Al Conroy peilte zur vorderen Gegner-Schaluppe, visierte, kippte den Lauf der Drehbasse an und führte die Lunte ans Zündloch der Pulverkammer. Bumm! Man konnte mit bloßem Auge die gekrümmte Flugbahn der Kugel verfolgen. Sie stieg leicht an bis zu ihrem Scheitelpunkt und senkte sich wieder, einen feinen Rauchschweif hinter sich herziehend. Die Mijnheers stierten. Dem Rudergänger auf der vorderen Schaluppe was das heransausende Ding nicht geheuer. Er fiel aber nicht nach Steuerbord ab, um die schmale Silhouette zu bieten, sondern luvte nach Backbord an und präsentierte damit die Steuerbordseite. Der Kapitän, ein Kerl wie ein Hackklotz, brüllte ihm etwas zu, was man durchaus mit "Idiot!" übersetzen konnte...
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<b>Triangle amoureux sur fond d'intrigues et de complots politiques</b> ! <br> <br>L’avocat montois Romain Balagne est emprisonné pour recel de malfaiteur. Le fait divers rappelle à Maxime Cordier qu’il a connu ce jeune homme épatant lors de ses années de collège. Surtout, Cordier se souvient de l’épouse de l’avocat, la belle Italienne Tina Costantini, dont il était secrètement amoureux. La tentation de retrouver celle qui hantait ses nuits d’adolescent va le conduire à rencontrer des personnages singuliers et le placer au cœur d’un étrange et tragique complot.  <br> <br>Plongée sans concession dans les coulisses du monde judiciaire, <i>Le Passager des Cinq Visages</i> est sans conteste le roman le plus sensible et le plus brillant de son auteur. <br> <br> <b>Un thriller haletant qui décrit avec minutie les rouages du monde judiciaire</b> <br> <br> <i>Le Passager des Cinq Visages</i> a obtenu le Prix George Garnir 2014. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>- "Mené de main de maître, ce récit a des résonances qui nous ont fait penser à Jean Ray et à Maurice Leblanc. Un bonheur de lecture et une invitation à aller à Mons..." <b>(Edmond Morrel, <i>Espace livres</i>)</b> <br> <br>A PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Ghislain Cotton </b>a suivi des études de grec et de latin, puis s'est ensuite tourné vers le journalisme, écrivant des chroniques judiciaires et littéraires. En 1981, il lance la revue <i>Le journal des livres</i>, dédiés au monde de la littérature et de l'édition en Belgique. Il reçoit en 1997 le Prix Ex Libris. <br> <br>EXTRAIT  <br> <br>J'avais connu Balagne vers la fin des années quatre-vingt. Au cours de mes études au collège catholique de S. Plus de vingt après, je revois avec une grande netteté une silhouette d'échalas et un visage juvénile troué par un regard bleu lavande. Nous n'étions pas dans la même classe et n'avions jamais eu de relations suivies. Pourtant, un incident à la fois curieux et assez banal avait fixé dans ma mémoire un élève d'une culture peu commune pour cet âge et qu'une attitude un rien méprisante écartait des footballeurs. La chose était arrivée précisément pendant la mi-temps d'un de ces matchs interscolaires où le collège semblait engager sa réputation plus que dans la qualité, d'ailleurs réelle, de son enseignement. Présence obligatoire pour tous. D'où celle de Balagne et la mienne. Alors que la plaine croulait sous les flonflons d'une marche militaire - je crois que c'était celle de la marine américaine - le son s'était soudain interrompu et c'était <i>L'Internationale </i>qui avait tonitrué par-dessus l'assistance des parents, invités, professeurs et dignitaires diocésains de tout poil, médusés par cet ouragan de sédition. Le responsable de ce crime : Balagne qui s'était porté volontaire pour la partie musicale et que "Don Camillo", une grande bête d'abbé musclé comme un catcheur et responsable des sports, rué dans le cagibi de la sono, avait t...
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<b>Un saxophoniste est assassiné dans le milieu de la bohème new-yorkaise des années 20.<br></b> <br>Ce roman noir est la première enquête du détective privé Thelma Vermont. L’action se déroule à New York à la fin des années cinquante au milieu d’une bohème en pleine effervescence créatrice. Un musicien, Martin Lassovski, saxophoniste dans une formation de jazz appelée Beaulieu’s Band, est assassiné un soir d’automne. Son ami, John Ginger demande à Thelma Vermont de mener l’enquête car la police semble peu se soucier du meurtre de Martin. Commencera alors pour  Thelma la découverte d’un microcosme qu’elle se met peu à peu à apprécier. <br>Dans ce roman noir « à l’ancienne », elle va côtoyer des patrons de club un peu louches, des écrivains, des musiciens ; le tout dans une société de consommation à son apogée, certes traumatisée par la guerre froide et guettant l’arrivée des premiers Martiens, mais qui croit en un avenir rose bonbon sur fond de cinoche hollywoodien. Thelma n’est pas dupe, les horreurs de la seconde guerre mondiale -à laquelle elle a participé en Angleterre- sont encore trop fraîches dans sa mémoire. Peut-on encore croire en quelque chose après tout cela ? Et surtout est-il possible d’oublier et de passer à autre chose ? Car on fait d’intéressantes rencontres à New York dans ces années-là ; de Kerouac aperçu à la White Horse Taverne à Billie Holiday, sans oublier Ava Gardner -entrevue à Central Park- ; même si, comme le chante Dana Raise tout se termine toujours par un rêve noir, un Black Dream blues… <br> <br> <b>Plongez dans ce roman noir, et découvrez la première enquête de Thelma Vermont, propulsée dans un microcosme artistique qu'elle connait peu, mais qui parviendra à la séduire.<br></b> <br>EXTRAIT <br> <br>Alors que j’attaquai ma troisième cafetière de la journée, je l’aperçus soudain : une silhouette un rien hésitante en arrêt derrière la porte vitrée ; les clients qui ont recours aux services d’un détective privé sont souvent pris d’un accès de timidité au moment de franchir le seuil. La silhouette frappa deux coups secs contre la vitre. Je me levai pour l’accueillir. Un homme de haute taille sanglé dans un imperméable blanc cassé me faisait face. Il ne portait pas de chapeau et devait avoir une bonne trentaine d’années. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>J’ai passé un agréable moment et je recommande chaudement « Montevideo Hotel » aux amoureux de jazz et des atmosphères enfumés des années 50. - <b>Blog <i>Du bruit dans les oreilles, de la poussière dans les yeux</i></b> <br> <br>Un roman bien sympathique et une jeune détective au caractère complexe qu'on a bien envie de retrouver dans de prochaines aventures ! - <b>Blog <i>Lectures et élucubrations de Liliba</i></b> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Muriel Mourgue</b> est née le 9 juin 1957. Elle vit en Lorraine où elle enseigne l'allemand. Après la parution de <i>L'...
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<b>Un assaut de verve jubilatoire !</b> <br> <br>La série épique et burlesque concoctée par Sébastien G. Couture et Michaël Perruchoud, qui a fait le bonheur de centaines d’internautes amoureux du langage chatoyant et des aventures bien ficelées, prend aujourd’hui ses lettres de noblesse sur papier et sous la forme d’une quadrilogie mettant en scène le chevalier Braquemart d’Airain et son compère Gobert Luret. <br>Dans ce troisième tome, <i>Le Siège de Montfureur</i>, les deux amis sont envoyés en mission par le duc de Minnetoy-Corbières. Ils doivent sauver un château huguenot assiégé par les troupes de l’infâme Proctère Hégemble. Rien de moins. <br>Armés de leur soif et de leur inconscience légendaires, les deux compères, entre traîtrises et morceaux de bravoure, parviendront à trouver le chemin des caves et à changer le cours de la guerre. Tout cela sur un rythme effréné et dans une langue à nulle autre pareille. <br>Qui écrit quoi ? Couture et Perruchoud ne le savent plus tant leurs plumes se fondent pour ne faire qu’une. Cette complicité amicale et rieuse est pour beaucoup dans le charme original de cette épopée à la verve foisonnante mais aux rebondissements subtilement construits. <br> <br> <b>Un récit d'aventures rocambolesques et pleines de panache !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Dans la toge qu’il portait pour la nuit, Eustèbe Martingale marchait autour de son lit, s’aspergeant de parfum pour se redonner des forces. Mais même les fortes fragrances ne le soulageaient plus. Il avait peur. L’entretien avait réveillé ses pires angoisses. Le duc allait l’envoyer en guerre, lui qui savait à peine tenir une épée. Depuis des années, il traînait sa silhouette d’avorton à la tête rentrée dans les épaules autour du trône. Il était de tous les conseils, de toutes les manigances. Sa langue était l’arme qu’il maniait le mieux ; la médisance et la calomnie, la flatterie et l’allusion étaient de toutes ses phrases. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Un régal d’une précision et d’une justesse rares. - <b><i>Le Nouvelliste</i></b> <br> <br>À PROPOS DES AUTEURS <br> <br>Le chansonnier québécois <b>Sébastien G. Couture</b>, connu sous le nom de Sébastien Gabriel, et le romancier genevois Michaël Perruchoud partagent un goût de l’outrance, du rabelaisien, et de l’épopée grivoise. Ensemble, ils ont créé les personnages de Braquemart d’airain et de Gobert Luret. Après <i>Ceux de Corneauduc</i> et <i>L'Héritier de Minnetoy-Corbières</i>, <i>Le Siège de Montfureur</i> est le troisième opus d’une quadrilogie dont la publication s’étalera jusqu’en 2018. <br>
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<b>Quand la fiction revisite la crise des subprimes aux Etats-Unis</b> <br> <br>A l’ombre des hauts fourneaux éteints brille une veilleuse devant la maison de la famille Chagrin. Le souffle du commissionnaire menace de l’éteindre à tout moment, si les traites ne sont pas honorées. La spirale des commandements de payer entraîne Nathanaël, le père, à travailler vingt-quatre heures sur vingt-quatre ; la mère, Rose Chagrin née Chance, à entamer une cure de vitamines ; les enfants, Yapaklou et Zibeline, à cacher leurs jouets dans un distributeur de frites ; Séraphin, probablement le grand-père, à partir à la recherche de l’Homme noir ; Philanthropie, à absorber des tranches de <i>schnitz</i> sous l’œil bienveillant de ses deux anges gardiens. Et dans la nuit où s’éteignent chaque soir des dizaines de veilleuses, les tours de verre, qui dominent orgueilleusement la ville, regardent croître leur patrimoine. <br> <br> <b>Un roman-conte onirique à la fois doux et amer</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>La silhouette du commissionnaire s’approcha de la fenêtre givrée, le visage soudain morcelé par la lueur des bougies d’un gâteau d’anniversaire. Une petite fille fêtait ses cinq ans. Entourée de son frère, de ses parents et d’un vieillard, peut-être le grand-père, prostré devant un interrupteur qu’il observait d’un œil inquiet. Il y avait encore dans cette pièce une femme énorme dont les plis de la chair s’étalaient sur le canapé comme un paysage au relief délicieusement vallonné. Deux anges gardiens veillaient sur ses rondeurs en l’éventant de leurs longues plumes blanches. Elle chantait d’une voix puissante et toute la famille l’écoutait, émerveillée, pendant que se consumaient les cinq premières années de la petite. <br> <br>CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>- « Marie-Jeanne Urech crée un univers fantasmagorique avec un style unique. Des narrations poétiques servant une critique sociale acérée. Un roman-conte onirique tout à la fois doux et amer. » <b>- <i>Prix Rambert</i></b> <br> <br>- « Un conte sur le drame des subprime, il est juste de choisir la forme du conte pour raconter le scandale dont la ville de Cleveland, dans l’Ohio, a été l’un des théâtres les plus frappants. Marie-Jeanne Urech manie la fantaisie apparente. Sur sa palette d’écrivain, ce ton-là l’appelle et elle y puise comme d’une source dirait-on ces personnages et ces histoires tressées juste au-dessus du réel. » <b>- Lisbeth Koutchoumoff, <i>Le Temps</i></b> <br> <br>- « Liberté de ton et ironie douce dans ce roman de Marie-Jeanne Urech ! Un roman original. Une fable à l’écriture fantasque et rapide. » <b>- <i>L’Hebdo</i></b> <br> <br>A PROPOS DE L’AUTEUR <br> <br>Marie-Jeanne Urech a fait depuis quelques décennies déjà le tour de la terre. Elle a connu une éclipse de soleil et plusieurs de lune. Parfois, elle s’arrête pour filmer une scène ou écrire une ligne. Non pas pour suspendre le temps, mais pour en conserver une trace. Elle a déjà publié <i>F...
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<p><b>Qui a tué Adénaïs, l'épouse de Léo Breval ? Sur les trois suspects, il ne peut y avoir qu'un seul coupable...</b><br><br>Léo Bréval menait une vie sans histoires jusqu’à la disparition tragique de son épouse, un suicide qui, après autopsie, s’avère être un meurtre.<br>L’image d’un couple heureux se fissure lorsque l’on découvre que la jeune femme avait un amant, et les indices recueillis accablent le mari qui est rapidement placé en détention.<br>Mais les indices ne sont pas des preuves. Quel était le secret d’Adénaïs Bréval ? Un nouveau juge décide de reprendre l’enquête. De Nantes à Ancenis, le commissaire Baron diligentera les recherches, et posera un regard neuf sur l’affaire. Il va s'orienter vers une nouvelle piste, dans l’entourage immédiat de la victime, et là encore, le cliché des relations paisibles va se lézarder.<br>Le mari, l’amant ou le troisième homme ? Trois coupables potentiels... Trois suspects qui avaient une bonne raison de faire disparaître la victime, même si tout concourt à accuser Léo, sans véritable preuve. Le commissaire s’apprête à clore ses investigations quand une ultime vérification... L’assassin était-il bien l’un des trois ?<br><br><b>Un excellent polar d’atmosphère, inspiré d’un fait réel, qui ne livrera sa solution qu’à la dernière page.</b></p> <p>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE</p> <p><span>Bien construit, bien écrit, un roman d'atmosphère comme l'affectionnent les lecteurs de Georges Simenon. </span><span>- </span><strong>Louis Gildas, <em><i>Télégramme</i></em></strong></p> <p>EXTRAIT<br><br>Léo Bréval devina qu’il était allongé. Quelqu’un parlait au-dessus de lui, d’une voix calme dont il ne comprenait pas le message. Une femme quelque part, pas très loin, il croyait sentir son odeur. Il essaya de tourner la tête pour chercher, ne devina qu’une silhouette blanche. Adénaïs !... Non. Adénaïs ? Il s’agitait, une main ferme pesa sur son épaule, lui fit mal. Une autre douleur à la saignée du coude. De la chaleur dans ses veines.<br>Il avait voulu mourir, il ne le voulait plus. « Sauvez-moi, merde ! » Quelqu’un lui prenait la main, la femme peut-être... Adénaïs... Il ne l’avait pas tuée, il était certain que ce n’était pas lui, il n’était pas idiot, il s’en serait souvenu ! Il allait le leur dire. C’était quelqu’un d’autre. Pas lui !<br>Léo Bréval sombra dans l’inconscience.<br><br>À PROPOS DE L'AUTEUR<br><br><b>Hervé Huguen</b>, nantais et avocat de profession, consacre aujourd’hui son temps à l’écriture de romans policiers et de romans noirs. Son expérience et son intérêt pour les faits divers, événements tragiques ou extraordinaires qui bouleversent des vies, lui apportent une solide connaissance des affaires criminelles.<br>Passionné de polar, il a publié son premier roman en 2009 et créé le personnage du commissaire Nazer Baron, enquêteur rêveur, grand amateur de blues, qui se méfie beaucoup des apparences... <br><i>Troisième des deux</i> est le douzième titre de cette série au...
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<b>Quel est le lien entre un médecin et un nouveau-né ? Un curieux mystère à élucider...</b> <br> <br>Un soir, un mystérieux inconnu aux habits de miroirs se faufile dans la maison du Docteur Pradence dont il détruit tous les murs, laissant derrière lui une mystérieuse inscription et pour seul indice le nom de Tetcha. Des années plus tard, encore affecté par cet événement mystérieux, le Dr Pradence reçoit une patiente, enceinte de plusieurs mois, qui au détour de la consultation lui révèle le nom de sa future fille : Tetcha. Le mystère s’épaissit quand Pradence est soudainement écarté du suivi de sa patiente par sa direction. C’est certain, quelque chose se trame, et Pradence n’a désormais plus qu’une chose en tête : protéger cet enfant. <br> <br> <b>Ce roman mêlant fantastique et science-fiction est le premier tome d'une saga qui promet un suspense haletant !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Désormais, debout, au-dessus de son armoire en morceaux, il regardait halluciné, la silhouette qui se découpait nettement dans la semi-obscurité. Elle se positionnait entre la porte-fenêtre et l’écran suspendu. Maintenant sa position, elle ne paraissait point décidée à donner des explications sur le fait qu’elle se promenait dans une habitation étrangère sans y avoir été invitée. <br>Pradence, qui n’en menait pas large, s’évertua, afin de briser la glace, à trouver un moyen de communiquer sans brusquer le mystérieux visiteur. Tout d’abord, les mots restèrent bloqués au fond de sa gorge. Seuls des borborygmes incompréhensibles sortaient de sa bouche. Et puis, enfin, des mots se libérèrent et franchirent l’ultime étape qui consistait à former une phrase. <br>– Qui êtes-vous et que voulez-vous ? <br>Simple et efficace. Il attendit une réponse qui évidemment ne vint pas. Par contre, un souffle court, un peu rauque, parvint aux oreilles de Pradence qui comprit alors la situation : l’individu avait peur, lui aussi. Brusquement, il bougea… <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Philippe Clavier</b> est né en 1957 à Paris, dans le 12ème arrondissement. Il partage sa vie entre deux passions : l'écriture et la musique. Saxophoniste et flûtiste autodidacte, il a fréquenté les conservatoires classiques autant que les clubs et ateliers de jazz. Aujourd'hui, si son engouement pour la musique est intact, l'écriture constitue pour lui une priorité. Animateur de centres de loisirs à Paris, il écrit, raconte et parfois met en scène de petits contes destinés aux enfants. C'est en évoluant dans ce milieu de jeunesse qu'il a décidé de ne pas grandir et de garder cet imaginaire débridé où tout est possible.
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Many Bullets Neal Chadwick The size of this book corresponds to 37 paperback pages. My killer came in all of a sudden. I hadn't even heard him come through the door. Steps. I waited. I saw his silhouette. The big, bold nose - as straight and long as a gun barrel. I saw the determination in the lines of his face. I was familiar with that expression. It was the absolute will to kill. The man held an automatic pistol in his hand. With a silencer - so it wouldn't make that much noise when he killed me. Because that's what he was going to do.
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