Paul l’entraînait vers la sortie. <br>Elle fit quelques pas puis regarda en arrière. <br>Rozenn… Le silence de Rozenn qui ne pouvait plus parler. Plus répondre. Plus se défendre. Le vide. Le blanc. Le trou d’une mémoire à jamais éteinte. Alors elle retourna sur ses pas et posa une main sur le front de la morte. Il lui sembla soudain être revenue au temps du lycée quand, debout à côté de Rozenn comme un brave petit soldat, elle avait pris son parti. Une fois pour toutes… <br>— Je trouverai celui qui t’a fait ça, dit-elle d’une voix blanche. Je le trouverai et il payera. Je te le jure. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Éditions Bargain, le succès du polar breton. -  <b><i>Ouest France</i></b> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>D’origine suisse, enseignante de formation, <b>Michèle Corfdir</b> obtient en 1972 le Prix des Poètes Suisses de Langue Française. Elle publie des récits destinés à la jeunesse et collabore comme nouvelliste à diverses revues. Etablie depuis une vingtaine d’années sur la côte nord de la Bretagne, elle a choisi ce cadre-là pour son premier thriller. <br> <br>À PROPOS DE L'ÉDITEUR <br> <br>"Depuis sa création en 1996, pas moins de 3 millions d'exemplaires des 420 titres de la collection « Enquêtes et suspense » ont été vendus. [...] À chaque fois, la géographie est détaillée à l'extrême, et les lecteurs, qu'ils soient résidents ou de passage, peuvent voir évoluer les personnages dans les criques qu'ils fréquentent." - <b>Clémentine Goldszal, <i>M le Mag</i>, août 2023</b>
Legimi.pl
<b>Sur la presqu'île de Rhuys en Bretagne, le professeur Corton est retrouvé mort dans un lavoir... Le commandant Rosko mène l'enquête, tout comme un généalogiste et une étudiante en patrimoine.</b> <br> <br>Le commandant Rosko enquête sur la mort du professeur Casimir Corton, retrouvé dans un lavoir – à proximité du château de Suscinio, sur la presqu’île de Rhuys. <br>Un généalogiste – neveu de la victime – et une étudiante en patrimoine enquêtent également. L’intérêt de ces deux protagonistes pour l’Histoire les mène au château de Suscinio, à Kerguet, à Penvins, à Arzon, à Pénerf, à Saint-Armel, à Vannes, à Theix, à Timadeuc, à la Vraie-Croix… sur les traces d’un génial artisan bâtisseur, détenteur d’un secret… très dangereux. Même si Rosko veille sur eux de loin, ils vont connaître des aventures rocambolesques, suivre un périlleux jeu de piste semé d’embûches, où le danger est omniprésent, et la peur planera souvent sur leur tête. <br>Ce polar haletant nous entraîne entre légendes et faits réels, et nous conte que l’Histoire peut avoir une influence sur la réalité d’aujourd’hui. <br> <b><br></b> <b>Un jeu de piste haletant </b> <b><b>sur les traces d’un génial artisan bâtisseur </b></b> <b>! Ce 5e tome des enquêtes du commandant Rosko se situe entre légendes et faits réels, entre l'Histoire passée et le présent...</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Anne-Cécile, jeune mais pragmatique, alla chercher une branche flexible et toucha le ventre rebon di. Après bien des efforts, elle réussit à ramener le corps sur le bord et les quatre, s’aidant et se soutenant dans la peine, le sortirent de l’eau. Elles se signèrent pour alléger l’âme du défunt et surtout la leur, très lourde à porter. <br>— Il faut appeler Monsieur le curé pour l’extrême-onction. <br>— Tu parles s’il y pourra quelque chose. <br>— Ce serait plutôt les gendarmes. <br>— Ou les pompiers. <br>— En tout cas, pas le SAMU… mais le croquemort ! <br>Elles mirent un bon quart d’heure à se décider. Anne-Cécile composa le numéro de son mari sur le portable : « Tu connais le numéro de police secours ? » Elles continuèrent leurs supputations, ramenant à la surface un tas d’histoires de morts peu naturel les – et la presqu’île n’en manquait pas – : l’histoire du petit mousse au Petit-Mont à Arzon, où les habitants fleurissent encore sa tombe sur laquelle on peut lire « Qui donc repose ainsi face à l’Océan, dans cet enclos de fusains torturés par le vent ?» ; un trentenaire ramené sur le rivage, dont on ne connut jamais l’identité. Autre exemple, en 1785, Jean Le Mitouard, métayer de Kerbistoul, décède des suites d’une agression. Le fonds de la sénéchaus sée de Rhuys permet de suivre la procédure crimi nelle qui en résulte : celle-ci débute, à la requête du procureur du roi, par l’ouverture du cadavre de la victime. Ne sommes-nous pas friands de morbidité, tout en la déplorant ? Dualité, schizophrénie… Les lavandières ajoutèrent des détails, certaines anecd...
Legimi.pl
<p><b>Corinne disparaît suite à une étrange rencontre...</b><br><br>Un soir d’automne, pluie et brouillard, concert de rock dans une boîte isolée…Corinne disparaît cette nuit-là après avoir rencontré Steph, l’un des musiciens, à la fin du concert. Rencontre de hasard ou acte prémédité ? Le commissaire Baron enquête sur le meurtre d’une femme, dont le corps a été retrouvé à son domicile, quarante-huit heures plus tard. Quels rapports entretenait-elle avec Corinne ? Qui l’a tuée ? Un mari photographe aux clichés obscurs ? Un amant voileux et amateur de jazz ? Un inconnu qui la harcelait ? Ou Steph, le musicien discret ? Baron traque l’assassin pendant que Steph recherche Corinne, et leurs routes vont se suivre, se croiser, s’emmêler. Jusqu’à l’ultime vérité, inattendue.<br><br><b>Une enquête pleine de suspense et rebondissement pour le commissaire Baron, à la recherche d'une jeune femme disparue.</b><br><br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE<br><span><br>"</span><span>On a là un vrai polar bien noir, où on imagine le stéréotype du flic en imper et chapeau. L'auteur parsème son récit de touches bretonnes. Il arrive à nous berner jusqu'à la dernière page. J'en redemande !"</span><span> </span><span>- </span><b>Jalleks, </b><i><b>Babelio<br></b></i><span><b><i><br></i></b>"Quelle jolie découverte ! Un vrai roman policier comme je les aime ! Une intrigue passionnante qui ne se découvre à nous que dans les dernières pages ! Un policier taciturne et une victime surprenante. Du coup, je crois que je vais me précipiter à la découverte des autres !"</span><span> - </span><span> </span><span><b>PaulLennon, </b><i><b>Babelio</b></i></span><span><b><br></b></span><span><b><br></b>"Bien construit, bien écrit, un roman d'atmosphère comme l'affectionnent les lecteurs de Georges Simenon."</span><span><b> - Louis Gildas, </b><i><b>Télégramme<br></b></i></span><span><b><i><br></i></b>À PROPOS DE L'AUTEUR<br></span><span><br>Le nantais </span><b>Hervé Huguen</b><span> est avocat de profession, mais il consacre aujourd’hui son temps à l’écriture de romans policiers et de romans noirs. Son expérience et son intérêt pour les faits divers - ces évènements étonnants, tragiques ou extraordinaires qui bouleversent des vies - lui apportent une solide connaissance des affaires criminelles. Passionné de polar, il a publié son premier roman en 2009 et créé le personnage du commissaire Nazer Baron, un enquêteur que l’on dit volontiers rêveur, qui aime alimenter sa réflexion par l’écoute nocturne du répertoire des grands bluesmen (l’auteur est lui-même musicien), et qui se méfie beaucoup des apparences…</span></p>
Legimi.pl
<p><b>Quand la gastronomie tue…</b><br><br>Le petit monde de la gastronomie française s'est donné rendez-vous à Chinon. Sur les bords de la Vienne, les membres du prix Varenne consacreront dans quelques jours le cuisinier de l'année. Entre deux grands crus, les tenants de la nouvelle cuisine affrontent les défenseurs de la tradition.<br>Mais, alors que les nominés défilent pour montrer leur talent, un premier juré est assassiné. Peu satisfait de la manière dont les autorités traitent cette affaire, André Gibon, directeur du guide <i>Le Gastronome Français</i>, demande à Arsène Barbaluc de mener sa propre enquête. Sous les remparts de la forteresse royale, entre deux festins, il devra s'armer de patience face à un assassin, roi de l'illusion, qui ne manque ni d'imagination ni d'intelligence.<br><br><b>Savourez le 6e volet des enquêtes palpitantes d’Arsène Barbaluc jusqu’à sa dernière page !</b><br><br>EXTRAIT<br><br>Il regarda sa montre.<br>— Mais qu’est-ce qu’elle fait cette dépanneuse ?<br>Il se leva et quitta la salle du restaurant pour téléphoner au garagiste tant attendu. Arsène Barbaluc soupira. Pourtant tout avait bien commencé. Depuis qu’André Gibon lui avait appris, la semaine dernière, qu’il serait le second juré du Gastronome français au prix Varenne, Arsène Barbaluc était aux anges. Il existait une véritable compétition au sein de l’équipe d’inspecteurs dont il faisait partie. Compétition amicale certes, mais compétition tout de même. Pour la cinquième fois, il allait donc participer au concours qui désignerait le cuisinier français de l’année. Hormis le plaisir de goûter aux plats des plus grands chefs de France, il était assez fier d’avoir été désigné.<br>Dommage qu’André Gibon soit si contrarié. En temps normal, il aurait été intéressé par cette ancienne carrière creusée au XVI e siècle pour exploiter le tuffeau et transformée désormais en restaurant et champignonnière. Arsène Barbaluc avait lu dans le dépliant présentant l’établissement qu’on pouvait visiter la champignonnière avant de passer à table. Un tel lieu mériterait bien un article dans le mensuel du guide Le Gastronome françai. Arsène Barbaluc avait été étonné par la variété de ce qui poussait dans ce lieu : pleurotes roses, pleurotes jaunes, coprins chevelus, pieds bleus, shiitake et champignons de Paris. Il nota aussi des “galipettes”. Il avait demandé à la jeune fille qui assurait le service de leur table en quoi consistaient ces “galipettes”.<br>— Il s’agit du surnom des gros champignons de Paris. Leurs chapeaux peuvent atteindre une quinzaine de centimètres.<br>L’inspecteur gastronomique était convaincu qu’il lui faudrait revenir faire un reportage sur ce lieu surprenant.<br><br>CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE<br><br>Editions Bargain, le succès du polar breton. – <b><i>Ouest France</i></b><br><br>J'aime toujours l'ambiance et les personnages des enquêtes de l'inspecteur Barbaluc. On se régale dans un policier qui n'est pas sanglant mais prenant quand même. - <...
Legimi.pl
“Madame Mortimer, vous jurez de dire toute la vérité, rien que la vérité...” <br>À l’époque, Rita a juré que son mari avait été abattu par un cambrioleur quelques minutes après leur retour imprévu à la villa... Il y a sept ans de cela. <br>Aujourd’hui, un inconnu s’est introduit dans la chambre de Rita. Blême, les yeux creux, les mains dans les poches de son trench-coat fatigué, le feutre mou rabattu sur le front, il n’a guère bonne allure... <br>Et il prétend qu’à cause d’elle, il a passé sept années en prison, alors qu’il était innocent ! <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Stanislas-André Steeman</b> (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la <i>Revue Sincère</i>. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien <i>La Nation belge</i>. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie <i>Péril</i> en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, <i>Six hommes morts</i> remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). <i>L’Assasin habite au 21</i> (1939) et <i>Légitime Défense</i> (1942) (sous le titre <i>Quai des orfèvres</i>) sont portés à l’écran par <b>Henri-Georges Clouzot</b>. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. <b>Steeman</b> est sans conteste, avec <b>Agatha Christie</b> et <b>Georges Simenon</b>, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques. <br>À l’occasion des 100 ans de la naissance de <b>Steeman</b>, les éditions Le Cri publient, en 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.
Legimi.pl
À la suite d’une faille temporelle initiée par un savant fou, Enguerrand de Hautecour, sa compagne Patricia et deux de leurs amis se retrouvent prisonniers du temps durant sept jours, en décembre 1811. Faite prisonnière et accusée d’espionnage, l’élue de son cœur, dont la police est convaincue qu’elle veut assassiner l’Empereur, est vouée à une issue fatale. Risquant la mort, mais risquant surtout de manquer la fenêtre temporelle leur permettant de réintégrer leur époque, Enguerrand se lance alors à corps perdu dans une course effrénée contre la montre. Naufragé, en cette époque hostile, il n’a qu’un mince espoir, gagner à sa cause le chef de la Sûreté, le légendaire Vidocq et avec lui, élaborer un plan, afin de noyauter les mouvements royalistes hostiles à Napoléon. Coincé entre les contre-espionnages français et britannique, il va tout mettre en œuvre afin d’innocenter Patricia et regagner son vingtième siècle naissant dans une histoire haletante l’on a le souffle court de la première à la dernière page. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Né à Marseille à la fin des années 60, <b>Nicolas Nasica</b> a baigné durant toute son enfance dans la littérature et le cinéma d’aventures. Inspiré par Bob Morane, Indiana Jones, mais aussi par San Antonio et Michel Audiard, c’est tout naturellement qu’il est devenu archéologue, sans doute avec le secret espoir de vivre des aventures tout droit sorties de l’esprit de Steven Spielberg. Revenu de ses chimères archéologiques, il va retoucher terre durant près de vingt années en se partageant entre le marketing et l’informatique. Insatisfait d’une situation pourtant confortable, il arrête tout pour ses quarante ans et se lance à corps perdu dans l’écriture. Une période qui va être riche en rencontres et dans laquelle il va nouer de vraies belles amitiés parmi les gens de théâtre pour lesquels il écrit et plus tard dans le monde littéraire. Un monde où il va tout naturellement trouver sa voie, point final d’un cheminement artistique pleinement assumé et arrivé à maturité. Après plusieurs ouvrages alternant le polar et le roman d’aventures, il nous livre ici une histoire échevelée. Un récit digne des meilleurs page-turners américains et qui se lit comme on regarde un film. Sans s’arrêter et en faisant courir ses yeux sans trop respirer., 3eme roman,
Legimi.pl
In Ice Gillian Clarke turns to the real winters of 2009 and 2010. In their extremity they redefined all the seasons for her. Nature asserted itself and renewed the environment for the imagination. The poem 'Polar' is the poet's point de repère, evoking a polar-bear rug she had as a child and here resurrects in a spirit of personal and ecological longing that becomes a creative act. She lives with the planet, its seasons and creatures, in a joyful, anxious communion. The book also includes the asked for' and commissioned poems, and the Guardian spreads Clarke has written during her time as National Poet of Wales (2008-2013). She follows in the rich millennium-old Welsh tradition of occasional writing going back to the first-known named British poets Aneirin and Taliesin in the sixth century.
Legimi.pl