<b>Plongez au cœur des souvenirs du maître des voleurs !</b> <br> <br>Tour à tour boulanger, colporteur, marin, contrebandier, bagnard, puis chef de la police de Sûreté et pour finir industriel, inventeur et écrivain, Eugène-François Vidocq (1775-1857) est un personnage hors du commun. Ses exploits inspirèrent nombre d'écrivains tels Balzac, Eugène Sue, Alexandre Dumas... Victor Hugo, dans <i>Les Misérables</i>, immortalisera Vidocq dans le personnage de Jean Valjean. <br> <br>François Vidocq écrit ses <i>Mémoires</i> en 1827. Son éditeur apportera alors quelques modifications afin d'embellir la vie mouvementée de ce personnage hors du commun. Cet ouvrage est la réédition du texte d'origine, expurgé des améliorations ultérieures. <br> <br> <b>Une autobiographie haute en couleurs pour un personnage au caractère bien trempé !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Je suis né à Arras, le 23 juillet 1775, dans une maison voisine de celle où Robespierre avait vu le jour, et je reçus les prénoms d’Eugène et François. François fut toujours mon prénom usuel. Dès mon enfance, j’annonçai les dispositions les plus turbulentes et les plus perverses. Doué par la nature, d’une force et d’une dextérité étonnantes, je profitais de ces avantages pour rosser, chaque jour, les enfants de mon âge et assommer les chiens et les chats du quartier. On n’entendait que plaintes et reproches de la part des parents de mes camarades et des habitants du voisinage. Les remontrances de mon père, honnête boulanger, ne produisaient aucun effet sur moi. Je m’en riais comme de celles d’une mère dont j’étais – malheureusement – l’idole. Les salles d’armes où j’allais recevoir des leçons d’escrime avec Poyant, Hidou, Delcroix, Boudou, Basserie, Franchison et autres mauvais sujets du pays, qui m’initiaient à leurs vices, étaient mes seules fréquentations. Mes parents s’aperçurent, un jour, d’un déficit dans le comptoir, que j’exploitais concurremment avec mon frère 1 et ils eurent soin de n’y plus laisser la clé.
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<b>Survivrez-vous à Celebrity Survivor, l'émission où chaque décision peut vous coûter la vie ?</b> <br> <br> Bienvenue à Celebrity Survivor, une émission de téléréalité aux moyens colossaux mêlant jeu de survie et manipulations mortelles. Dylan Chaplet, journaliste arrogant et talentueux, et sa partenaire au caractère bien trempé, Rose Gilian, pensaient profiter d’un voyage tranquille pour couvrir l’événement. Mais sur cette île coupée du monde, truffée de caméras et de pièges, les deux reporters vont vite se retrouver en plein cauchemar. Entre agressions et menaces constantes, Dylan et Rose devront se battre pour découvrir qui manipule ce jeu macabre avant de devenir les prochaines victimes. Sur cette île où personne n’est à l’abri et où chaque recoin cache une nouvelle menace, comment mener l’enquête quand vous êtes vous-même la proie ? <b>Plongez dans ce thriller sombre et haletant, où la survie ne dépend pas seulement de vos compétences, mais aussi de votre capacité à démasquer un ennemi invisible.</b> <br> <br> <b>EXTRAIT</b> <br> <br> — Si tu es aussi loquace, tu vas pouvoir plutôt faire toi-même un bond dans le temps et me dire ce qui te lie si étroitement à Corinne Delacour. Celle-là, je dois avouer que je ne l’avais pas vu venir. Elle profite de la situation plutôt inconfortable où je me trouve pour revenir à la charge quand je m’y attends le moins. La connaissant, il y a peu de chance qu’elle abandonne avant d’avoir eu sa réponse. Je vais néanmoins essayer de résister, mais je sais que mes chances sont minces. Rose avait décidé de parler avec une extrême douceur, évitant de me faire paniquer encore plus. Elle garda son calme tout le long de notre discussion, montrant juste sa détermination à ne pas abandonner avant d’avoir obtenu satisfaction. J’essayais de la supplier, en vain. — Crois-tu franchement que revenir maintenant sur ce sujet est primordial? — Oui, en effet. — Rose, s’il te plaît. — Non, je ne lâcherai pas. Je suis désolée, j’ai besoin de savoir. Comme tu le sais, nous avons été attaqués deux fois déjà par un inconnu ayant une grande maîtrise des armes à feu. Corinne fait partie des potentiels suspects, et c’est même la seule personne sur cette liste actuellement. — Ce n’est pas elle. — Et, en effet, tu la défends aveuglément sans plus de précision. À croire qu’elle t’a ensorcelé ! <br> <br> <b>À PROPOS DE L'AUTEUR</b> <br> <br> Né dans la Drôme et adopté par l’Ardèche, <b>Julien Charreyron</b> signe ici son deuxième roman. Passionné de lecture et de musique metal, Julien puise son inspiration dans des univers sombres et oppressants, parfois joyeux et délurés, mais toujours empreints de violence et de surprises. Son style unique vous plongera dans des intrigues intenses et captivantes, où chaque page réserve son lot de rebondissements.
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Un cataclysme a englouti l'Europe du sud et le Moyen-Orient et Paris est devenu un port méditerranéen. Du côté de la Mer Morte, frappée à nouveau quarante siècles après la disparition de Sodome et Gomorrhe, la terre s'ouvre et un mystérieux sel violet en jaillit. Son goût et ses propriétés en font une denrée indispensable à tous, qui se vend à prix d'or. Voilà un roman « bizarrissime » : le monde qu'il décrit, situé dans un avenir non précisé, est à la fois agressivement moderne -, dominé par une multinationale toute-puissante, la Compagnie - et violemment archaïque. Dans la Colonie lointaine, l'absence de la technologie moderne nous ramène plus d'un siècle en arrière. De la science-fiction régressive, en quelque sorte. À moins que cette histoire ne nous emmène, sans le dire, au coeur du présent ? Elle nous décrit une société totalitaire, organisée à l'extrême, fondée sur le mensonge et la terreur . D'un côté, à Paris, un personnage minuscule, solitaire, dépressif, affronte un monstre anonyme, la Compagnie, en un combat feutré. De l'autre, dans l'effroyable Colonie, cinq forcenés se déchirent, pantins ridicules dans un déluge de péripéties démentes, sanglantes et absurdes. C'est grotesque et sinistre. Drôle et désespéré. <i>La femme de Loth</i>, livre ahurissant, roman d'aventures à l'humour grinçant, parabole sur la folie de notre monde actuel et de l'horreur économique. <br> <br>EXTRAIT <br> <br>La Colonie n’est pas visible depuis la mer. S’accordent en cela les marins les plus aguerris eux-mêmes, tel le capitaine Cortez, depuis vingt ans au service de la Compagnie et qui pourrait naviguer les yeux fermés dans ces eaux mauves. C’est là d’ailleurs la seule façon de naviguer : les yeux fermés. <br>Ce jeudi-là, le jeune enseigne de vaisseau Richmond, placé sous le commandement de Cortez, ne semblait pas dans son assiette : il présentait tous les symptômes habituels aux nouveaux venus dans la Colonie. Je m’efforce de me rappeler son expression, son regard, le ton de sa voix pour découvrir le sens profond de sa confession ivre, à supposer que ce délire ait un sens profond. Vos Excellences liront et jugeront. Je m’engage à rapporter dans cette lettre tout ce qu’il m’a confié, mot pour mot, sans omission ni ajout d’aucune sorte, que Dieu m’en soit témoin. <br>Comme je vous le disais, lorsque nous eûmes tous les quatre mené à bien le transport du coffre vert, Richmond et moi quittâmes le Palais du Gouverneur vers neuf heures et demie du soir. Ma fille nous transmit d’abord l’ordre de lady Regina : « Fichez le camp tous les quatre, Le Gouverneur Bera se repose ». Le langage de ma fille, voyez-vous, n’est pas d’une élégance extrême, et depuis que le gouverneur Bera l’a prise à son service pour repasser les culottes de la lady, grand honneur pour moi assurément, elle est devenue effrontée et ne respecte plus du tout son père — la pauvre enfant. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Un livre intelligent et absurde. Un vr...
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De la sortie de presse du <i>Discours sur les sciences et les arts</i>, en janvier 1751, à la publication posthume des <i>Confessions</i>, en 1782 et 1789, en passant par sa rupture retentissante avec les " philosophes " ou les condamnations de l' <i>Émile</i> et du <i>Contrat social</i>, <b>Jean-Jacques Rousseau</b> n'a cessé de passionner l'opinion. Il a très tôt représenté un type nouveau d'intellectuel en rupture avec l'ordre social, avant de devenir un maître à penser et un directeur de conscience. <br>Quels témoignages les contemporains qui ont approché ce personnage hors du commun ont-ils laissés sur celui qui, avec <b>Voltaire</b>, partage la vedette de l'actualité littéraire et philosophique ? Comment son image a-t-elle évolué, depuis celle du prophète ou du charlatan évoquée en 1750 par Mme <b>de Groffigny</b>, jusqu'à celle du sage, du <b>Socrate</b> martyr de sa cause, jusqu'à celle de l'inspirateur de la Révolution française en passant par celle du misanthrope sublime ou du saint ? Quel autre écrivain a pu être comparé, par ses lecteurs enfiévrés, à <b>Moïse</b>, à <b>Lycurgue</b>, au <b>Christ</b> ? <br>On trouvera ici une soixantaine de ces témoignages de visiteurs, français et étrangers, admirateurs inconditionnels ou mémoralistes hostiles, qui ont relaté leur rencontre avec l'homme qui osait dire : « Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus ; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent ». <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Raymond Trousson</b>, professeur éminent de l'Université Libre de Bruxelles, est l'auteur d'une biographie de <b>Rousseau</b> et de nombreux ouvrages consacrés aux écrivains et penseurs du siècle des Lumières.
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<b>Artiste esseulé et endeuillé, Arthur quitte l'univers qui l'a vu grandir et part en quête de lui-même.</b> <br> <br>Faire son deuil, fuir le long d’une route indienne, l’angoisse et son goût de fonte froissée, la jungle du chaos. Pour Arthur, 26 ans, artiste en rupture avec les siens, penser, sentir et peindre ne font qu’un. <br>Le décès de sa mère et un secret de famille bouleversent ses certitudes et son rapport au monde : jusqu’où vacillera son identité ? <br> <br> <b>Un roman qui prend la forme d'un récit initatique et qui emmène le lecteur à la découverte de l'intimité de personnages en quête de sens.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Arthur avait destabilisé ses professeurs par son intelligence, ses bizarreries, sa violence. Souvenirs des bagarres avec ses camarades à la mode, footeux ou mordus de jeux vidéos, de lectures de Chateaubriand dissimulées dans les manuels de classe. Il peignait le soir à la lampe de poche, ou directement à la lumière de la lune, en recomposant mentalement les couleurs. La pension avait incarné cette faille perpétuelle entre lui et les autres, aussi tangible que les plaines sans fin et la végétation desséchée de l’Uttar Pradesh derrière la vitre. Arthur pouvait imaginer sans peine les réactions de ses proches : M. Sernin se serait interrogé sur l’économie et l’agriculture de la région, Cyprien se serait concentré sur les longueurs du trajet, Sybille y aurait trouvé une certaine poésie et Mme Sernin aurait haussé les épaules. <br>Pour Arthur, tout lieu s’agence en perspectives, en nuances reproductibles : chaque instant vécu ajoute un territoire dans son monde intérieur. Et au-delà du visible, il y a la constellation de teintes, de formes abstraites, de goûts nés à chaque émotion, chaque pensée. Depuis son départ de Vârânasî, il avance aussi dans sa propre forêt intime, pressée de bandes métalliques sombres, dans un brouillard insupportable. <br>Il a découvert à quoi s’en tenir sur Internet, à travers une froide définition qu’il n’avait pas écrite : « synesthésie, phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont automatiquement liés ». L’association — involontaire — pouvait également concerner les émotions, les pensées. Son cerveau projetait en continu un film né de sa météo intérieure et du monde autour. La première fois qu’il avait tenté d’évoquer cette perception particulière, il avait essayé d’expliquer l’espoir. Il avait brossé la teinte sans difficulté, violet doré à parme scintillant, mais la saveur… les mots lui manquaient, sa mère l’avait coupé : « Un sentiment n’a pas de couleur et pas de goût, arrête tes idioties. » Pris pour un fou : il étudia la sensation, brutale, entre fiel et coup de couteau… Autant mentir, prétendre avoir tout inventé. <br>Des années à se nier, à se taire. Étrange de se dire qu’il devait cette extension de la réalité à des connexions neuronales qui n’auraient jamais dû exister. Quel gâchis. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Orian...
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<b>Onil n'est pas au bout de ses surprises...</b> <br> <br>Vous avez suivi Onil à Serdhif, puis à DimHénoé. Vous l’avez accompagné à Eghenne où il est venu en aide aux rebelles. Vous l’avez vu devenir un des leurs, puis leur fausser compagnie pour porter secours à Solim... Entre les lignes de cette aventure étonnante au scénario solide et maitrisé, le Monde d’Anaonil continue de se dévoiler dans sa richesse et sa complexité. Vous attendiez la suite avec impatience ? Partez à la découverte de DimJoania, une communauté inhospitalière où Onil ne va pas tarder à s’apercevoir que sa qualité de lignée engendre autour de lui une puissante hostilité... <br> <br> <b>Ce quatrième tome des aventures d'Onil vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière page !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Ulysse ne répondit pas. Inquiet ? Non. Personne n’avait désinitialisé son telib, et ça, c’était bon signe. Il n’était que modérément inquiet. Il ne pensait pas risquer sa vie, ici. Le fait qu’il n’ait plus à mourir forcément dès le lendemain, lui permettait de se projeter d’une manière nettement plus sereine dans la représentation qu’il se faisait de son avenir. Cette réflexion l’amena vers Solim. Ce dernier, détenu à DimHénoé par d’autres exogènes, se trouvait dans une situation plus incertaine que la sienne. Ulysse espérait que ce soit dans des conditions supportables. <br>Auriane demanda à Ulysse comment il voyait la suite du programme. <br>─ On attend... <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Ce tome 4 est aussi addictif que les précédents, il annonce une suite et fin explosive. Ulysse se découvre d'étranges capacités (encore). Il n'a pas fini de nous surprendre. (...) Je vais craquer de devoir attendre pour avoir la suite ! - <b>Aurélia K.</b> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Cécile Koppel</b> vit dans le sud de la France. Elle est éducatrice de jeunes enfants et a travaillé en crèche pendant plus de 20 ans. Elle a commencé à écrire cette histoire et découvre à quel point elle aime écrire, travailler le texte jusqu’à ce qu’il soit simple et fluide et se glisse dans l’esprit du lecteur. Avec le quatrième opus de cette saga très addictive, les éditions Sudarènes vous invitent à continuer cet insolite et étonnant voyage au côté d’Onil.
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<b>Une fable radicale, pourtant loin d'être nihiliste et déséspérée...</b> <br> <br>Dans un parc public, Laurent, comédien, tombe sur son ami d’enfance Éric « Le Rouge », membre important d’un parti de la gauche radicale. Les deux amis se remémorent leurs parcours de jeunesse et leurs idéaux. Éric entraine son ancien camarade pour lui confier une mission : infiltrer le milieu de l’oligarchie dominante, jusqu’au plus haut niveau. Le programme : dynamiter le système de l’intérieur en implantant une révolution souterraine dans les affaires atrocement normales du pouvoir économico politique. <br> <br>Comment Laurent va-t-il s’y prendre ? Saura-t-il résister aux délices mortels du pouvoir absolu, de l’argent roi ? <br> <br>Ce roman est le premier ouvrage de la nouvelle collection Politique fiction publié par les Editions Utopia. <br> <br> <b>Un roman politique qui mêle habilement tragédie et humour.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>De toute éternité, il y a toujours eu un homme sur le point de sauter. L’image serait celle d’un pont, une image sépia, jaunie par de trop fréquents passages en <br>revue. Comme il s’agit de sauter, choisissons Paris. Puisque l’on ne peut plus y vivre, compte tenu de l’immobilier spéculatif, au moins peut-on y mourir et ça ne coûte rien. Paris et le Pont Neuf, ou le Pont des Arts, si par hasard tu y croises ton cafard. Il y a donc un homme et un pont, et vu l’état de l’homme, la beauté du décor, sûr qu’il va sauter. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Emmanuel Delattre</b> est l’auteur d’un roman dont l’action se déroule dans les coulisses du Parti Socialiste : <i>Destin politique et soupe aux grosses légumes</i> aux éditions Yves Michel, ainsi qu’une fiction sur le pouvoir des rêves <i>Derrière la porte</i> aux éditions Thélès. Il est également l’auteur d’un livret d’opéra <i>La Molécule des Fous</i>, mis en scène à Toulouse, ainsi que de scénarios et de pièces de théâtre.
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La ciudad de Rosario no tuvo fundación precisa, se originó a partir de un alto en el camino que conectaba a Buenos Aires con el interior del país, motivando un punto de descanso en el trayecto monótono de los viajeros. El espacio que sirvió de asentamiento inicial para las tropas de carretas, dio lugar a la configuración de una plaza. Así, se fue generando un incipiente villorrio que por la cercanía de una ensenada natural favoreció el intercambio fluvial por el río Paraná. Surgieron a partir de 1900 los primeros edificios de renta en altura que quebraron el horizonte chato rosarino. El proceso se cerró en 1948 porque la ley de propiedad horizontal cambió la orientación en la inversión de renta. Más de cincuenta casos fueron detectados dentro del periodo en estudio, se determinó que se inscribieron dentro de dos paradigmas separados por una etapa intermedia a modo de zona gris. El primero, cuyo común denominador fue la idea de traslación de modalidades de diseño ya probadas; mientras que el ultimo agrupó obras de marcada sinceridad en sus planteos generales, propiciando organismos únicos de notable coherencia todos diferentes entre sí.
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