In der völlig neuen Romanreihe "Fürstenkrone" kommt wirklich jeder auf seine Kosten, sowohl die Leserin der Adelsgeschichten als auch jene, die eigentlich die herzerwärmenden Mami-Storys bevorzugt. Romane aus dem Hochadel, die die Herzen der Leserinnen höherschlagen lassen. Wer möchte nicht wissen, welche geheimen Wünsche die Adelswelt bewegen? Die Leserschaft ist fasziniert und genießt "diese" Wirklichkeit. "Fürstenkrone" ist vom heutigen Romanmarkt nicht mehr wegzudenken. Laurenz Prinz von Ahrensburg parkte seinen silbernen Sportwagen auf dem großen Vorplatz des väterlichen Schlosses. Die Silhouette des prächtigen Barockbaus aus goldbraunem Sandstein zeichnete sich gegen den blauen Frühlingshimmel ab. Vor der breiten Freitreppe funkelten die Wasserfontänen des Springbrunnens im Licht der Abendsonne. Über dem Haupteingang erhob sich eine Kuppel. Laurenz stieg die Stufen zu dem Säulenportal hinauf und betrat die herrliche Eingangshalle. Graziöse Statuen der Antike flankierten die lange weiße Marmortreppe. Leuchtende Fresken mit Motiven der römischen Sagenwelt schmückten die Wände. Schlanke griechische Säulen trugen die hohe Stuckdecke, von der ein großer Kronleuchter mit unzähligen tropfenförmigen Kristallornamenten schwebte. Der Butler erwartete den Prinzen bereits. »Ist Ihr Tag zufriedenstellend verlaufen, Hoheit?« »Alles bestens, danke der Nachfrage, Herr Behrens. Ist mein Vater schon zu Hause?« »Der Fürst ist in die Residenz gefahren. Er lässt Ihnen ausrichten, dass er in einer Stunde zurückkommt.« Laurenz beschloss, die verbleibende Zeit für einen Spaziergang zu nutzen. Er betrat die weitläufige Terrasse und schritt die Treppe hinunter, die in den Park führte. In den Blumenbeeten blühten die schönsten Vergissmeinnicht und Maiglöckchen. Ein süßer Duft von Flieder erfüllte die Luft. Schloss Ahrensburg war im frühen 18. Jahrhundert nach dem Vorbild der französischen Königsresidenz Versailles angelegt worden.
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<b>Avec <i>La Dame Blanche</i>, escortons Aila dans son ultime combat contre les forces maléfiques de l'empereur Césarus.</b> <br> <br>Tandis que la menace des soldats de Tancral devient chaque jour plus pressante sur les cinq pays de l'alliance, un dernier espoir renaît avec la légende de la Dame Blanche… La lumineuse silhouette d'Aila suffira-t-elle à contrer la folie destructrice de leur ennemi, portée par la sorcière et des hommes quasi invincibles ? <br> <br>Envahie par une magie encore plus puissante et exclusive, Aila se sent partagée entre deux univers inconciliables. Alors que son esprit s'évade dans un espace infini qui la séduit davantage à chaque voyage, le caractère de plus en plus irréversible de sa destinée lui est dévoilé. Parviendra-t-elle à lui échapper ? <br> <br> <b>Catherine Boullery continue les aventures de cette fantastique saga de fantasy avec une succession de rebondissements et une fin bouleversante... à suivre !</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Au cœur de la nuit, sous la lumière diffuse de la lune, Hang longeait au grand galop la côte aux alentours de Bâmes. Depuis plusieurs jours, il guettait la venue du bateau tout à la fois redouté et espéré : celui des hommes de Césarus. À présent que ce dernier se rapprochait enfin de la rive, le Hagan affichait un sourire satisfait. Pauvres petits soldats de cet empereur, si seulement ils avaient soupçonné le comité d'accueil qu'il leur avait concocté avec art, ils auraient fait demi-tour avant même de songer à mettre un pied à terre. Malheureusement pour eux, ils ignoraient tout des pièges qui les attendaient sur la plage et se dirigeaient, non pas vers une victoire supplémentaire, mais une cuisante défaite. Ils paieraient le prix fort, foi de Hagan ! Tout était prêt pour les recevoir et les tailler en pièces, les uns après les autres. Césarus se souviendrait de cette invasion ratée avec une cruelle amertume. Le sourire sur son visage balayé par la brise s'agrandit à cette idée réjouissante. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Catherine Boullery</b> naît dans la banlieue parisienne (93) en octobre 63. Toute petite déjà, elle veut enseigner et, par vocation, elle s'engage dans cette voie, optant finalement pour la filière sciences physiques, après de nombreuses hésitations. Pendant ses études, elle profite de ses moments de liberté pour voyager et assouvir une de ses passions, la photo. <br> <br>Elle mène une carrière dans l'enseignement et, quand sa famille s'agrandit, elle recentre sa vie sur elle et ouvre de nouvelles perspectives, comme celle de créer des histoires qu'elle raconte à ses enfants ou simplement à elle-même. En 2008, ses enfants ont grandi et sa vie lui laisse un peu de liberté. En discutant avec une amie, elle lui explique la nouvelle d'idée d'histoire qui a germé dans sa tête. Catherine profite donc des vacances d'hiver pour se lancer, comme ça, juste pour voir et elle s'amuse, non, mieux, elle se régale ! <br>
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<b>Qui tue ces femmes d'un unique coup de poignard en plein cœur ?</b> <b><br></b> <b><br></b>Bratislava a peur. Un tueur en série sévit près de la tour UFO, le célèbre bâtiment planté sur le Pont Neuf de la capitale slovaque. Les victimes sont des femmes aux mœurs légères, des délinquantes. Elles sont tuées d’un coup de poignard dans le cœur, un seul, sans autre forme de violence. <br>L’inspecteur Théo Fusko est sur la brèche. Malgré l’aide de son énigmatique collègue, Néo, l’enquête piétine. La méthode du binôme ne figure nulle part dans les manuels de Police ; elle intrigue une jeune profileuse dépêchée de Prague, Lydia Kacinova. La jeune femme s’inquiète ; elle y reconnaît les symptômes de pathologies psychiatriques, mais une vérité beaucoup plus dérangeante la guette, une vérité bien au-delà du réel. <br>Par le biais de cet ouvrage, l’auteur nous invite à un voyage à la croisée de chemins, entre maladie mentale et pouvoirs surnaturels. Dans ce plongeon à haut risque, personne n’en sort indemne. Et vous ? <br> <br> <b>Un thriller sombre et inquiétant dans la capitale slovaque éclaboussée de sang.</b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>Théo Fusko est seul, le crâne collé contre la vitre. Sa grande carcasse est calée dans l’encoignure de la fenêtre. La lumière est éteinte. Au fond de la pièce, le miroir mural renvoie la silhouette d’un <i>Nosferatu</i> recroquevillé sur lui-même. Il déplie un bras, et pose la paume sur sa tête rasée. Les céphalées émergent ; le pouls s’accélère. Il reconnaît les signes. Il en ignore la cause, et c’est peut-être ce qui le rend si mal. Il se sent un peu triste, et sale. Il étend une jambe et repousse du pied le holster accroché au radiateur. Les lanières glissent ; l’étui bascule vers le sol. Il ne le retient pas. Dans la chute, le <i>MARK 7</i> s’échappe, et le canon cogne contre un insigne métallisé, la plaque de la police de Bratislava. Il regarde un instant l’éclat bleuté de ces deux symboles de pouvoir, ces deux outils mis à sa disposition pour protéger et servir sa ville. Pour l’instant, ils ne lui ont pas été très utiles dans l’affaire de <i>l’UFO</i>. Le tueur court toujours, et il s’en veut. À sa décharge, ses collègues n’ont pas fait mieux. <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br> <b>Jean-François Thiery</b> est cadre informaticien dans l’industrie automobile. Il réside en France, dans le pays de Montbéliard. Il commence à écrire en 2009, et publie des nouvelles et des romans. Il signe avec <i>Alliance Obscure</i> un premier thriller fantastique aux éditions Ex Aequo.
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Mit dem Bergpfarrer hat der bekannte Heimatromanautor Toni Waidacher einen wahrhaft unverwechselbaren Charakter geschaffen. Die Romanserie läuft seit über 13 Jahren, hat sich in ihren Themen stets weiterentwickelt und ist interessant für Jung und Alt! Toni Waidacher versteht es meisterhaft, die Welt um seinen Bergpfarrer herum lebendig, eben lebenswirklich zu gestalten. Er vermittelt heimatliche Gefühle, Sinn, Orientierung, Bodenständigkeit. Zugleich ist er ein Genie der Vielseitigkeit, wovon seine bereits weit über 400 Romane zeugen. Diese Serie enthält alles, was die Leserinnen und Leser von Heimatromanen interessiert. Viktoria Leitner atmete erleichtert auf, als sie von der Autobahn abfuhr und auf die Bundesstraße einbog. Hier war es geradezu idyllisch, kaum Verkehr, keine Hektik, während eben noch die Lastwagen und Pkws mit einem Höllentempo an ihr vorbeigerauscht waren. Nun genoss sie die Ruhe, fuhr auf einen Parkplatz und stieg für ein paar Minuten aus. Einige Schritte weiter stand eine Bank. Die junge Frau hatte einen Apfel aus der Tasche auf dem Beifahrersitz genommen und setzte sich. Genüsslich biss sie ab und ließ ihren Blick schweifen. In der Ferne zeichneten sich die Zwillingsgipfel ab, ›Himmelspitz‹ und ›Wintermaid‹. Lächelnd dachte Viktoria an die Sennerhütten unterhalb der schneebedeckten Gipfel und an die vielen Touren, die sie mit dem Bergpfarrer dort oben unternommen hatte. Meine Güte, wie lang' war das jetzt her? Der Vierundzwanzigjährigen kam es wie eine kleine Ewigkeit vor, dabei war es gerade mal drei Jahre her, dass sie St. Gleich nach der bestandenen Prüfung zur Hotelfachfrau hatte sie sich in einem Hotel in der bayerischen Landeshauptstadt beworben. Ihr damaliger Chef, Sepp Reisinger, der Inhaber des Hotels ›Zum Löwen‹ in St. Johann, hatte sie dabei unterstützt und ihr, neben einem erstklassigen Zeugnis, auch eine Empfehlung an den Münchner Kollegen, der er noch von früher kannte, mit auf den Weg gegeben. Im Hotel ›Royal‹ hatte Vicki dann auch sofort eine Anstellung gefunden und war, bis vor ein paar Tagen, dort noch angestellt gewesen. Nun kehrte sie in die Heimat zurück. Die Silhouette der Berge verschwamm vor ihren Augen, und für Sekunden tauchte das Bild eines Mannes vor ihr auf. Thomas Brunner, der gut aussehende Koch im ›Royal‹, ein ewig lustiger Typ und Hansdampf in allen Gassen. Im Sturm hatte er Viktorias Herz erobert, und beinahe drei Jahre lang waren sie ein Paar gewesen. Wie oft hatten sie von einem eigenen kleinen Hotel oder Restaurant geträumt! »Eines Tags«
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Nun gibt es eine exklusive Sonderausgabe – Gaslicht – Neue Edition In dieser neuartigen Romanausgabe beweisen die Autoren erfolgreicher Serien ihr großes Talent. Geschichten von wirklicher Buch-Romanlänge lassen die illustren Welten ihrer Serienhelden zum Leben erwachen. Es sind die Stories, die diese erfahrenen Schriftsteller schon immer erzählen wollten, denn in der längeren Form kommen noch mehr Gefühl und Leidenschaft zur Geltung. Spannung garantiert! Gaslicht Nr. Der Sturm hielt den Atem an, als die Duellanten sich in jener kalten Winternacht auf der Lichtung unter dem Galgenbaum gegenüberstanden. Jenseits der verschneiten Gärten erhob sich schemenhaft die Silhouette des Schlosses. Es war zwei Uhr morgens. Eine ungewöhnliche Zeit für ein Duell. Noch bevor die Sekundanten das Kommando gaben, fiel ein Schuß. Einer der Duellanten stürzte zu Boden, sein Blut färbte den Schnee rot. Der andere flüchtete, von Panik gepackt, in den Glockenturm. »Brudermord« Jahrhunderte später geschah es in einer jener Nächte, die erfüllt sind von bösen Träumen, daß Jacinth im Traum die Glocken schaurig läuten hörte und das Schloß wiedersah, dessen Anblick dumpfe Ängste in ihr auslöste, obwohl es heiter und lieblich inmitten idyllischer Gärten lag. Doch es war ein Haus ohne Türen und Fenster, das auf Jacinth so bedrohlich wirkte, als hüteten seine Mauern ein schreckliches Geheimnis. Als endlich fahl der Morgen heraufdämmerte und die Schläfer aus den Spinnennetzen ihrer Traumgespinste befreite, läuteten die Kirchenglocken einen frostigen Sonntag ein. Jacinth stand, noch im Banne der düsteren Traumwelt, verstört an dem Panoramafenster ihres luxuriösen Apartments und blickte zum Central Park hinüber. Dieser Blick war ziemlich teuer! Die eleganten Apartments mit Blick auf den Central Park kosteten jeden Monat ein kleines Vermögen. Dank des Salärs, das sie bei Whitch und Wrestler bezog, konnte Jacinth sich die horrende Miete zwar leisten, aber froh stimmte der Ausblick sie an diesem Sonntagmorgen dennoch nicht. Es war auch kein erfreuliches Bild, das sich ihr bot. Die Bäume im Park waren kahl und sahen im bleichen Morgenlicht wie vergessene Nachtgespenster aus. Es war Winter und kalt in New York. Jacinth sehnte sich nach Sonne und Wärme.
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<b>Meurtres mystérieux au large des côtes bretonnes...</b> <br> <br>La découverte, à la pointe Saint-Mathieu, du cadavre d’un pêcheur du Conquet, agite la vie tranquille du petit port de pêche. Le mystère plane au Bout du monde. Qui avait intérêt à voir disparaître ce professionnel respecté dans la région ? Un deuxième meurtre, perpétré à Brest, vient obscurcir encore cette affaire. <br>Le commandant L’Hostis, policier original et perspicace, devra dénouer les fils d’un passé et d’un présent agités de vieux démons… <br> <br> <b>Plongez sans attendre en compagnie du<b> commandant L'Hostis </b>dans cette enquête policière au suspense haletant  ! </b> <br> <br>EXTRAIT <br> <br>La victime était telle que le joggeur l’avait trouvée, adossée contre un mur du transept de ce qui fut l’église abbatiale. Prostrée, les mains jointes sur le manche du couteau fiché dans son cœur, le mort fixait le vide avec un regard interloqué. <br>— D’après les témoins présents quand nous sommes arrivés, il s’agirait de Mathieu Creisméas, marin pêcheur au Conquet, leur annonça le commissaire Duval. <br>Quand ils eurent déplacé le corps et que le médecin légiste eut examiné le cadavre, ils firent l’inventaire des poches de la victime. Ils constatèrent alors que la lame du couteau avait transpercé le contenu de la poche gauche intérieure du caban que portait la victime. <br>Dans le sachet plastifié prévu pour y déposer les pièces à conviction, ils mirent un petit protège-document plastifié dans lequel se trouvaient une photo et un bulletin de Loto. La photographie représentait la victime, plus jeune, en compagnie d’un autre homme. Au dos on pouvait lire 1983. La lame était passée juste sur la silhouette de Creisméas. Comme si on avait voulu le faire mourir deux fois. La grille de Loto était remplie, six numéros y avaient été cochés au stylo à bille noir. <br> <br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br> <br>Éditions Bargain, le succès du polar breton. - <b><i>Ouest France</i></b> <br> <br>À PROPOS DE L'AUTEUR <br> <br>Né à Morlaix, <b>Gérard Croguennec</b> vit avec sa famille dans le Beaujolais où il travaille comme formateur dans un CFA. Brestois d’origine, la Bretagne l’inspire et lui évoque grandeur, mystère et magie. Il signe ici son premier roman policier. <br> <br>À PROPOS DE L'ÉDITEUR <br> <br>"Depuis sa création en 1996, pas moins de 3 millions d'exemplaires des 420 titres de la collection « Enquêtes et suspense » ont été vendus. [...] À chaque fois, la géographie est détaillée à l'extrême, et les lecteurs, qu'ils soient résidents ou de passage, peuvent voir évoluer les personnages dans les criques qu'ils fréquentent." - <b>Clémentine Goldszal, <i>M le Mag</i>, août 2023</b>
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Ce recueil rassemble des petits récits alertes et vifs où, en quelques phrases élégantes et raffinées, Paul Arène croque un portrait, esquisse une silhouette, ébauche un décor. Une fine ironie circule à travers les lignes, un brin d'émotion parfume les histoires merveilleuses de cet écrivain qu'Anatole France avait surnommé - à juste titre ! - le « prince des conteurs ». Le provincialisme de Paul Arène n'est pas pittoresque, mais profond : dans ses textes, les thèmes provençaux deviennent toujours l'objet d'exquises fantaisies personnelles, de poétiques « moralités » d'un ton à la fois pénétrant et mélancolique. Et si les descriptions ne manquent pas, elles sont toujours enrichies d'un contenu véritablement humain. Plus célèbre que son ami Alphonse Daudet au xixe siècle, cet écrivain provençal mérite amplement d'être (re)découvert.
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Eine schwarze Novembernacht. Maigret wird zur Place des Vosges gerufen. Raymond Couchet, Inhaber eines Pharmazielabors, ist erschossen worden. Im Innenhof steht der Kommissar vor erleuchteten Fenstern. Hinter einem zeichnet sich die Silhouette des toten Couchet ab. Hinter dem nächsten sieht er eine Frau wild gestikulieren. Und hinter dem dritten bringt eine Frau gerade ihr Kind zur Welt. Hängen die Schattenspiele miteinander zusammen? Ist Couchet einem Raubmord zum Opfer gefallen? Oder steckt dahinter doch eine tragische Familiengeschichte?
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