<b>Le monde des antiquaires est en émoi : trois d'entre eux sont assassinés...</b> <br> <br>Les prétendants sont nombreux, mais la sélection sera draconienne… L’Exposition, un des plus grands salons d’antiquaires, se prépare, et tout le milieu est en effervescence en attendant l’attribution des stands. Les enjeux financiers sont colossaux, sans compter le prestige que confère la présence à cet évènement. Dans ce contexte particulièrement tendu commence alors une série de meurtres qui vise les grands noms de la profession. L’assassin n’a rien d’un psychopathe. Il tue proprement, sans intention de faire souffrir. Il fait preuve d’un pragmatisme sans faille et il possède une connaissance minutieuse du marché, de la littérature d’épouvante et des séries policières américaines. Il opère la plupart du temps dans des lieux emblématiques, usant d’une bonne dose d’audace et d’ingéniosité. Alors que l’enquête piétine, les professionnels, cédant à la panique, font appel, selon leurs penchants, à un coach, à un voyant ou à un garde du corps, pour déjouer le sort. Mais rien n’arrêtera le meurtrier… <br> <br> <b>Découvrez un roman riche en dialogues ciselés et en rebondissements loufoques qui analyse le cœur des hommes et leur carburant : ambition, amour, culpabilité...</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Ils poussent la grille de l’impasse. Le tueur vient régulièrement y consulter une rhumatologue connue qui a soigné sa capsulite, il sait que le lieu est assez peu fréquenté. Ils commencent à marcher côte à côte dans l’allée pavée. Collignon trouve le cadre charmant. L’assassin qui sent sa cheville le tirailler en marchant sur les pavés inégaux se demande s’il a choisi le bon endroit. Mais au moins, il n’y a personne. — Regardez cette porte avec ses deux cobras dressés, c’est vraiment splendide! annonce-t-il avec enthousiasme, en indiquant à l’expert l’entrée d’un immeuble Art déco où deux serpents se font face. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Sabine Bourgey</b>, experte en monnaies, est à la tête du cabinet fondé par son grand-père en 1895. Elle a été vice-présidente durant une dizaine d’années d’un grand syndicat professionnel du marché de l’art. Elle est l’auteure de nombreux articles et de livres sur la numismatique, sur les trésors mais aussi sur des sujets de société. Elle a également signé un polar, en 2012, <i>Le Trésor de la rue Mouffetard</i> (Éditions Bourgey).
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<p><strong>Szokująca, makabryczna, prawdziwa!</strong></p> <p>Książka o ludziach, którzy z miłości torturowali, oszukiwali, zdradzali, zjadali i zabijali. Renata Kuryłowicz, miłośnikom <em>true crime</em> doskonale znana jako Renata z Worka Kości, autorka podcastu „Zbrodnie Bez Cenzury”, przedstawia kilkadziesiąt historii wstrząsających przestępstw, które łączy jedno – uczucie mogące odebrać nie tylko rozum, ale i życie.</p> <p>Łącząc wiedzę z lekkością pióra i umiejętnością opowiadania o najbardziej potwornych szczegółach, autorka opisuje <em>le crime passionnel</em>, czyli zabójstwa z namiętności, zbrodnie powodowane <em>folie à deux</em> – wspólną paranoją, przestępstwa, których motywem jest sadystyczna lubieżność, ale także chorobliwa miłość własna. W pasji odkrywania największych mroków ludzkiej natury nie waha się podjąć tematów tabu – kanibalizmu i nekrofilii.</p> <p>W książce pojawia się wszystko to, czego najbardziej szukają fani <em>true crime</em> – dużo w niej rekwizytów, takich jak śrubokręty, nożyczki, grille, zamrażarki, gorące żelazka, wałki kucharskie. Występują też odrażające postaci w stylu japońskiego kanibala-celebryty czy rosyjskiego wilkołaka. To nie są historie z happy endem!</p> <p><em>Zbrodnia i śmierć z miłości</em> to wartka opowieść, pokaźna dawka czarnego humoru, sporo fachowej wiedzy kryminalistycznej, nieco romantyzmu i… dużo <em>gore</em>!</p> <p>AUDIOBOOK CZYTA AUTORKA</p>
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<b>Sophia est une élève brillante mais, arrivée au collège, tout change.</b> <br> <br>Ses notes baissent, ses amies l’abandonnent, l’angoisse la ronge. Jusqu’à ce jour où elle ne se sentira plus capable de passer la grille de l’école. <br>Avec l’aide de ses parents et de ce qu’il reste de ses amies, elle finira par poser des mots sur ses maux : elle souffre de phobie scolaire. <br> <br> <b>Un roman qui démystifie, invite au partage et à l’échange, sur un sujet qui touche de nombreux ados aujourd’hui. Cet ouvrage a été sélectionné pour le prix Danielle Grondein – littérature jeunesse et le prix Ruralivres 2018-2019</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Comment ai-je pu passer du statut d’élève qui ne travaille pas et a de bonnes notes, à celui d’élève qui trime mais est à peine moyenne ? <br>Tout ce qui était facile pour moi en primaire est devenu difficile et obscur. Avant, j’écoutais en classe. S’il arrivait à mon esprit de vagabonder, je parvenais toujours à retenir le cours de la maîtresse. <br>Aujourd’hui, je ne retiens pas grand-chose. Alors, je l’avoue, j’ai baissé les bras. À quoi sert-il d’écouter si on ne comprend rien et qu’on doit recommencer le même travail à la maison ? <br>Mes parents, en particulier mon père, ne se sont pas posé la question. Il est clair que je ne travaille pas. Papa a cru que me donner une gifle serait la solution pour que je m’y remette sérieusement. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Un roman court, juste et réaliste. On suit pas à pas la jeune fille dans cet engrenage. L’écriture sous forme de journal personnel renforce l’impression de véracité. Le lecteur partage ainsi avec l’adolescente son désarroi. -  <b>orbe, <i>Babelio<br></i></b> <br>Je me suis aussi rendue compte que le thème n’était jamais abordé directement dans les romans jeunesse, ce qui était dommage car, souvent, les jeunes sont rassurés de lire quand ils se sentent mal que cela n’arrive pas qu’à eux, et qu’une solution est possible. - <b><i>aufeminin.com<br></i></b> <br>Ce livre s’adressent aussi bien aux parents, aux adolescents, aux enseignants qui doivent mener ensemble le combat contre la phobie scolaire.» - <b>mumu58</b> <b><i>, Coin lecture d’Arsène</i></b> <br> <br>Les mots de Sophia sonnent justes et son regard d’enfant sur les événements nous permet de vraiment nous mettre à sa place. Un roman qui est donc très efficace pour parler de la phobie scolaire. - <b>Tiphanie, <i>Lirado</i></b> <br> <br>Un texte clair, court et suffisamment explicite pour me semble t'il parler au plus grand nombre. Enfants et adultes pourront y trouver également des bases pour des échanges constructifs. - <b>Sylvaine, <i>Babelio</i></b> <br> <br>Tout sonne juste dans ce texte, des réactions de Sophia à celles, pas franchement à la hauteur mais tellement réalistes, de ses parents. A lire et à faire lire, pour comprendre et discuter, pour ne plus laisser tant d’enfants en souffrance. - <b>Blog <i>D'une ...
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<b>Un terrible meurtre vient troubler la tranquillité d'une paisible station balnéaire bretonne...</b> <br> <br>Fanch Le Berre fit la connaissance du gros Antoine Guillou au lendemain de son arrivée au village de vacances du Pouldu. Ce fut Paotr, épagneul breton de son état, qui se chargea des présentations. Il courtisait la jeune chienne de l’estivant, une élégante Anglaise, de race pointer, dont il ne tarda pas à tomber follement amoureux. Ce fut encore Fanch qui alerta le lieutenant Aubain du crime particulièrement odieux qui vint à se produire à la station balnéaire. Un tout jeune enfant en était l’innocente victime, et personne ne pouvait y rester insensible. Antoine, discret estivant solitaire, fut le seul, dès le début de l’enquête, en mesure d’identifier les coupables. Il en fit son affaire et la régla promptement, mais à sa façon. Conjointement à l’enquête que mène Aubain en Bretagne, celle du père de l’enfant nous mènera au Gabon, sur les traces de trafiquants de la pire espèce. <br> <br> <b>Découvrez un roman à suspense passionnant qui vous plongera dans une double enquête, de la Bretagne jusqu'au Gabon, sur les traces de trafiquants de la pire espèce.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Une grosse automobile était garée tout contre la haie de troènes, près de la grille ouverte de la propriété des Jolivet. Une voiture de parvenus ou de <br>voyous, ce qui souvent revient au même. Derrière une vitre teintée, baissée aux deux tiers, un homme patientait en tirant nerveusement sur une gauloise à <br>bout filtre. Bien qu’il en ait atteint le bout, il en tira une ultime bouffée, puis une longue et large main osseuse, laissant augurer un personnage de stature au-dessus de la moyenne, passa par l’ouverture, tenant le mégot qu’elle propulsa d’une chiquenaude à quelques mètres de là, sur le bas-côté de la route. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Éditions Bargain, le succès du polar breton. - <b><i>Ouest France</i></b> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Marie Vaillant</b> est née et a grandi à Quimper. Peintre et sculpteur, elle a exposé à Pont-Aven et posé un calvaire à la pointe de Bellangenet, en Clohars-Carnoët. À Tahiti, elle a travaillé la pierre locale pour l’évêché de Papeete. <br>Voici quelques années, elle a troqué le ciseau du sculpteur contre la plume de la romancière pour signer aujourd’hui son troisième roman à suspense.
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Au début des années 30, dans la bouillonnante ville andalouse de Malaga au bord de la Méditerranée, l’avenir est plein de promesses pour Francisco. Lettré dans une société largement analphabète, jeune employé de commerce, il accède à la petite classe moyenne embryonnaire. Épris de justice et de liberté, plein d’idéaux, il rêve d’édifier avec ses camarades, un monde meilleur. L’avènement de la République nourrit ses espoirs et l’y encourage. Alors que des réformes orientent le pays sur la voie de la modernité, Francisco rencontre Maria. Le bonheur semble à portée de main ; ils le bâtissent ensemble. Mais le pays est fracturé ; les tensions sont vives et s’expriment dans la violence. Les élections de février 1936 se déroulent dans un climat électrique. Les citoyens, hommes et femmes appelés aux urnes sont confrontés à un choix décisif entre des visions opposées de l’Espagne. Le résultat du scrutin emplit Francisco de joie. Mais les menaces qui pesaient sur la jeune démocratie se concrétisent par une tentative de coup d’État. Francisco ne se dérobe pas et s’engage dans le conflit. Son choix aura des conséquences profondes. Il bouleversera le reste de sa vie, ainsi que le destin de toute sa famille. À travers le parcours de Francisco, Maria et de leurs proches, le roman évoque l’épopée d’un peuple qui contribua tant à l’histoire de l’Espagne, qu’à celle de la France. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>David LLamas</b> est né à Toulouse en 1971, dans une famille de réfugiés espagnols. Ancien avoué à la cour, il est avocat au barreau d’Agen, spécialiste en procédure d’appel. Impliqué dans le mouvement pour la mémoire historique, il y voit un enjeu démocratique et une grille de lecture de problématiques contemporaines, tant en Espagne qu’en France. <i>Péril de la Liberté</i>, son premier roman, s’inspire de faits réels.
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Im Jahr 2044 wird der größte Teil Europas von den Moslems beherrscht. Sonja, eine junge Frau, die mit einem Araber verheiratet ist, stößt zufällig auf ein Zeitreisegerät und besucht damit einen ihrer Vorfahren im Jahr 1889. Was nur als kurzer Ausflug in die Vergangenheit geplant war, wird zu einem Aufenthalt von fünf Jahren. Sonja verliebt sich in ihren Urahnen. Die beiden heiraten und bekommen eine Tochter. Dann wird Sonja plötzlich krank. Notgedrungen muss sie zurück ins Jahr 2044.
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Nach langer, langer Zeit ist der Leiermann mal wieder unterwegs: auf seinem weißen Wölkchen schwebend, düst er mitten durchs Sonnensystem. Irgendwo zwischen Mars- Umlaufbahn und Jupiter- Umlaufbahn, wo es ihn bis zu den Asteroiden verschlagen hat. Unter den Millionen Planetoiden hier hat es ihm ein ganz besonderer angetan: denn das seltsam anmutende Gebilde hat die Form eines Kreuzes. Mehr noch befinden sich an den vier Flügeln insgesamt 48 Kammern. Und in einen dieser Kammern bereits der Widder aufwartet; mit drei Würfeln freilich, welche für das Chikago- Spiel wohl unerlässlich sind. Ja, hier es dem Leiermann gefällt, hier er verweilen möchte. Zudem sich in der Mitte des Kreuzes ein feines, weißes Quadrat befindet mit einem feinen, weißen Tisch. Doch dies noch nicht alles ist- nein, beileibe nicht. Denn an dem Tisch sitzen alte Freunde aus längst vergangenen Tagen. Allen voran die Grille Helm Hops, der wieder mal das Moderieren übernehmen wird; weiterhin die liebe Libelle Libell Libell, die für das Vorstellen der restlichen Teilnehmer zuständig ist. Außerdem gehören dem Team am kleinen, weißen Tisch noch der Laptop Vrien an, der für die Tabellen verantwortlich zeichnet, sowie der 100jährige Billionär Wilhelm Andere, der wieder einmal als Sponsor für die Medaillen herhalten muss. Und last but not least der zumeist etwas schläfrig wirkende Zauberer P, welcher lediglich ein klein wenig auf die teilweise doch sehr extremen Größenunterschiede der Teilnehmer einwirken soll. Damit man sich wenigstens einigermaßen auf Augenhöhe treffen kann. Tja, und am Ende vielleicht dann doch nur eine Frage bleibt: und zwar, in welchen der 48 Kammern sich der Widder eigentlich aufhält? Wobei zum Beantworten offenbar nur noch eines zu helfen scheint: Helm Hops, bitte melden!
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Ein Roman über eine Liebe, die das Band zwischen zwei Brüdern trennt! George Sand erzählt diese Geschichte wie ein Märchen. Die Geschichte folgt der kleinen Fadette, die aus ärmlichen Verhältnissen stammt und sich um ihren kranken Bruder kümmern muss. Wie durch ein Wunder gelangt sie an ein kleines Vermögen, wodurch sie – wie Aschenputtel – plötzlich wie eine Prinzessin erscheint. Der Bauernsohn, in den sie sich verliebt, erwidert ihre Gefühle, hat aber einen Bruder und Eltern, die ihn nicht loslassen wollen. Können die beiden Liebenden alle Hindernisse überwinden und am Ende zusammenfinden?-
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