<b>Malgré la séparation, Marc et Emmanuelle doivent poursuivre leur mission...</b> <br> <br>Marc et Emmanuelle sont séparés, contre leur gré, par un Couloir inter-mondes. Quarante années-lumière les éloignent irrémédiablement et, entre eux, un temps qui s’écoule désormais différemment : une vingtaine d’années pour la jeune femme ne représentera, pour Marc, qu’une poignée d’heures… <br>Sur la planète d’Amon, où siège le conseil de Navigateurs, Marc et Ihem ont la mission cruciale de défendre l’usage des Portes des mondes sur Terre. Marc, sous le choc de la perte brutale de la femme qu’il adore, ne sait pas comment faire son deuil. Une étrange cérémonie le plonge dans une régression hypnotique, grâce à laquelle il revit certains épisodes de sa vie passée, ajoutant encore à sa confusion. Mais cette expérience lui révèle d’incroyables réminiscences et facultés. <br>Sur Terre, Durieux poursuit sa traque de toute personne susceptible de détenir le savoir des Portes des mondes. En plaçant sous surveillance l’inspecteur Schaffner, il parvient à localiser puis à enlever Sarah, la nièce d’Emmanuelle. La jeune femme n’est pas de taille à affronter un mafieux multimillionnaire et n’a d’autre choix, pour retrouver sa nièce, que de prendre contact avec Suliac, alias la Mâchoire. Ensemble, ils remontent le fil du temps et assistent, impuissants, à la disparition de la petite Sarah à travers une Porte des mondes. <br> <i>Où la fillette s’est-elle téléportée ? Et comment la retrouver ? À quarante années-lumière de là, Marc, au seuil de la folie, trouvera-t-il les arguments justes pour convaincre le Conseil inter-mondes ? Réussira-t-il, avec l’aide d’Ihem, à les sortir de cette impasse ?</i> <br> <br> <b>Retrouvez l'univers multiple, entre thriller, science-fiction et histoire, d'<i>Au-delà de l'illusion</i> dans ce quatrième opus !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Les yeux noyés de larmes, Emmanuelle avait observé l’accroissement de la luminosité autour de Marc et d’Ihem. Le déchirement était trop fort pour qu’elle assiste jusqu’au bout au processus de leur disparition. <br>Alors qu’il quittait la pièce souterraine par l’étroit couloir, la puissante lumière dans son dos projetait son ombre, très nettement découpée sur le sol. Mais à mesure qu’elle avançait, la lumière décrut, puis disparut soudainement. Le grondement sonore qui avait débuté par un bruit souterrain, immense, diminua pour ne former plus qu’un bourdonnement. <br>À présent, dans un silence absolu, elle s’était immobilisée, le temps pour ses yeux de se réhabituer à l’obscurité. Heureusement, deux torches placées plus haut, à l’entrée de la vaste salle, qui avaient été accrochées au mur, étaient encore allumées. <br>Elle n’osait se retourner, et espérait en fait, tout au fond d’elle, entendre la voix de Marc, suite à un éventuel échec du processus, ou le voir revenir par le même tour de passe-passe qu’ils avaient tant de fois expérimenté avec leurs plans hors du temps, où le t...
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<b>Le témoignage exclusif d’un Belge parti en Syrie</b> <br> <br>Qu’y a-t-il dans la tête des jeunes djihadistes qui quittent la France, la Belgique, les Pays-Bas ou l’Angleterre ? Qu’y a-t-il dans la tête d’un jeune né ici, éduqué ici, qui part combattre dans un pays dont il ignorait l’existence il y a cinq ans ? <br>Cette question nous hante tous. Alors que bon nombre d’experts ou de journalistes livrent leurs commentaires, loin du théâtre des combats, l’auteur, un jeune chercheur belgo-palestinien, a décidé, pour ses recherches, de s’infiltrer en Syrie et de rejoindre un groupe de jeunes djihadistes européens. <br>Il a vécu, dormi, mangé, passé les frontières avec eux. En partageant leur quotidien, il a tenté de comprendre leurs motivations. <br>Et ses conclusions sont étonnantes, loin des poncifs de certains. <br>Aujourd’hui, Montasser AlDe’emeh a fondé un centre de « dé-radicalisation », comme aiment l’appeler les autorités, un centre de « la connaissance », comme il aime, lui, le nommer. <br>Au-delà de son histoire incroyable, il livre ici l’analyse, probablement la plus fine et la plus pertinente à ce jour, d’un phénomène qui tétanise l’Occident. <br> <br> <b>Une enquête sociologique d'un spécialiste du djihad pour comprendre les motivations de certaines convictions et radicalisations religieuses</b> <br> <br>A PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Montasser AlDe’emeh</b> est belgo-palestinien. Il a 26 ans et est chercheur universitaire. Islamologue, spécialiste du djihad armé, il intervient comme expert dans de nombreux colloques, ainsi qu’auprès de médias européens et internationaux dont <i>Der Spiegel</i>. Il est le fondateur et le directeur du centre « La Voie vers...» <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Je reviens de Syrie, des environs d'Alep plus précisément où j'ai vécu pendant deux semaines avec de jeunes djihadistes, notamment des Belges et des Néerlandais partis rejoindre, se battre et mourir dans les rangs de Jabhat al-Nosra (ce groupe, qui a fait allégeance à Al-Qaïda et qui a été créé en 2012 pendant l'insurrection syrienne). Principalement actif en Syrie, mais aussi au Liban, il est considéré comme un groupe terroriste. <br>Je rejoins la salle de bain. Je me déshabille. Sous la douche, j'ouvre le robinet et je décide de me raser. Sans miroir. <br>La longueur de ma barbe, qui m'arrive presque jusqu'à la poitrine, témoigne de ces longs mois pendant lesquels je me suis plongé dans mon travail de recherche. Nous sommes à la fin juillet. Je me suis laissé pousser la barbe depuis février, soit le moment où j'ai commencé à me plonger dans mon sujet. <br>Mais je suis confronté à un problème : elle est si longue et si drue qu'une lame ne pourra pas la couper. Comme si cette expérience refusait de me quitter.
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<b>Dark fera-t-il le bon choix entre l'amour et la vengeance ?</b> <br> <br>Azami arrive au Manoir, où habitent les Samouraïs de la Vierge Clytie. Son destin : se lier avec un des princes immortels, Dark, le fils du Seigneur des Ténèbres. Tout les oppose et pourtant, elle est sa Promise. Azami est douce, fragile et pleine de vie ; Dark est sombre, puissant et empli de haine. <br>Mais le jeune homme a un autre dessein : venger la mort de sa mère. Il lui faut devenir puissant, surpasser son père pour le détruire. Pour cela, il n'a pas le choix, il ne peut se lier car son pouvoir se figera. Azami ne doit pas devenir un obstacle. Pour cela, il est prêt à la sacrifier. Le combat des Samouraïs se durcit. Il faut au plus vite détruire les Portes qui mènent de Noutan au monde du Seigneur des Ténèbres car les pouvoirs de la Vierge Clytie faiblissent et l'armée ennemie devient chaque jour plus puissante et plus nombreuse. Dark et les Repentis sont alors des alliés dans cette guerre. Mais Dark doit faire le bon choix. <br> <br> <b>Le premier tome d'une saga fantastique passionnante, à lire sans attendre !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Dark le lâcha brutalement et se releva. Il sourit de satisfaction. La Promise était une petite créature qui ne poserait pas de problème. Elle était frêle, sans grand courage. Elle ne l’attirait pas du tout. Les quelques craintes qui l’avaient rongé ces derniers jours furent balayées devant sa mine pitoyable. <br>Il la bouscula au passage et poursuivit son chemin de sa démarche de félin. Azami avait enfin rencontré son terrible guerrier immortel. Ses espoirs venaient de se volatiliser comme des milliers de papillons prenant leur envol. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Sandrine Castello</b> est née en mai 1976 à Marseille. <br>Actuellement, elle est enseignante dans une école de Saint-Maximin la Sainte Baume, où elle a le bonheur de côtoyer des personnes formidables. Rêveuse et débordante d'imagination, Sandrine écrit pour son plaisir depuis de nombreuses années. <i>Noutan</i> est son premier roman.
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<b>Cloé, orpheline, note tout ce qu'il lui arrive dans un carnet...</b> <br> <br>Je m'appelle Cloé Marc, j'ai seize ans. La psychologue du château m'a conseillé d'écrire toutes les choses marquantes de ma vie. Elle pense que je suis trop renfermée et qu'il faut que je parle. Alors, parlons. <br> <br>Tout a basculé à la mort de mes parents. <br>Je ne sais pas ce qu'il s'est réellement passé, ni pourquoi ma sœur s'est enfuie. <br>Mon frère s'est débarrassé de moi en me conduisant dans cet internat énigmatique. <br>Qu'est-ce que j'ai à faire, moi, ici, seule ? Pourquoi le directeur me demande-t-il de faire semblant d'être comme les autres ? Je me fous des autres. Toutes les personnes que j'aime disparaissent et le seul qui m'ait toujours protégée me demande de le fuir. <br> <br> Qui suis-je vraiment ? <br> Quelle vérité me cache-t-on ? <br> <br> <b>Un thriller haletant, un véritable <i>page-turner</i> !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Ma soeur Émilie passait son temps à brosser mes longs cheveux blonds. Elle disait qu’un jour, je déciderai de les couper. Ce jour-là elle en mourrait. Ce qui l’amusait, me semble-t-il, c’était la façon dont ils formaient des anglaises. Malgré le nombre de fois où elle passait la brosse dessus, ils rebondissaient aussitôt relâchés. Les siens étaient courts et bruns. Elle avait fait une couleur pour désobéir à notre grand frère, Adam. <br>— Salut ! lança-t-elle en rentrant du lycée. <br>Elle était ravie de mettre notre frère en colère. La veille, ils s’étaient disputés. Adam désapprouvait son nouveau petit ami, Vincent. Celui qui avait troqué leur statut de meilleurs amis. <br>— Émie, je rêve ! Qu’as-tu fait à tes cheveux ? Tu fais vraiment vulgaire. Papa aurait détesté ! <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Dès son enfance, c'est transbahutée entre la maison de sa mère et celle de son père, et entourée de quatre frères et soeurs qu' <b>Andréa Alcaraz</b> développe un monde imaginaire. Attirée par l'art sous toutes ses formes, elle se passionne pour la danse, le chant et la mode. Naturellement, elle se tourne vers l'écriture à vingt ans. C'est après son bac littéraire et son diplôme d'infirmière qu'elle rédige <i>Les trois unités</i>.
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<b>Mystères dans la ville de La Roche-Bernard...</b> <br> <br>Bern-Hart, «Fort comme un ours», était le nom de ce chef viking qui remonta jadis l’estuaire de la Vilaine. Le Rocher lui tapa dans l’œil. Il y bâtit un village fortifié. C’est ainsi qu’est née la ville actuelle de La Roche-Bernard. Son histoire a été cruelle et mouvementée. Moi, capitaine Alban, de la Brigade Criminelle de Vannes, en ai écrit pour vous un épisode, minuscule, mais dramatique. Il était une fois une petite dame qui tenait une librairie dans cette ville pour dépanner une amie. C’est une lourde tâche pour quelqu’un qui ne connaît rien au commerce. Un jour, elle se reposait dans le jardin public de la promenade Ruicard, lisant des poèmes en mangeant son sandwich, quand un gros pivert qui sautillait dans l’herbe l’a distraite. Elle l’a suivi jusqu’à ce qu’il s’envole devant une statue blafarde… Était-ce bien une statue? La tête était penchée sur le côté, un foulard rose serré autour du cou… <br> <br> <b>Quel mystère entoure cette statue ? À qui appartient ce foulard ? Découvrez sans plus attendre le 8e tome des enquêtes bretonnes de Marie Lafitte, suivez-la sur les traces d’événements insignifiants aux conséquences dramatiques !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Après avoir fait sa caisse, rangé les rayons, passé l’aspirateur partout, mis des housses sur les étalages de livres, bouclé le magasin, Marie partit en voiture, passa devant la banque déposer la recette et s’en fut à la gendarmerie sans enthousiasme. <br>Là, ô miracle, elle fut reçue avec des sourires par les deux jeunes gendarmes qu’elle connaissait, les sergents Jeanne Kéravec et Yvon Le Roch. Ils lui expliquèrent que le capitaine était à Vannes pour étudier deux cas de meurtres de jeunes femmes qui semblaient avoir quelques ressemblances avec celui de Saint-Julien-Le-Haut. C’était en 2002 et en 2004. Ces affaires n’étaient pas résolues. <br>— C’est votre mari qui nous a soufflé cette idée hier ! dit le sergent Le Roch. On ne l’a pas dit au chef pour qu’il ne prenne pas la mouche ! Quand on lui en a parlé, il n’a pas pu refuser d’y aller, en tout cas. <br>— Pourquoi aurait-il refusé ? demanda-t-elle. <br>— Il est bizarre depuis qu’on a découvert le cadavre de la jeune femme à Saint-Julien-Le-Haut. <br>— Il a quelques ennuis familiaux, dit Jeanne Kéravec, qui semblait née pour apaiser les esprits. <br>Quand Marie eut répété son témoignage sur l’incident de l’hôpital et signé sa déposition, Yvon Le Roch lui apprit que Luc était hors de danger, même s’il était très faible, mais qu’il fallait absolument laisser croire qu’il était dans un coma irréversible. On craignait en effet une nouvelle attaque contre sa vie. <br>— Entendu, dit-elle. Qu’est-ce qui s’est passé dans la chambre ? <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Après une carrière d'ingénieur de recherche au CNRS à Paris, <b>Chaix d'Est-Ange</b> se consacre aujourd'hui à l'écriture de romans policiers. Le Pays de Vannes est, de...
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<b>Quatre cadavres sont découverts. Epidémie ou suicide... ?</b> <br> <br>Cette année-là, en Pays de Lorient, quatre notables s’étaient donné la mort en l’espace de quinze jours. Ils n’avaient, apparemment, aucun lien les uns avec les autres. Peut-on parler d’épidémie quand il s’agit de suicides? C’était le sujet favori des journalistes qui faisaient vendre leurs canards en publiant des débats sur ce thème. Mais s’agissait-il bien de suicides? Marie Lafitte, en convalescence à Lomener près de Larmor-Plage, va s’intéresser à la question. Le passager qui était descendu à l’aéroport de Lann-Bihoué quelques années auparavant aurait pu l’éclairer. L’ennui, c’est qu’elle l’a reconnu trop tard. <br> <br> <b>Marie va-t-elle retrouver ce mystérieux passager ? Découvrez sans plus attendrele 10e tome des enquêtes de Marie Lafitte en plein coeur de la Bretagne, sur les traces de morts mystérieuses...</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Il pleuvait encore des cordes. Elle décida quand même d’aller faire quelques courses à Larmor-Plage avec la voiture de location qu’elle n’avait conduite qu’une fois. C’était une petite Japonaise rouge remplie de gadgets, qui causait toute seule et l’amusait beaucoup. <br>Elle était garée dans l’allée, à côté de la grille. Marie ouvrit la portière arrière. Mathilde, enthousiaste, sauta sur la banquette. Elles partirent. <br>Peu avant la plage de Kerguelen, la route était bordée par un bois. Marie accéléra un peu, puis ralentit pour laisser passer une grosse voiture noire qui roulait à toute allure et la serrait de près. La voiture se rabattit devant elle brusquement. Indignée, elle fut forcée de ralentir encore. Ils cheminèrent l’un derrière l’autre un bon moment. Et puis brusquement, la voiture noire tourna dans un petit chemin entre des arbres, à gauche de la route. La chaussée était humide et glissante. <br>De surprise, Marie freina sec et faillit aller au fossé, fort profond à cet endroit. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Après une carrière d'ingénieur de recherche au CNRS à Paris, <b>Chaix d'Est-Ange</b> se consacre aujourd'hui à l'écriture de romans policiers. Le Pays de Vannes est, depuis de nombreuses années, son lieu favori de détente, l'hiver. C'est aussi le cadre choisi pour ce dixième roman.
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Diese Geschichte ist Teil des Romans 'Kalte Ketten' von T. C. Jayden und behandelt die Vorgeschichte einer der dort vorkommenden Protagonisten. Riley ist 16 Jahre alt, als ihm klar wird, dass er schwul ist. Dummerweise ist es ausgerechnet sein bester Freund Liam, der ihm das unwissentlich klar macht. Für Riley beginnen die härtesten zwei Wochen seines bisherigen Lebens, denn der zweiwöchige Campingurlaub mit seinem heimlichen Schwarm sorgt für eine Eskalation seiner chaotischen Gefühlswelt. Doch es kommt noch schlimmer: Während des Urlaubs lernt er einen zweiten Mann kennen, der seine Hormone zum Brodeln bringt. Rileys Gefühle stehen auf dem Kopf und er hat keine Ahnung, wie er die Freundschaft zu Liam retten soll, nachdem er das verspätete Outing königlich vergeigt hat.
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Erst im Herbst 1988 gelingt der gebürtigen Königsbergerin die Wiederbegegnung mit ihrer Vaterstadt, der bis dahin für Ausländer verbotenen Stadt. Viele Leser hatten sich nach dem Report „Suche nach Karalautschi” (1984) mit ihren Lebensberichten, Dokumenten und Fotos an die Autorin gewandt. Nun folgt sie einer Einladung des Kaliningrader Kulturfonds, der sich die Aufgabe gestellt hat, die ganze Geschichte der 700-jährigen Stadt wieder lebendig zu machen. Die Autorin überbringt Zeugnisse der gebürtigen Königsberger Käthe Kollwitz und E. T. A. Hoffmann, sie nimmt an Feierlichkeiten zu Ehren Immanuel Kants teil, und sie sucht die alten Straßen, Plätze und vertrauten Winkel ihrer Kindheit. Die verwandelte Stadt, die Kaliningrad heißt und doch noch Königsberg wie Karalautschi ist, wird zum Ort der Begegnung mit liebenswerten Menschen, deren Schicksal unter den Hitler- und Stalinregimes betroffen macht. Die Autorin erringt ein neues, lebendiges Verhältnis zu dieser Stadt der Geburt und entdeckt sie als gemeinsame Heimat. LESEPROBE: Jetzt zu der Geschichte meiner Mutter. Sie stammt aus Weißrussland, wurde am 9. 5. 1922 im Dorf Studenez im Gebiet Mogillew geboren. Als sie drei war, kam ihr Bruder Alexander zur Welt. Der ist aber als Säugling von drei Monaten verstorben. Mit sechs Jahren verblieb sie mit ihrer Mutter allein, ihr Vater, der 63 Jahre war, starb am 28. März. Er hieß Jude-Pine, jiddisch Jihude-Pinhus. Ein Doppelname. Ihm zu Ehren wurde ich Julia genannt: Jude - Julia. Bei euch bedeutet das Wort Jude die Nationalität, bei uns ist das ein Name. Mutti hatte eine schwere Kindheit: kein eigenes Haus, eine sehr kleine Pension (17 Rubel, 47 Kopeken). Sie arbeitete schon als Kind zusammen mit ihrer Mutter Ride im Wald. Dort hat man die Arbeit nicht schlecht bezahlt. Sie haben den Wald rein gemacht und Bäume gepflanzt. Im Jahre 1936 kam sie nach Moskau, um zu studieren. Ihr Onkel aber sagte, sie soll arbeiten gehen. So begann sie zu arbeiten und erlernte den Beruf Buchhalterin. Ein eigenes Haus hatten sie nicht und lebten hier und da bei den zahlreichen Verwandten, die selbst schlechte Wohnungen hatten. Im Jahre 1941 im Oktober, als die Faschisten nicht weit von Moskau waren, fuhr meine Mutter mit der Oma nach Osten und blieb dort bis 1943. Drei Jahre lebte sie dann wieder in Moskau. Und wieder ohne Zimmer, ohne Wohnung.
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