<b>Qui peut bien avoir assassiné Céline Kervizic pendant son jogging ? </b> <br> <br>Une joggeuse est retrouvée morte sur un chemin côtier près du port de Merrien à Moëlan-sur-Mer. <br>Le lieutenant de gendarmerie Loïc Le Floc'h se lance alors à la recherche de jeunes rôdeurs, mais vite dépassé par la complexité de l'enquête, il appelle à la rescousse son ami d'enfance, Gwénaël Guivarch. <br>Ce sera pour cet ancien commandant de la PJ de Quimper le début d'une rédemption qui le verra vaincre ses démons. <br>Les deux hommes vont devoir résoudre une énigme qui se corse rapidement avec l'accident suspect survenu au directeur de la société Breizh SDB, employeur de la jeune femme assassinée. <br>Leur enquête va les faire côtoyer Eva, une séduisante et sulfureuse femme russe ; Mây Lan, la timide eurasienne, femme soumise de Pierre Guidou le retors directeur commercial de Breizh SDB et Carole, la radieuse éducatrice d'Erwan, le fils autiste de Gwénaël dont la tentative d'enlèvement ne le fera pas renoncer à démasquer les coupables. <br> <br> <b>Plongez dans cette enquête essoufflante de Loïc Le Floc'h et Gwénaël Guivarch !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br> Un aboiement rauque l’a fait sursauter, la ramenant instantanément au temps présent. Un gros chien noir indiscipliné que promène le jeune couple qu’elle croise, tire frénétiquement sur sa laisse pour venir la flairer. Le trio s’écarte pour lui laisser le passage et Céline s’éloigne le plus possible du Labrador sans ralentir, remerciant d’un mouvement de tête les promeneurs. <br> Encore deux kilomètres, l’obscurité commence à tomber et la mer prend une teinte grise. Céline scrute maintenant avec attention le sol devant elle, craignant de se tordre une cheville. Elle pense déjà à la douche bienfaisante qu’elle va prendre en arrivant chez elle et au chocolat bien chaud et crémeux qu’elle dégustera ensuite. <br> Dernier kilomètre, elle dépasse le gros rocher qui lui sert de repère et ralentit sa course pour reprendre son souffle et mieux se relâcher dans les ultimes foulées. <br> Au loin, il lui semble distinguer une silhouette furtive qui se fige dans l’ombre de la falaise. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Né en 1955 à Suresnes (92), <b>Philippe David</b> est originaire du pays de Redon où il a passé de nombreuses vacances sur les bords de la Vilaine. <br>Passionné de course à pied et inspiré par la beauté sauvage de la CornouaiIle, il a choisi de situer l’action de ses romans dans le Finistère.
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Raoul de Limézy flânait sur les boulevards, allégrement, ainsi qu’un homme heureux qui n’a qu’à regarder pour jouir de la vie, de ses spectacles charmants, et de la gaieté légère qu’offre Paris en certains jours lumineux d’avril. De taille moyenne, il avait une silhouette à la fois mince et puissante. A l’endroit des biceps les manches de son veston se gonflaient, et le torse bombait au-dessus d’une taille qui était fine et souple. La coupe et la nuance de ses vêtements indiquaient l’homme qui attache de l’importance au choix des étoffes. Or, comme il passait devant le Gymnase, il eut l’impression qu’un monsieur, qui marchait à côté de lui, suivait une dame, impression dont il put aussitôt contrôler l’exactitude. Rien ne semblait à Raoul plus comique et plus amusant qu’un monsieur qui suit une dame. Il suivit donc le monsieur qui suivait la dame, et tous les trois, les uns derrière les autres, à des distances convenables, ils déambulèrent le long des boulevards tumultueux. Il fallait toute l’expérience du baron de Limézy pour deviner que ce monsieur suivait cette dame, car ce monsieur mettait une discrétion de gentleman à ce que cette dame ne s’en doutât point. Raoul de Limézy fut aussi discret, et, se mêlant aux promeneurs, pressa le pas pour prendre une vision exacte des deux personnages. Vu de dos, le monsieur se distinguait par une raie impeccable, qui divisait des cheveux noirs et pommadés, et par une mise, également impeccable, qui mettait en valeur de larges épaules et une haute taille. Vu de face, il exhibait une figure correcte, munie d’une barbe soignée et d’un teint frais et rose. Trente ans peut-être. De la certitude dans la marche. De l’importance dans le geste. De la vulgarité dans l’aspect. Des bagues aux doigts. Un bout d’or à la cigarette qu’il fumait. Raoul se hâta. La dame, grande, résolue, d’allure noble, posait d’aplomb sur le trottoir des pieds d’Anglaise que rachetaient des jambes gracieuses et des chevilles délicates. Le visage était très beau, éclairé par d’admirables yeux bleus et par une masse lourde de cheveux blonds. Les passants s’arrêtaient et se retournaient. Elle semblait indifférente à cet hommage spontané de la foule. « Fichtre, pensa Raoul, quelle aristocrate! Elle ne mérite pas le pommadé qui la suit. Que veut-il? Mari jaloux? Prétendant évincé? Ou plutôt bellâtre en quête d’aventure? Oui, ce doit être cela...
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<b>A la fin du XIXe siècle, la Compagnie des Salins du Midi se lance dans une vaste campagne de recrutement de mains d'oeuvre ouvrière. Parmi eux, Livio, un Italien qui a quitté son pays et la misère.</b> <br> <br>La Compagnie des Salins du Midi lance à l'été 1893 le recrutement des ouvriers pour le battage et le levage du sel. L'embauche est en réduction en raison de la crise économique que connaît l'Europe alors que la perspective de trouver un emploi saisonnier a attiré, cette année-là, un plus grand nombre d'ouvriers. Ceux-ci se partagent en trois catégories surnommées - les « Ardéchois », paysans, pas forcément originaires d'Ardèche, qui laissent leur terre le temps de la saison, - les « Piémontais » composés d'Italiens originaires de tout le nord de l’Italie et recrutés sur place par des chefs d'équipe, les chefs de colle, - les « trimards » composés en partie de vagabonds. Livio quittera son Italie natale, dans l'espoir d'une "autre"vie, sans misère. Les recruteurs sont venus dans son village. Comme beaucoup d'autres, il suivra... <br> <br> <b>Au travers du récit de la vie de Livio, découvrez l'histoire des ouvriers de la Compagnie des Salins du midi dans un roman historique complet et surprenant.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Livio avait quitté Montaionne au lever du jour alors que le soleil commençait sa course là-bas derrière les cyprès qui barraient l’horizon. La casquette enfoncée sur le front, les coudes sur la barre d’appui de la fenêtre, il suivait des yeux la silhouette des arbres semblables aux quilles de bois sur le sable poussiéreux de la placette de son village, quand, les jours de fête, il les fusillait de loin avec la boule de buis patiné qui les couchait au sol avec un bruit mat. Il n’y avait pas de travail pour lui là-haut sur la colline. Tous les hommes étaient au chômage, et seuls, les vieux entretenaient leurs terres et parvenaient encore à nourrir les femmes et les enfants. <br>Marcello, son cousin, l’avait précédé de quelques jours dans le sud de la France, où il s’était engagé pour le battage du sel aux salins d’Aigues-Mortes. Il avait promis à Livio de le faire embaucher dès qu’il aurait rencontré le chef de bricole chargé du recrutement de son équipe. Pour les équipes italiennes, il était italien et pour les françaises, c’était un français. On ne se mélangeait jamais, une compétition enragée régnait entre les deux communautés. Appelés aussi chefs de cole, ces chefs d’équipe intransigeants menaient les hommes au maximum de leur rendement. Ce n’était pas la première campagne de Marcello. Voilà trois ans qu’il partait ainsi pour un mois ou deux faire la récolte du sel et les vendanges dans le sud de la France, et qu’il ramenait assez de sous pour faire vivre chichement sa famille jusqu’au prochain été. Le travail était pénible, mais bien payé, et même si les Italiens n’étaient pas les bienvenus, ils étaient travailleurs, avaient peu d’exigences, contrairement aux journaliers français noyautés pa...
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<b>Une disparition, un mystère et une quête d'identité !</b> <br> <br>Sous un soleil écrasant, rois et généraux se livrent une guerre interminable. Bravant l’interdiction de son père, Nour passe ses nuits sur la terrasse de sa maison à rêver d’un pays où elle pourrait marcher en toute liberté. <br>Un matin, à son réveil, la maison est déserte. À la recherche de ses parents, Nour entreprend un long voyage qui lui forge une nouvelle personnalité, au point qu’elle oublie son passé. Mais comment être soi sans connaître sa propre histoire ? <br> <br> <b>Nour retrouvera-t-elle ses parents ? Pourquoi ont-ils disparu ? Que découvrira-t-elle durant son voyage ? Découvrez l'histoire de Nour dans ce roman fascinant !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Et enfin, ce matin-là, je pus sortir de ma maison. <br>La silhouette filiforme de Jafar, mon cousin, se présenta à moi. Il ne dit rien, il me regarda à peine. Sa main brute m’extirpa de mon lit de camp. Je protestai, un instant, mais son regard noir me fit taire aussitôt. Il prononça une phrase, rapide, inaudible, je compris qu’il fallait partir. Sa main ne me lâcha pas un instant, il m’entraîna hors de la terrasse. Ma petite main parvint à s’arracher à la menotte de fer. Je courus vers ma couchette et eus juste le temps de prendre avec moi mon petit carnet de dessins et d’agripper quelques crayons de couleur avant que Jafar ne revienne à l’assaut. Malheureusement, en descendant précipitamment les escaliers, je tombai. Mes crayons de couleur dévalèrent les marches. Le bleu, le vert, le rouge, le jaune… l’arc-en-ciel sombra dans l’obscurité. Je parvins toutefois en me relevant à attirer vers moi un petit crayon de couleur que je dérobai aussitôt aux yeux noirs de mon cousin. <br>On sortit. Dehors… On sortit de la maison. L’air, le soleil du matin… <br>Mon cousin me fit monter sur son mulet et me tendit un bout de pain. <br>« Où allons-nous Jafar ? demandai-je. <br>— On va… rejoindre tes parents. Ils t’attendent. Mange, nous avons une longue route devant nous », répondit-il sèchement. <br>Je perçus la confusion de Jafar, mais mon jeune âge ne me permit ni de l’interpréter ni de la comprendre. Je le suivis donc sans discuter, excitée à l’idée de sortir, de sentir l’air et le soleil enfin. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Un livre comme un écrin que l'on ouvre et dans lequel on découvre un bijou. Un texte fort et poétique malgré le contexte de la guerre. - <b>Booksandredlips, <i>Babelio</i></b> <br> <br>Un petit livre, tout petit, il tient dans une poche. un format comment dire original. Et une histoire prenante. Une manière d'écrire douce comme du miel. - <b>FleurdeCoree, <i>Babelio</i></b> <br> <br>A PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Enfant, <b>Amel Isyès</b> rêvait de devenir enseignante. Ses études l’ont éloignée un temps de cette voie, mais son rêve d’enfant murmurait à son coeur et elle a écouté l’évidence. <br>Son métier et ses enfants l’amènent à découvrir la lit...
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<b>Une nouvelle enquête pour la journaliste Helen Weber.</b> <br> <br>À Lucerne, Helen Weber, jeune journaliste, s’intéresse à un meurtre commis sur les hauteurs du Rigi. <br>La disparition de Paul Mutter ne surprend personne, étant donné le passé trouble de ce trentenaire. Mais il va manquer à ceux qui l’ont aimé: Jackson, le policier démis de ses fonctions, et Inana Santini, l’amoureuse discrète qui tient boutique le long de la Reuss. <br>Ces protagonistes nous mènent vers un accident plus ancien et tout aussi mystérieux : celui de la jeune Nora. Helen Weber enquête, rivalise d’astuces pour élucider ce crime, nous promène dans la ville, croise des personnages tous plus suspects les uns que les autres… Jackson suit Helen dans ses recherches, surpris par les méthodes de cette jeune femme ambitieuse pour trouver un coupable. <br>Non, Lucerne n’est pas une ville tranquille. <br> <br> <b>Découvrez sans plus attendre cette enquête policière particulière et sombre, dont le passé des personnages devient un élément clé pour résoudre l'énigme d'une disparition. </b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Une lune coupante et froide allume un versant du Pilate, point de mire de toute la Suisse et au sommet duquel des touristes du monde entier peuvent observer, à l’aide de lunettes grossissantes, l’entièreté de ce si petit pays. En plein jour, on verrait le col ciselé de cette montagne, ses côtés escarpés, les nuages qui se forment avant l’extrémité du pic. On observerait que toute la face nord de ce roc projette son calme dans l’eau du lac des Quatre-Cantons. Mais, sur ce ciel sombre, on n’aperçoit que le profil du Pilate. La ligne pâle qui dessine sa silhouette brute, coupée en deux par l’eau du lac, descend pour indiquer une ville, signalée par un petit bouquet de lumières. Il fait chaud, c’est la nuit, et voici Lucerne. Et dans cette ville il y a Helen Weber. Qui est assise, lasse, ou qui fait semblant de l’être, dans un fauteuil de velours cordé, au milieu d’une aire qui ne fait pas plus de quinze mètres carrés. Elle balance sa jambe par-dessus un des bras du fauteuil. On dirait un scanner. Son mouvement est embarrassé, nerveux. Tension des derniers jours ? Stress du scoop qu’elle ne parvient pas à décrocher ? Possible. Le journal qui l’emploie attend qu’elle redresse (à elle seule) les ventes hebdomadaires. Facile à dire ! Soixante-quinze mille habitants, presque jamais rien qui se passe, sauf des mouvements de masse d’Américains ou de Japonais qui ne cessent de bombarder la ville de clichés… Rien ? Pas tout à fait. Parfois, au bord de la rivière, un jeune homme ou une très jeune femme meurt : ils font partie des paumés qui tiennent lieu d’escadron à la Reuss, les yeux hagards, fixés sur quelque chose connu d’eux seuls, une aiguille plantée dans une veine, des résidus de came au fond d’une cuillère sale. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Une excellente surprise pour un récit parfaitement orchestré dans sa brièveté et dans s...
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<b>La campagne m'évoque une harmonie supérieure, sans lutte intérieure.</b> <br> <br>Tout y est à sa place dans une sérénité divine, une harmonie pure. Le tintement des clôtures, l'aboiement d'un chien, le moteur de l'un ou l'autre convoi agricole sont comme des trouvailles inattendues, à la manière de Beethoven. Elles n'arrivent pas à troubler la paix de ma campagne. <br> <br>Patrick Courcenet est apprenti-luthier à Chalon-sur-Saône. L'amour de la musique et celui de la nature parmi les vignes du châlonnais suffiront-ils à préserver l'harmonie dans sa vie ? Le silence de la période de l'entre-deux guerres n'est-il pas porteur du son discordant que Patrick redoute ? Ou serait-ce l'arrivée de l'étrange Estelle ? <br> <br> <b>Un roman historique de l'entre-deux-guerres qui traite des thèmes de l'amour et de la musique.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Estelle D’Auterive m’intrigue, de même son nom qui n’est pas bourguignon. Puisqu’elle est tournée vers Billoux, j’en profite pour la dévisager. Ce n’est plus une toute jeune fille comme me l’avaient suggéré sa silhouette frêle et ses pas timides. Elle doit avoir vingt-cinq, vingt-six ans. Les traits de son visage s’affirment en lames osseuses et saillies, avec juste ce qu’il faut de rondeur dans les joues. Le nez est court et légèrement busqué. Des mèches de cheveux auburn s’échappent de son chapeau cloche. Ses yeux n’arrivent pas à se fixer sur mon maître. Ils ont pris pour cible son établi où repose le Milanollo. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Josiane Van Melle</b> est traductrice et romancière, amoureuse des langues et en particulier de la langue française. Elle a deux filles et vit dans le Kent avec son mari.
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<b>Un recueil fascinant de textes étranges, originaux et envoûtants !</b> <br> <br> Trois auteurs passionnés par l’étrange, le fantastique et l’écriture noire se réunissent pour vous offrir une série de récits captivants. Plongez dans un univers où chaque texte dévoile une atmosphère unique : un codex mystérieux, une offre d’emploi déroutante, un spectre hantant une enquête et bien d’autres histoires originales qui sauront captiver votre imagination. Entrez sans crainte dans le monde de Nelly Topscher, Emmanuel Starck et Christian Guillerme, trois plumes talentueuses de Art En Mots Editions. <b>Découvrez l’univers sombre et fascinant de ces trois auteurs, où l’étrange et le fantastique se mêlent pour créer des récits inoubliables.</b> <br> <br> <b>EXTRAIT de <i>Comprendre</i> de Nelly Topscher</b> <br> <br> Le brouillard enveloppait le cimetière, rendant la visite encore plus glauque que d’habitude. Florent connaissait le chemin par cœur. Depuis trois mois, il venait presque tous les jours. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Il n’était pas seul ce matin-là ; il devinait à peine la silhouette, mais il savait que François serait là, devant la tombe de Frédéric. Les trois F ne se retrouvaient plus que devant cette sépulture. — Tu as réfléchi à ce que je t’ai dit ? demanda Florent après quelques instants. François ne répondit pas immédiatement, les yeux fixés sur la pierre tombale fleurie. — Je pense toujours que ça ne mènera à rien d’autre qu’à plus de souffrance. Mais je viens avec toi. — J’ai besoin de comprendre. François soupira. — Tu devrais admettre que c’est un putain d’accident. Juste un accident ! — Frédéric était le meilleur de nous trois. Le roi des virages. Et là, il se plante à une vitesse normale ? Je n’y crois pas. Je dois aller voir… <br> <br> <b>À PROPOS DES AUTEURS</b> <br> <br> <b>Nelly Topscher</b>, <b>Emmanuel Starck</b>, et <b>Christian Guillerme</b> se sont rencontrés lors d’un concours de nouvelles en 2017. Bien que n’ayant pas remporté le concours, leur passion commune pour l’écriture et l’étrange les a rapprochés, les menant à devenir amis. Ensemble, ils partagent leur amour pour les récits sombres et originaux à travers ce recueil unique.
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<b>Tout commence par une mystérieuse formule mathématique...</b> <b><br></b> <b><br></b>Kyle Ashcroft, professeur dans une université de province américaine, entre un jour fortuitement en possession d'une formule mathématique dont il ne soupçonne pas l'importance. Recherché par la police pour un meurtre qu’il n’a pas commis et poursuivit par des tueurs invisibles, il n’aura d’autre choix que de fuir pour déchiffrer la formule, afin de comprendre pourquoi il est devenu une cible. De la Virginie Occidentale à Paris, en passant par Berlin, Rome et les Arcanes du Vatican, aidé dans sa cavale par une militante écologiste radicale et un Russe inquiétant aux desseins mystérieux, Kyle comprendra vite que dans ce monde post-11 septembre, les ennemis les plus dangereux ne sont pas toujours ceux qu’on croit. <br> <br> <b>Le piège se referme sur le héros de ce thriller haletant : en sortira-t-il indemne ?</b> <b><br></b> <b><br></b>EXTRAIT <br> <br>Aveuglé par les phares, je ne distinguai que la silhouette longiligne de l'homme qui en descendit. <br>— Vous êtes le professeur Ashcroft, Kyle Ashcroft ? m’interpella-t-il. <br>J'hésitai un instant, puis me décidai à répondre. Ce que j'ignorai, c'est que celui qui venait de prononcer mon nom me connaissait parfaitement, sans pour autant que lui et moi ne nous soyons jamais rencontrés. En fait, il m'apparut presque familier, comme une troublante sensation de « déjà vu ». <br>J’ignorai encore si je pourrais tout lui raconter. Tout ce que fut ma vie au cours des quatre mois qui venaient de s'écouler, depuis cette nuit d'octobre où tout avait commencé… <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Né en 1975 à Troyes, dans l'Aube, <b>Johann Étienne</b> écrit depuis l'âge de seize ans. Passionné d’Histoire et d’actualité, il se sert des réalités qui nous entourent pour élaborer intrigues et personnages au profit de romans de fiction policière. <br>Il est l’auteur de trois thrillers, <i>Le Théorème de Roarchack</i>, <i>Prophétie</i> et <i>La Colonie</i>, et d’un roman court intitulé <i>Le Plan</i>, tous quatre parus chez Ex æquo.
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